Lyrics:
"bonjour"
Il y avait pourtant tout autour
Des yeux qui se semblaient, semblaient pour
Lumière du soir ou lumière du jour
Un grand espoir mais tout petit
paroles que j'avalais me semblaient si vraies pourtant
Deuxième tour de piste, le coeur un peu rebelle
Apparition de quelques vices mais encore plus elle
semblaient chanter
Vos yeux semblaient chanter
La, la, la
My Lady d'Arbanville
Vos yeux sont gris ce soir
Votre teint si blanc me donne du tourment
Me donne
fait matante
La glasse était trempée d'eau
Mon postérieure en pleurs encore
Ferme les yeux
Pis rappelle toi comme les lumières semblaient plus allumées
nous semblaient interdits
Que ca nous serve de lecon
Mon double de moi mon garcon
Dis-moi qu'est ce que l'on a comme souvenirs
Tu m'as vu si souvent
J’ai été touché par toutes ces histoires
Qui du bout de tes lèvres semblaient si belles
Et lorsque je retourne chez moi
Je réalise à quel point le
J’ai été touché par toutes ces histoires
Qui du bout de tes lèvres semblaient si belles
Et lorsque je retourne chez moi
Je réalise à quel point le
Au fond de mon grenier
Un jour j’ai retrouvé
Un petit coffret à musique
Quand je l’ai remonté
Des notes semblaient chanter
Semblaient chanter sur la
tornades
Emportant avec elles ses sourires envolés
Sous son bras il portait un ourson que l'on croyait parlant
Tant leurs dialogues semblaient réels
Liés par
ses yeux, devinant ma frayeur
semblaient demander: De quoi as tu peur ?
il pleuvait doucement
sur ce triste chemin
les heures
et cette présence
épataient tant les cousins
et nous semblaient si beaux
le lavabo, la cuisine, la salle de bain
et sa baignoire à sabot
qui maintenant file dans l'air
en tout
J'ai préféré partir
Pour reconstruire un avenir
même si tout paraissait pépère tranquille,
Les pottos la routine me semblaient inutiles
J'ai préféré
m'arrêtais la gorge serrée
Il semblait plus grand que moi prés de toi
D'où j'étais je n'entendais pas vos voix
Elles semblaient tellement s'aimer
Ses
laissions nos cœurs se griser de bonheur
Les jours semblaient courts
Et les nuits toujours brèves
Nous ne vivions que pour chanter l’amour
Te souviens-tu des
sur un fil
A cloche-pied, les yeux bandés, tu sais, c'est pas toujours facile
Sur le bord des trottoirs
Les feux rouges semblaient briller
Pour celle
semblaient vrais.
Pour moi-même, ne t'ai-je pas crié
"Je suis à toi Je suis à toi
Mais garde-moi et serre-moi tout contre toi"
Un matin, l'été a fichu le
blancs avec des ailes
Semblaient vouloir toucher le ciel
Vraiment j'étais au pays des fées
Ce n'était qu'un rêve
Ce n'était qu'un rêve
Mais si beau
mélange!
Souvenir d’azur!
Du bleu je suis sure ! !
Saint-Raphaël en ce temps la !
Les journées semblaient éternelles!
Saint-Raphael, rappelle toi!
On était
(c'est pas ma faute à moi)
Si c'est pas carré (elle voulait pas de moi)
Esquisse d'idées qui semblaient belles sur le papier
Un jour ou l'autre (tu
Je n'avais connu que des passions
Beaucoup trop sage
En menant une vie de garçon
Volage
Tous les amoureux que je croisais
Me semblaient drôles
Et je
regarder ses dents blanches
Qui semblaient chanter les dimanches
Nous avions des nuits sans sommeil
Et des matins pleins de soleil
C’était si bon
De dormir
blancs avec des ailes
Semblaient vouloir toucher le ciel
Vraiment j'étais au pays des fées
Ce n'était qu'un rêve
Ce n'était qu'un rêve
Mais si beau
salut
Mais sur Terre, on m'avait affirmé que tu
Laissais venir à toi les brebis perdues
Si mes lettres de créance semblaient minces et sans effet
Si,
yeux
Comme un ballet exceptionnel
Réglé par les forces du ciel
Animé par le feu de Dieu, feu de Dieu
De la terre semblaient jaillir
Les accords
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