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Encore un cul de sac
Encore un vent de mauvais
Quelques coups de matraques
Toujours, nul part où se sauver

Chacun reste à sa place, sur le ventre

tristesse
De cette grande famille en famine assoiffée de tendresse
Emmurée dans sa migraine au point d'en oublier
Son cœur et ses deux mains

Paris, je te

Qu'elle prend sa place
Toujours plus hot
Elle fait son casse

Elle m'appelle c'est son biz
Me mythone se déguise
En stratégie m'influence
Me stoppe dès que

partir, t'as ma photo

L'homme qui fait taire Trotsky sans le regarder en face
A jamais touché de royalties sur le pic à glace
Déposé le brevet à sa place

froid, la brume est épaisse
L'union fait le chaud
Chacun va selon son espèce
Qu'il chasse ou qu'il paisse
Dans sa meute ou dans son troupeau

Aboyer avec

C'est ma terre
Mon histoire, mon mystère
C'est ma terre
Moi son grain de poussière

Qu'on m'enterre par devant sa lumière
Revoir mon frère, redevenir

grand hall
Toute émue sa soeur nous attendait près du contrôle
Elle était très jolie
Elle n'avait pas de mari
Tout le reste est sans importance
Car c'est

féminin glissait sur la moquette,
Je vous jure que le mien lui faisait sa fête
Mon jean et moi,
(toudou doudou) et moi.
Ensemble on s'est fait tellement de

donnerait quand même
Les trois-quarts de sa vie pour une autre semaine
Pour un autre jeudi où elle vous attendrait, dans l'aube
Aussi jolie qu'un cœur, qu'un

dans un canon. (Boum)
Sur sa brassière y avait déjà des galons.
Un homme de guerre, c'est pas la moitié d'un con.

Un petit coup de Marseillaise. (Oh

baguette
Son professeur joue de la contrebasse
Et ça fait rire les copains de sa classe

Nicolas

Mais une grosse voix soudain le réveille en sursaut
Pour la

Fini pour lui d'aller au bureau
Pour gagner sa maigre pitance, c'est la vie qui commence !

Champs Elysées : Monsieur Bernard fait des claquettes !
Pour

ai appris
Mes douleurs et mes joies, mes envies
Au coeur de la rue, c'est là que j'ai grandi

J'y vois de sa chaleur, son feu n'a pas de prix
Est gravé

états maladifs
Tout l'monde ne prend pas sa part de rif

Et je les vois remplir d'objets
Leurs maisons et leurs cerveaux vidés

Le vent s'est levé

les sas, hardcore est la basse, pas d'espace
Pour les gosses, plus de place, va y avoir de la casse, hélas
C'est le cas quand l'as des as se dépense,

s'enfuir
De peur de rêver à demain

Alors elle rit, elle vit, elle danse
Demain, elle sait trop bien
La couleur de sa chance

Mais tant qu'elle vit, elle

C'est sa façon à lui de pouvoir mieux décrocher
Du stress de la vie et de la société

Ils sont entrés, la police montée
Ils ont tout saccagé, ils l'ont

Malo comme pour sauver sa vie

La terre est basse, Monsieur, la terre est basse pour qui ramasse
La terre est bonne, Monsieur, la terre est bonne pour

L'histoire de ce poète qui s'est fichu à l'eau
Parce qu'un Dieu muet dans une église altière
Ne répondait jamais à sa moindre prière
On lui fait en secret au

Dans ce train qui m'emmène loin
Je me demande pourquoi
Dans le bruit des roues
J'entends comme un écho de sa voix
Je sais qu'elle me mentait
Quand

des choses a dire
Sans sa musique c'était parfois difficile
Elle m'a donné les clés pour te retrouver
Toi la bas dans l'ombre dans la nuit il faudra

cygne qui danse
Dans sa robe de providence
Laisse un écrin dans mon âme
Comme ces victoires sur l'ennui
Et ces jours qu'on a écrit
En petit
Juste pour soi

Quand Jean était petit
Dans le pays des Cajuns
Il aidait sa maman tout le temps
Il peinturait la maison en blanc
Il peinturait la maison tous les ans

Mais un bon matin je quitté sa banlieue
Un peu plus loin un peu plus vieux
Loin du coeur et de ses yeux

Hun, hun, hun
Hun, hun, hun
Yeah, yeah, yeah,