Lyrics:
l'hiver vient d'éclater
Le Saint-Laurent est prisonnier
D'un décembre qui va bien durer six mois
Quand les jours ressemblent aux nuits
Sans éclaircie
j'te démarre
Que des fuccboi de merde
Ils veulent sérrer mais
Ils ressemblent à koopa troopa
Minette veut se faire sauter
J'suis grand comme le
Bien ensemble, se ressemblent, il me semble, et s'assemblent
Les critiques, les pratiques, les racistes qui insistent
Tu papotte, tu pipottes tu
ressemblent aux ancêtres
Alors bon, j’ai du mal avec le cadre, c’qu’y’a lieu d’être
Franchement des pensées comme celles-ci, y’a pas beaucoup plus français
silence
Se rassemblent et se ressemblent
Ils rôdent autour de mes défenses
Sous le poids des nuages, je flanche
Et je sombre dans la quête
D'un amour
dôme orthodoxe
Même si mes plus vils vices me ressemblent,
Le chemin du bonheur te boxe donc ne pense pas finir heureux sans bleu,
On start le phillies,
Les bateaux ressemblent aux nuages lorsqu’ils flottent sur le ciel jaune
Dans les eaux bleues ils taquinent les algues, je me tiens loin d’eux…
Je
maintenant
ils s’inventent des voyages, sur l’asphalte du garage
et ma femme trouve qu’ils m’ressemblent évidemment
oh ma belle promeneuse, pense
dock ç’a jamais tué personne
Faudrait placer des gardes du corps qui ressemblent à Kevin Costner
Y r’connait pas les symboles sur les produits dangereux
enfin
Ses premiers sauts idéalistes
Dépassé passionnément
Mais chaque mètre franchi sur la piste
Toujours plus se ressemblent
Toute la vie d'un songe
couleur des rêves à un gout de Paprika
Tu n’as pas l’impression que le rêve et internet se ressemblent beaucoup
Ils permettent tous deux d’exprimer ce que
que de fesses
Celles de la mienne ressemblent à une pêche
Tes potes te laisseront seul dans la dech
Les miens sont derrière même dans la merde, god damn
ressemblent j’ai l'impression du déjà vu, je ne lâcherai rien tant que je ne serai pas au sommet
Réveille-toi car le sommeil est le frère de la mort elle ne
bambin d'fuir
Mes journées ressemblent à des lendemains de cuite
J'bouge sans un bruit
Dans une veste qui sent bien l'cuir (yeah, yeah)
Et pas le Lancôme
d’aimer et l’chrono qui continue d’tourner
J’crois qu’j’finirai canonisé
J’ai tellement de démons que mes journées ressemblent à un épisode de Martin
ressemblent
Comme si rien n’était valable
Et pourtant cette espérance
Confectionner nos évidences
Et puis simplement comme un adage
Tu me demandes, je te
les histoires ne se ressemblent pas
Dans ton miroir le soir tu ne voit plus que moi
Je ne comprends pas pourquoi tu fais ça bébé
Arrêtes un peu ton
Le temps lui passe
Mais les jours eux se ressemblent
Comme un mois infinis de novembre
Le vent froid souffle ne laissant qu'en un brasier
Le mois
tu me diras que ça se ressent
On ne maitrise plus rien, tout comme les sectes et les états se ressemblent
Sans casques et sans balles, font face à ceux
brûlante
De ces époques où chaque situation semblait naissante (Ouais)
De plus en plus d'instants de vie se ressemblent, j'me perds en y cherchant du sens
maintenant
ils s’inventent des voyages, sur l’asphalte du garage
et ma femme trouve qu’ils m’ressemblent évidemment
oh ma belle promeneuse, pense
dans le désert
La nuit est claire, remplis mon verre
On boit à tout ce qui peut se passer
Les phares dans la brume ressemblent
À nos nuits blanches
ressemblent
Les mêmes marques se sont dessinées
On est nés ensemble
T’es dans ma vie
T’en fais partie à jamais
Tu connais bien la sueur de ma main
Qui cherche
oubliettes
Ou couper le fil de l'eau
Alors qu'il s'en faut de beaucoup
Pour que sans nous trahir
Nos actes nous ressemblent
Et nous suivent jusqu'au bout
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