Figure légendaire du music-hall français, Charles Trenet est né à Narbonne, cité du sud de la France le 18 mai 1913
Il meurt le lundi 19 février à l'hôpital Henri-Mondor de Créteil en banlieue parisienne Quand le jeune Charles a sept ans, ses parents se séparent et sa mère décide d'aller vivre sa vie. Les deux enfants sont confiés à leur père. Ainsi donc il sont envoyés en internat à Béziers. Mais bientôt, Charles est atteint par une fièvre typhoïde quelques mois après son entrée au collège qui l'oblige à retourner à la maison. Sa convalescence lui permet de développer sa sensibilité artistique : modelage, musique, peinture. Guéri, il retourne à l'école. En 1922, la famille s'installe à Perpignan. Charles est externe au collège où il se montre rebelle aux mathématiques. Il obtient brillamment son baccalauréat en 1927. Puis il part à Berlin en Allemagne, et entame des études artistiques. En 1930, sur la promesse donnée à son père d'entrer à l'École des Arts Décoratifs, Charles Trenet monte à Paris, et devient en fait assistant metteur en scène et accessoiriste aux studios de Joinville. Il s'enflamme pour le jazz et commence à écrire des poèmes, des articles de journaux et des romans- feuilletons sous le pseudonyme de Jacques Brévin. En 1932, dans un club de jazz, il fait la connaissance d'un jeune pianiste, Johnny Hess. C'est ainsi que naît le duo "Charles et Johnny". Ils font leurs premières armes en écrivant des messages publicitaires pour la radio (Radio Cité à Paris). Les célèbres couplets de "Quand les beaux jours seront là" et "Sur le Yang Tsé Kiang" sortent pour le compte des Disques Pathé. Les duettistes allient chanson française et mélodie moderne. C'est la naissance du style "fleur bleue" qui est assez caractéristique des années 1930. Il s'agit en fait de l'adaptation française du style dynamique et jeune des comédies américaines. En 1936, le service militaire de Charles Trenet met fin à la carrière du duo. En octobre, il rejoint la caserne d'Istres. Très vite, il s'ennuie de Paris. Pour tuer le temps, il écrit "Y'a d'la joie" que bientôt le célèbre Maurice Chevalier crée sur la scène du Casino de Paris. C'est l'éditeur Raoul Breton qui a apporté la chanson au plus célèbre des "Titi" parisien. Celui-ci le convie un jour à la fin de son spectacle et le présente au public qui l'ovationne. À s
Share your thoughts on these La Mer Playlists with the community:
Report Comment
We're doing our best to make sure our content is useful, accurate and safe. If by any chance you spot an inappropriate comment while navigating through our website please use this form to let us know, and we'll take care of it shortly.
Share your thoughts on these La Mer Playlists with the community:
Report Comment
We're doing our best to make sure our content is useful, accurate and safe.
If by any chance you spot an inappropriate comment while navigating through our website please use this form to let us know, and we'll take care of it shortly.
Attachment
You need to be logged in to favorite.
Log In