Lyrics:
d'adieu sur la desserte
Dans mes yeux le désert
Dans mon cœur le désordre
L'opprobre
Mes problèmes te désole
Désolé pour hier
Tu ne m'as pas reconnu
critères
De sélection
Je manque de terre à terre
En orbite ou bien hors d’ordre
Je suis à l’ordinaire
Dans l’opprobre
Je roule ma boule dans le
dans les dangers prosaïques
À la merci d'un Flot énergétique
Récit épique cri acoustique
Charnier alchimique
De l'eau des corps c'est l'opprobre
De l'eau
L’opprobre PART I
J’ai joué le dur je balise d’être la risée
Attristé mes larmes intériorisées quand croiser
Le regard de ma mère me terrorisait
L’opprobre PART II
D’où je suis, je vois la haute caste se régaler de nos frasques
Nos fautes et nos vautres quand pris dans la bourrasque
Nos
tyrans et vous perfides
L'opprobre de tous les partis
Tremblez! vos projets parricides
Vont enfin recevoir leurs prix!
Tout est soldat pour vous
pénitences
Où me mènent le sort, j'y ai connu l'accoutumance
Jusqu'à ce jour, à subir l'anémie de tes tendresses
Je n'ai su discerner l'opprobre et perdu ma
l'ouvrage,
L'opprobre en abattage envers mes propres tréfonds,
Epuisé par l'insupportable mobilisation, condamné à la rage,
J'assisterai au décrassage en la
Nourrissant au seins , ses condamnés
Aux errances entravés de milliers de fardeaux
Et sur leurs apparats souillés
Le foutre des Géniteurs
D'opprobre en
l'opprobre
Désir extatique guidé par l'Esprit délétère
Abandonné et meurtris, je ravale ma misère
J'observe mes idoles décharnées ployer du genou dans la
down, I got my black suit
Je suis pas né dans l'eau propre
Je suis damné par l'opprobre
Je couche avec toutes mes obsessions
Il me faut une autre session
Yeaaah iyeah, yeaaahi yeaah iyeah
Déterminé for my city, icône je veux devenir
Ce que je crains c'est l'opprobre
J'poursuis mes rêves jusqu'à ce
Rapprochement entre opacité et lucidité, égoïsme et l’amour propre
Confusion entre gentillesse et lâcheté, l’honneur et l’opprobre
De pertes et acquis, trop de
l’opprobre par l’style.
Dopé à Drop de Pharcyde.
En gros, on compare des femmes avec des catins.
Mieux, n’confond pas ma barbe avec ta flemme du matin.
les montagnes,
Couvre leur visage d'opprobre pour qu'ils recherchent Ton Nom : Hacheim !
Enfermé dans ce carcan idéologique et nourri des massacres de
comme l'opprobre et comme le blasphème !
Ô Dieu ! qu'il soit maudit au nom du travail même,
cu nom du vrai travail, saint, fécond, généreux,
Qui fait
un objet de moquerie
D'opprobre et de risée pour ceux qui nous entourent
Jusqu’à quand, Eternel,
T'irriteras-Tu sans cesse ?
Et Ta colère
l'opprobre
Le manifeste comme la noirceur de mon âme
J'compte plus les têtes tranchées sous les coups de ma lame
Je sais qu'je vais vivre jusqu'à 100 ans
Car
d’une très triste
Que j’ai su a qu’elle point Jésus m’a aimé
Personne à qui ne me confier nulle à qui me fier j’ai souffert l’opprobre
J’ai fini par
Qui met en cloque l'opprobre
Réveillez-le, réveillez Kurtz
Contre la mort de l'été
Elle si triste la rentrée
Pour ceux qui ont peur de briller
Allume un
j'espérais
Pouvoir jeter l'opprobre sur tous ceux qui m'exaspéraient
Là Alena est apparue comme une déesse dans le palace de mon ivresse
Alors qu'j'étais en
D'épitaphe
Où sifflent les vents humides et glacés
D'un opprobre atavique,
L'œil était dans la tombe regardant
En silence
Un animal sans nul autre prédateur
de Jésus,
Son opprobre je veux le porter.
Jusqu'au jour bienheureux où, parmi les élus,
Dans le ciel, je pourrai l'exalter.
Dans la solitude et dans les larmes,
Dans les brumes épaisses
D'opprobre et de terreur,
Débile de fièvre et perclus de frissons moites
Se consument
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