Lyrics:
retrouvé un jour
Qu'il venait d'obtenir la palme d'espoir des auteurs du pays
Dans le canal il était gris
En proie au delirium tremens
On emmena le
endormi
Quand soudain
Il venait de nulle part
Surgit un aigle noir
Un beau jour
entendu un "bam", on venait de quitter la table
Vingt-deux heures trente-deux, une balle, celle qui a tué sa femme
Ils s'fâchaient pas mal, j'ai pensé
pouvoir te plaire
Te tenir contre moi
L'abîme et sans te perdre
Il faut que tu me vois
Et si par hasard cette nuit
Venait brûler ton ventre
Le
les autres élèves
Pensaient qu'il venait du pays des fous
Des mots de velours coulaient de ses lèvres
En torrent d'amour flou.
Il voulait construire
n'a-vais - que seize ans
Moi j'é-tais - en-core une en-fant
Et la nuit - qui ve-nait
Nous a-vait - pris pour des a-mants
Toi Mal-lo-ry tu chan-tais pour moi
Quand j'avais de l'argent
Du beurre, du blé, du jonc, des radis,
J'avais des des tas d'amis des chiens et du jambon du pays,
On venait s'amuser chez
Alleluia
Me donnait le diable au corps
Un étrange rêve vient me toucher du doigt
Comme si tout le gel venait de tomber sur moi
Et c'est toujours comme
Un grand connard venait pour piétiner mon château
Il aurait dû manger du sable
Mais bon, le château je l'ai refait en deux fois plus beau
C'est
Et lui ne craint pas ce chemin
Mais s’il venait lui rapporter
Le caillou qu’elle lui a jeté
Elle le rejetterait plus loin
Il faudra bien qu’on me
venait le confier
Quand un et un ne faisait plus qu'un, nous on était une poignée
Déjà kings de la night mais sans les strass et les lauriers
On avait
On court après le bonheur comme s'il venait de s'échapper
Comme s'il avait soudain pris peur en ce tout début d'année
On joue à se faire peur
La morale est loin dans l' fond de ma mémoire
Une bille a sonné comme un vieux bouclier
Quand le vent tournera qui venait me parler de Salomé.
Bungalow vide
Juste après les entrepôts
Les réservoirs
Mon amour au bungalow
Venait le soir
Depuis, je suis en poussière
En fumée
Enroulé dans
disait rien
Mais pensait à lui quand sous les arcades
On venait lui jouer la sérénade
Juli, Juli, Juli, Juli,
Juli, Juli, Juli, Julietta
Juli, Juli, Juli,
tourments
Cherchant d'où lui venait la curieuse caresse
Derrière le piano où jouait Aron Bridgers
Il avait vu la femme au visage éléphant
Au whisky il n'est
derrière les autres. À exécuter un invariable
va-et-vient entre des certitudes infranchissables.
Elles n'étaient même pas à nous, ces
certitudes. Ça venait
cœur à genoux
Ce jour là je vous ai vu venir
Portant en vous le souvenir
Le souffle venait à me manquer
Votre sourire à ma portée
À vos lettres
Pour m'endormir, je répète cent fois ton nom
Pour ne pas oublier le bruit qu'il ferait s'il venait briser mon silence
Je ne m'en lasse pas, chaque
vie venait prendre l'air.
On chatouillait même les momies
Qui hurlaient : « Encore, encore! »
C'est ça que j'veux pour mes amis
Qu'y dansent même
On a jamais su qui elle était
Ni de quel pays elle venait
Elle dansait la nuit et au matin sans bruit
S'en allait comme à regret
Dis-moi fille
prophète venait à naître
Ce serait encore pour qu'on le tue
Mille ans que feus mes ancêtres
Mettent l'enfer aux trous des culs
Dis-moi est-ce les yeux
Venait se poser sur ma bouche.
On aurait dit un oiseau mouche
Ou un papillon insouciant
Et je bandais en soulevant
Le drap mouillé de fusées
je me nourrissais de ta lumière
Et comme elle venait du ciel, honore le nom de ta grand-mère
Il a fallu assumer, alors je prenais sur moi
Pas de
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