Lyrics:
Tu nous verras sûrement dans d'autres gamos, d'autres terrains, d'autres fours Dans la jungle et ses tumultes, j'ai atteint ma taille adulte Une
Sous les néons de la ville On cherche l'étoile qui brille Dans le tumulte et le vacarme On danse au rythme des alarmes Des rues bondées de secrets
qu'un enfant Y a la vie qui m'attend Et moi je prends le temps Je préfère rêver Y a la vie qui m'attend Le tumulte des grands Fait pas rêver Y a la
rien à foutre de Jacques Mesrine J'me méfie de tout et de tout l'monde Car beaucoup se défilent et trahissent quand le ton monte J'accumule les tumultes
resterait deux hirondelles indociles Annonçant les printemps à plein temps sur une île Où l'on vivrait loin du tumulte imbécile Des sifflets des agents
La lumière soudain est chimère Mille fragments s'évaporent doucement Sous l'écume éternelle quiétude Je ne veux pas venir à toi Le tumulte des vagues
pour moi ne s'achèvera pas Voici venue la fin de cette vie Un dernier souffle, un dernier pas Que m'importent à ce moment Le tumulte et le carnage De ce
s'emplit d'air se fait poumon vivant Comble le manque et fait sonner l'instant Qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qui Tumulte ahurissant Qu'est-ce qu'est-ce
écouter le cœur qui bat en toi La chamade des instants de fougue Et le tumulte des ses vas et viens juste avant que je ne t'éclabousse Et le tumulte de
Ma vie est une mer d’huile qui cache le tumulte Comme au cœur de la ville j’y dors, j’y meurs, j’y lutte Les voiliers me déchirent et dans mon pur
milieu du tumulte En robe de ciment La fumée des voitures Les cailloux des enfants Les yeux sur les champs de torture et les poubelles devant
milieu du tumulte En robe de ciment La fumée des voitures Les cailloux des enfants Les yeux sur les champs de torture et les poubelles devant
milieu du tumulte En robe de ciment La fumée des voitures Les cailloux des enfants Les yeux sur les champs de torture Et les poubelles devant
tumulte du même cœur Nous serons plus qu'amants Nous serons plus qu'ailleurs Rome dans chacun de nos soupirs Et se fondre jusqu'à devenir Une
Ecris quelque chose de joli, des vers peut-être ou de la prose Un instant de rêve et de pause dans le tumulte de la vie Ecris quelque chose de joli,
Frédérique endormie, un visage d'enfant Au milieu du tumulte de ses cheveux défaits Immobile dans l'amour de son père Saisie en un instant au bout de
Eighties Un peu moins jeune, un peu plus vieux Tout juste assis entre les deux Dans le tumulte stéréo Un peu adulte, un peu ado Entre deux ages, entres
milieu du tumulte En robe de ciment La fumée des voitures Les cailloux des enfants Les yeux sur les champs de torture Et les poubelles devant
Capitaine Que le vide entraîne Sous les étoiles Comme pollen Ta peine, Dans le grand tumulte des cieux Comme pollen Dans le grand tumulte
l'inondent Nous nous sommes aimés De coeur en porte à faux Nous nous sommes aimés Dix ans trop tôt Au temps des inconscients Et merveilleux tumultes Plus tout
Dans le tumulte infernal D'un gigantesque bal De quatorze juillet Ton coeur fit à sa façon Une révolution Mais seul ton corps dansait La Carmagnole
mes nuits Aveuglé par le verbe aimer J'ai laissé l'amour s'essouffler Dans ses tumultes Et d'âge d'enfant à vieillard J'ai occulté sans le vouloir Mon
Tu voudrais que ta voix Domine le tumulte Tu voudrais que l'on t'aime Un peu comme un héros Mais qui saurait quand même Faire des ronds dans
Tu voudrais que ta voix Domine le tumulte Tu voudrais que l'on t'aime Un peu comme un héros Mais qui saurait quand même Faire des ronds dans
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