Lyrics:
T'étos là comme einne montagne bien à plache Té faisos partie ed'nou paysache Qui d'nou pères i aurot pinsé que ch'terril Par un bieau jour i
débourser un sou d'train Ej' passe mes vacances tout in haut de ch'terril J'a toudis d'la chance ch'terrain i'est jamais pris J'monte eum'toile ed'tente,
Enfant terrible J'ai creusé mon repère Creusé dans l'terril Enfant terrible J'ai creusé mon repère Y'a des voix dans ma tête : j'entends des rimes
Les souv'nirs ed'chés gins qui allottent à l'fosse Pus d'chevalets, pas d'terrils, et pas d'corons 'vous lamint'rez aussi, dù qu'i sont? Dù qu'i sont
Elle avait au bout des cils Un peu du charbon des terrils Rougeàgèvre C'est le nom que je lui donnais Pour ses lèvres colorées Colorées comic strip
Entre le textile le charbon les mur de briques et les mines ?Les cités minières le ciel gris les usines ?Les courées les pavés les terrils et
positive Mais à l’époque, c’était une exception, un fait d’archives Liège, ma petite Sicile Où l’horizon se cache derrière des terrils Mais les nonos ont
cabanes dans le terrils La nuit tombait, on s'esquivait, flippé des drogués J'crois qu'on devient un peu trop facilement similaire à ce qui nous effraie
Entre le textile le charbon les mur De briques et les mines Les cités minières le ciel gris les usines Les courées les pavés les Terrils et l’crachin
mon amour, c'est le sel C'est le sel, c'est le sel Car le sel est vainqueur, il reprend ce qu'il donne Puis finit, comme nous Sous un terril terreux
tout ce qui crame dans mon âme, dans mon cœur J'prend les armes et j'me place et puis j'attend mon heure J'grimpe sur le terril , j'vois l'monde et c'est
les champs Toujours en dessous de la petite ceinture rêvant Arpente les buttes comme des terrils comme Sir Mixalot en prédit Ici ici c'est pourri Tu me
s'envoler ses tours Et l'on jurait avant Que ça durerait toujours Corons, terrils au Nord Litanie des paysages Aux vivants comme aux morts La mine
était heureuse Dans la buée des lessiveuses Et j'avais des terrils à défaut de montagnes D'en haut je voyais la campagne Mon père était "gueule noire"
A pieds joints dans le ciel Laissez-moi Regarder la montagne Mon terril de campagne S'envahir de verdure Laissez-moi mon nord de cocagne Des souvenirs au
oliviers, oh yeah. En France, on a les corons, la pluie, les terrils des bassins houillers, ouh yeah. Say yeah, Oh yeah Oh yeah, Oh Yeah Yeah, Oh Yeah Oh
ça reste en France, les Français restent des Français Des terrils d'arrogance, l'inégalité au sommet Après cet air géographe, une petite explication
souvenirs Les chômeurs désoeuvrés Vont parfois se balader Devant les grilles fermées c l'ombre des terrils Les milliards sont partis Là où c'est beaucoup plus
Fidji, cendres Avec envie de s'y défendre, y'a plus Un seul pote pour partager Pu un soutien, l'ombre faut l'constater J'brule comme un feu d'terril
marxistes Chez nous le chômage fait partie de la famille Comme l'amiante, l'oubli, la silicose et les terrils Quantités négligeables dont la vie ne tient
s'envoler ses tours Et l'on jurait avant Que ça durerait toujours Corons, terrils au Nord Litanie des paysages Aux vivants comme aux morts La mine
sont un peu marxistes Chez nous, le chômage fait partie de la famille Comme l'amiante, l'oubli, la silicose et les terrils Quantités négligeables dont la
était heureuse Dans la buée des lessiveuses Et j'avais des terrils à défaut de montagnes D'en haut je voyais la campagne Mon père était "gueule noire"
était heureuse Dans la buée des lessiveuses Et j'avais des terrils à défaut de montagnes D'en haut je voyais la campagne Mon père était "gueule noire"
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