Lyrics:
l'encre de mes veines gravée sur l'alliance de nos épousailles la coïncidence de nos initiales c'est sur une pierre que l'on écrira au-dessous du lierre
lierre Chuchotés pour passer les millénaires Acides comme du liquide biliaire Dans le jardin d’Hitler Quelle connerie de retourner poussière Le pire
rivières, Tu sais, celles en diamants" Roucoule un jour Anna, enroulée comme lierre Au tronc de son amant. Le soir même apparaît dans l'écrin de soie verte
lierre retenait mes cris Je tremblais de peur sans défense Blotti, grelottant pour la nuit Parmi ce peuple indifférent D'arbres, de feuilles, de vent
Remet des glaçons dans mon verre Que je refroidisse ma lanterne J'fais que m'accrocher comme du lierre D'un gratteur toi t'en a tout l'air
L’appel d’air appelle l’au-delà, Sur le gazon squatte l’anaconda Qui grimpe le lierre Et fume, Tes mégots, tes mégots. Si tu l’entraînes station
à tendre les bras À faire trembler la citadelle Des milliers à refaire le monde Souffle le vent sur la nacelle Du lierre est monté sur ta tombe Et toi tu
à tendre les bras À faire trembler la citadelle Des milliers à refaire le monde Souffle le vent sur la nacelle Du lierre est monté sur ta tombe Et toi tu
Infâme dystopie Te possède en son nid Et laisse un lierre noire T'étouffer en son sein Les cendres se mêlent aux flocons Pour retomber et recouvrir ton
les grands du jour Ils sont vêtus de lumière De lierre, de pierres Des douleurs et des caresses Que tresse le temps Ceux qui s'aiment D'un
comme un lierre, De r'sembler à ton père, De nous faire la morale. Les autres, les autres ils font c' qu'ils veulent. Tant pis si on s' casse la gueule !
dans son manteau de lierre Alors je me débine par la fenêtre à guillotine La lune, astre obscène, éclaire la scène Alors je me débine par la fenêtre
J'écrivais ton nom sur les pierres Sur les cheveux de lierre Des ruines abandonnées Je t'attendais à la rivière Dans le bleu des fougères Auprès d'un
Aujourd'hui je commence Une autre vie Il y a longtemps que j'y pense Vu d'ici Il y a des pierres Qui poussent dans mon jardin Ce que cache le lierre
visage froissé par cette longue nuit J’ai encore des veufs Mes muscles les agrippent Du lierre qui voudrait m’étouffer Je suis voûté sous cette longue
Les lumières de la ville me ramènent aux années de sang Le lierre écarlate et les murs blancs L'indifférence des passants Les lumières de la ville
Moi j'étais comme une épave Comme un chien couvert de bave Contre elle des heures entières Accroché comme le lierre Elle était bergère D'un
terre Glacés, nos ongles pousseront Le lierre sera notre maison Les feuilles mortes et les fougêres Les animaux à fourrure et le sang des ruisseaux
l'inutile Derrière nous, campagnes et villages Ensevelis sous le lierre sauvage Ou seul un chien peut-être vit tranquille Nous sommes prisonniers de
l'inutile Derrière nous, campagnes et villages Ensevelis sous le lierre sauvage Ou seul un chien peut-être vit tranquille Nous sommes prisonniers de
toi, j'oublierai qui j'étais (tu seras hors-la-loi) Si je t'enchaîne à moi Tu aimeras tes chaînes Je m'accrocherai à toi comme le lierre à un
reste du temps le foin On écartait le lierre, aplatissait les ronces Allongés en quinconce, au bord de la rivière Entends-tu la rivière, toi? Et
photos dans l'album de famille Au bal costumé sur des parquets de valses enivrées de chandelles A Colin-Maillard près du grand mur de lierre qui ceinture
pas La façade serrait dévorée par le lierre On cacherait la clé simplement sous une pierre Il y aurait des étés il y aurait des hivers Et tout
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