Lyrics:
des longues nuits dans la pénombre
Je me disais "Ça y est, je sombre"
Et j'attendais le petit jour qui revenait toujours
Cinq ou six années de presque
voiture fait que tanguer
Et la voiture fait que tanguer, ouais, la voiture fait que tanguer
Et la voiture fait que tanguer comme si on revenait de Tanger
Lui, sa vie, c'est l'aventure, la musique et les filles
Tant pis, je le prends comme il est
Rien n'est jamais fini et s'il revenait je lui dirais oui
Ça
Je l'ai connue en fièvre vers la fin de sa vie
Il lui arrivait de disparaître dans la maladie
Mais elle revenait toujours dans sa vie alitée
Je l'ai
habitait l'appartement au-dessus du mien
Mais elle ne saluait jamais ses voisins
L'hiver c'était comme un fantôme dans la maison
Mais quand revenait
revient
Lorsqu'elle revenait de partance
Et me voyant sans exigence
Elle me croyait sans besoin
L'eau chaude n'a jamais mordu
Mais on ne peut que s'y
revient
Lorsqu'elle revenait de partance
Et me voyant sans exigence
Elle me croyait sans besoin
L'eau chaude n'a jamais mordu
Mais on ne peut que s'y
rainettes
Quand le soleil à l'horizon
Profilait sur tous les buissons
Nos silhouettes
On revenait fourbus, contents
Le cœur un peu vague pourtant
De
tort
Que je lui pardonnerais s'il me revenait
Dis lui seulement que de temps en temps
Quand il pleurait la nuit
Je te parlais de lui mon père, mon petit
voisin ...
On avait le cœur content
Et quand revenait le printemps
Tout le monde avait vingt ans !
Ah ! Qu'il était beau mon village,
Mon Paris, notre
rainettes
Quand le soleil à l'horizon
Profilait sur tous les buissons
Nos silhouettes
On revenait fourbus, contents
Le cœur un peu vague pourtant
De
à l'horizon
Profilait sur tous les buissons
Nos silhouettes on revenait fourbus contents
Le coeur un peu vague pourtant
De n'être pas seul un instant avec
à l'horizon
Profilait sur tous les buissons
Nos silhouettes on revenait fourbus contents
Le cœur un peu vague pourtant
De n'être pas seul un instant avec
vrai, que parfois le courage
Me revenait en songeant au bel âge
« À l'âge d'avenir », disait une voix
Celle d'un frère qui rêvait avec moi
Vrai, vrai,
c'était
Le bruit sourd d'une porte
C'était peut-être une morte?
Grand-mère qui revenait
Platanes au vent de septembre
Amis chers musiciens
Bercez ce
Si monsieur Kennedy
Aujourd'hui revenait
Ou si monsieur Gandhi
Soudain ressuscitait
Ils seraient étonnés
Quand on leur apprendrait
Que
Si monsieur Kennedy
Aujourd'hui revenait
Ou si monsieur Gandhi
Soudain ressuscitait
Ils seraient étonnés
Quand on leur apprendrait
Que
soudain dans son cœur
Une voix s'éveilla
C'était la voix du vent
Celle de fin décembre
Qui revenait de loin
Pour évoquer tout bas
Des histoires
Si monsieur Kennedy
Aujourd'hui revenait
Ou si monsieur Gandhi
Soudain ressuscitait
Ils seraient étonnés
Quand on leur apprendrait
Que
c'était
Le bruit sourd d'une porte
C'était peut-être une morte?
Grand-mère qui revenait
Platanes au vent de septembre
Amis chers musiciens
Bercez ce
Au pied des oliviers
Quand Magdeleine riait
Quand revenait l'été
Ils ont roulé jusqu'en Mer Noire
Pour retrouver leur capitaine
Et Magdeleine
Qu'en se mordant la bouche
Le goût en revenait
Mortels, mortels
Nous sommes immortels
Je ne t'ai jamais dit
Mais nous sommes immortels
As-tu
revenait sur nos pas
Je rendrais les armes à tout nos combats
Pour t'aimer sans peur et sans regret
Serais-tu prêt?
Faute-il que je retienne
Les sons
disparaissait
Pour des semaines et des mois
Et revenait, comme si rien n'était
Sourire sans excuses
Il nous parlait des étendues
Au-delà du grand marais, des
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