Lyrics:
Tiqua
Sous la lueur des néons qui trainent
Sous la lueur des néons qui trainent
Dans la rue où le temps s'égrène
Sous la lueur des néons qui
malfrats qui trainent dans les parages pow pow pow
Grr pow pow pow ah
Bevo il caffè da Gucci quando ci spendo un palo
Ho visto cose brutte rapperini no non
malfrats qui trainent dans les parages pow pow pow
Grr pow pow pow ah
Bevo il caffè da Gucci quando ci spendo un palo
Ho visto cose brutte rapperini no non
Des malfrats qui trainent dans les parages (pow pow pow)
Bevo il caffè da Gucci quando ci spendo un palo
Ho visto cose brutte, I rapper non li
mes pieds m'traînent
J'viens d'là où les gens disent tous emmerder l'système
J'vais là où la vie m'mène, là où mes pieds m'traînent
J'viens d'là où
C'est pour ma ville Valence city et les autres
C'est pour ma team qui rap à l'ancienne et les autres
Pour ceux qui trainent en bas des halls,
J'aime
Les histoires d'amour qui traînent
Celles qui vont et qui reviennent
Qui se gamellent qui tombent à l'eau
Celles
Qui au fin fond d'une
histoires
À trop fumer la keush
On va s'aimer on va se perdre
Quelques euros dans la poche
L'reste on va braquer ça
Quelques plaies traînent sur mon corps
soleil
A l'arrière d'une mustang noire étincelle
Avant toi j'étais rien
J'ignorais le refrain
Que les voyages traînent
Du soleil et nos mains
Viennent
vieilles dosettes qui traînent
Jusqu'au coin d'Caron
Entre ceux qui ont plein d'oseille
Dans leurs paniers d'osier
Pis ceux qui pissent dans leurs bas
de ceux sur qu'il faudra compter
J'vais là où la vie m'mène
Là où mes pieds m'trainent
J'viens d'là où les gens disent tous emmerder l'système
dis
les nuits sont toutes les mêmes
les nuits sont toutes les mêmes
on s’lasse des jours qui traînent
des dernières éclaircies
les nuits sont toutes
laquelle on pleure
Me soutiennent dans mes propos
Et m'entraînent traînent traînent
Toujours plus haut
Ils sont les conseils, l'assurance
Ils sont les
le soleil
A l'arrière d'une mustang noire étincelle
Avant toi j'étais rien
J'ignorais le refrain
Que les voyages traînent
Du soleil et nos mains
fermé les yeux en pensant à ma tombe
J'suis abîmé
Abîmé, comme les billets qui traînent au fond d'ma poche
Abîmé
J'suis abîmé
Abîmé, comme les
même pas j'leur Ai donné l'heure
Les frères traînent dans les rues De Paris jusqu'à en devenir paro
Les frères traînent dans les rues De Paris jusqu'à en
trop baggy
Pas d'empathie
Vont en pâtir
Les ennemis je dois les appâter
Trouvent ça fou c'est pas tout
Les ennemis trainent dans mes pattes
Je traine au
bloque
Mes réflexions quotidiennes m'engrènent
Chaque jour vers l'incertitude
M'amènent à trop penser
Me traînent vers la lassitude
C'est triste mais
grandi dans les
Pa ! Pa ! Pa !
Devant monsieur l’agent ça parlait
Pas ! Pas ! Pas !
Les mauvaises influences te traînent en
Bas ! Bas ! Bas !
Dieu merci
j'me vautre
Trahis par les autres
Trahis par les vôtres
J'sais plus trop ce que j'vais foutre
J'me balade là où mes jambes me traînent
Où j'n'ai plus de
vécus trop de diez de fouteurs de troubles
Qui traînent dans l'allée
Lamine tu sais c'est le diez
On fait tout sauf le coupé décalé
Trop de vécus trop de
dans leurs pensées te culbutent
Il y'en a des doux sensibles et beaux
Qui ne riment pas avec salauds
Tous les hommes ne traînent pas le soir
Pour salir
fouille l'ardeur pour trouver la passion
J'ai cherché la passion
Mais ses fines mains me traînent
Me relèvent et me font dire que je l'aime
Me rappellent
Des papiers qui volent et des pensées qui traînent, en guise de petit dèj'
J'prends ma dose dès le réveil, hum-hum j'aurais p'têt pas dû
Maintenant
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