Lyrics:
qui se rassemblent et ne font qu'un
Je suis métis ...
Deux façons de penser qui se rassemblent pour ne faire qu'un
Je suis métis ...
Pas besoin de
l’absence
Je m’octroie une pause
Avant que n’empirent les choses
Réapprendre à sourire
Se cacher pour guérir
Pour panser ses blessures
Moins y penser c’est
J'ai le béguin, je ne pense qu'à toi
C'est extra de ne penser qu'à toi
J'ai le béguin quand tu es dans mes bras
C'est extra, tu me rends dingue
temps de penser
Seule la douleur est mon allié, ton odeur s’est évaporée
Je ferme les yeux, arrête de respirer
Mourir de toi, partir pour toi
tout à l'heure chez lui
De sa chambre, en haut, on voit tout Paris
Il va s'laisser tomber sur son lit
Il essaiera de plus penser à rien
Pourtant tout
déconné pardon
Et toi tu jactes, toi tu jactes, fais attention
Peut-être qu'un jour j'pourrai penser à toi en me réveillant
Miroir miroir dis moi qui
votre bracelet
J'aime la manière dont vous reposez
Tristan Corbière sur le côté
Qu'allez-vous donc penser de moi si
J'attrape en rayon "Les années
bien des histoires sans refrain la nôtre relate du quotidien
On commence toujours par penser que c' qu'on traverse est qu'saisonnier
Et puis là on se
jusqu'à l'os
T'es terrifié mais tu l'as mérité car t'es qu'une salope
Tu vas y penser souvent, seul, médite ton flot de larmes
Et dis-toi que tes
quoi penser, à part qu'ça doit changer
C'est quand tu t'es cassé la cheville que tu les vois danser
C'est quand t'as rien dans l'bide que tu vois
idées, à force de trop penser, de trop m'écouter
Si c'est éphémère, je voudrais seulement voir la fin de l'histoire
Mais j'ai perdu au fond de mon île
"Tout les jours chasser l'ennui sur les marches"
On nous a dit de s'accrocher, de penser à l'avenir
De se donner les moyens de choisir ce qu'on
l'accès
Je sert les genoux
J'clôture ma forêt
Juste à penser au string
Je n'trouve plus le sommeil
C'était dans notre lit king
Que j'avais lavée la
j'suis pas jnouné, laisse, attends
J'me branle dès l'matin pour ne penser qu'au seille-o toute la journée
Autour de moi ça galère ça dramatise mais ça
clos
Moi je veux t'enlacer
Et sentir ta peau contre ma peau
Et ne plus penser qu'à t'embrasser
Dans les rues tout est triste et gris
Dans mon lit toi tu
Juste un billet où tu m'écris
que tu pars à l'aut' bout de la terre
tu disparais sans penser ni
à ton vieux partenaire
ni, pire encore,
à prendre ton
pourquoi tu viens pas?!?
Normalement, je devrais penser ce que je dis et non pas l'inverse,
Hein tu dis quoi toi, tu dis QUOI toi ?!?
on reconnaît les nôtres
Y'a de l'Skadrille dans l'air
Pas les plus à plaindre cousin, nos hlm sont rénovés cousin
Ce qui laisse de la place pour penser qu'à
libre
Respirer libre
Respirer libre
Mais que penser mon ange
Dans le meilleur des mondes
De ces tours qui s'effondrent
Devenant poussière et haine
J'ai
beauté-loup
S’est fichée où ?
Sous tes yeux que noie tout
Un vent salé
Ca te fait penser
A celle jamais revue
Et tant voulue
Qui t’a dit piano
Monte mais piano
bête ils font gol-ri ils veulent tout
J'suis loin de penser qu'ils mériteraient une belle mort
Et j'ai peur pour mon âme, peur d'm'en aller en m'étant
croire à ce que j'écris machinalement
Mais finalement c'est peut-être mieux car se rappeler c'est subir
J'ai oublié de penser qu'il était préférable de
bien des histoires sans refrain la nôtre relate du quotidien
On commence toujours par penser que c' qu'on traverse est qu'saisonnier
Et puis là on se
faudrait peut-être penser à sortir du troupeau
Au lieu d'sortir les couteaux et d'finir tête sous l'eau
Ça raisonne, ça raisonne, ça raisonne, ça
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