Lyrics:
fenetre , je tire le rideau , rien ne sera plus jamais beau. Les gens qui vivent autour de moi savent bien à quel point je t'aime , ils ne voient pas bouger
les mêmes quand ils se disent je t'aime
Sur les terrasses des buildings de Manhattan
Il y a des gens qui vivent dans les jardins
Dans les cabanes en
pour du fric, d'autres vivent en guerre
Les plus paumés, s'réfugient dans la religion
Troquent leurs livres pour un fusil, le cerveau endormi par des
Quand on parle de héros, que dire de ces hommes,
Qui vivent sous le manteau, et qui ne sont personne ?
Ils gardent l'insolence, contre l'ordre
on a beaucoup d'amis en commun
Des gens qui vivent à Paris, d'autres qui vivent en Province
Quelque soit sa provenance, elle finit dans nos mains
Faut se
que l'autre ni du chemin qu'ils ont pris
Mais rien ne dit , non rien ne dit
Allez voir qu'ils vivent encore,
Même s'ils marchent et se sourient
Même
Au-delà de la mer, il existe un pays presque aussi beau que la folie
Y vivent des peuples parfaitement sains, parfaitement accueillants
On s’y baigne toute
Je m'invente un pays où vivent des soleils
Qui incendient les mers et consument les nuits
Les grands soleils de plomb, de bronze ou de vermeil
Les
Je m'invente un pays où vivent des soleils
Qui incendient les mers et consument les nuits
Les grands soleils de plomb, de bronze ou de vermeil
Les
moi mon chèque on fera la révolution plus tard
Cul-sec j'bois la vie, j'suis cru tchek!
La plupart des mecs parlent de la rue mais combien la vivent
pour se faire des frères et même des sistas
C'est le système qui coupe les burnes a ceux qui n'ont pas su s'taire
Salam à ceux qui vivent en taule, qui
Y'en a qui vivent dans la merde
Y'en a qui vivent sur les champs
On a pas les mêmes directions
Mais le même carburant
On a pas la même bavure
Mais
Ils vivent au bord de la banlieue
Un petit coin silencieux
On y va qu'un dimanche sur deux
Obligés un peu
Des fleurs parfois ça peut
Ensoleiller
dictateur
Si la tyrannie, l'oppression
Vivent toujours de belles heures
Je sais que j'écrirai toujours
Comme un acte de résistance
Outre quelques
de sauter cette sale sotte sans capote
C'est, pas facile, tous les jours pour les négros qui vivent en France
C'est pour ça, que si je croise
Succombe, car s'élève la vanité
Les gens biens ont souvent peu d'biens dans c'bas monde
Parce qu'ils vivent
Comme des étrangers
Les gens biens ont souvent
L'encre coule, le sang se répand, les frères vivent en marge, fils
Finissent en cage, leur avenir finit saccagé
Saccager nos bâtiments le soir,
(tout est faux)
Tout est faux, tout est faux
Pussy bitchies dans la rime (faux)
Euros, dollars, vivent un dream (faux)
Disque de platine grâce au
C'est une maison bleue
Adossée à la colline, on y vient à pied
On ne frappe pas, ceux qui vivent là
Ont jeté la clé
On se retrouve ensemble
des cartons
Les plus chanceux des vagabonds
Vivent en avion
Le ciel est par-dessus le toit
Les poètes ont souvent raison
Mais vivre libre ou en prison
40 ans
En Afrique les chefs d’état vivent
Grâce à notre téléthon le gazole est roi
Regarde TOTAL enrichir la misère mondiale
Kadhafi a du sang sur la
la mentale
Dure du grand frère
On s'projette dans l'avenir car du danger
On n'en a rien à faire
Rien à foutre car on est d'ces
Mômes qui vivent
quelques autres élues
Il fait souvent soixante degrés, chaque été est un test
Où les riches vivent sous la clim' et les pauvres ne vivent plus
Les
resteront dans le zoo
Ne dorment jamais et enchaînent les missions
Vivent chaque journée comme une malédiction (nique le casino)
Y a plus rien dans la
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