Lyrics:
Tout les tout les jours,
Si tu le fais pour ta santé
Bien trop d'amour pour le violet, le vert ou l'oranger
Mets de la couleur au bout du compte
Les roses d'Ispahan dans leur gaine de mousse,
Les jasmins de Mossoul, les fleurs de l'oranger,
Ont un parfum moins frais, ont une odeur moins douce,
Les roses d’Ispahan dans leur gaine de mousse
Les jasmins de Mossoul, les fleurs de l’oranger
Ont un parfum moins frais, ont une odeur moins douce
Ô
constante de l'autre
La liberté est-elle toujours nôtre
L'oranger se fiche des regards
Je l'aime et ça c'est trop tard
Je garde malheureusement
Ce petit
Fumeterre
Ne peuvent en oublier Jasmin
Dessiné par l'odeur de l'Oranger
Qu'un Pissenlit semble lui ôter
Ouais t'y comprends pas grand chose
Alors laisse moi
Penser à
Arroser l'oranger
Regarder, le jour
Un brin de lune
Écouter, la nuit
Le vent doux
Parler, parfois
A son double
Sans crainte des troubles
Et
affres de la nuit viennent de réveiller
Faut-il oublier le tendre plaisir
Des automnes sereins au pied de l'oranger
A écouter sans fin notre mère dévider
tester
Sous l’oranger je ferai sécher
Logo SOIF tatoué au henné (soif soif)
J’suis qu’un petit gars du coin
Qui veut éviter le climat du coin
Toute ma
sa rose
Avec un billet qui propose un rendez-vous à l'hacienda
On s'était enlacés sous l'oranger mais la dueña
Dont c'était le métier criait
Ainsi, mon cher, tu t'en reviens
Du pays dont je me souviens
Comme d'un rêve
De ces beaux lieux où l'oranger
Naquit pour nous dédommager
Du
préfère
C'est le bleu, le bleu des bleuets. {x2}
Oh le velours brun des pensées,
L'oranger blanc des fiancées,
Les lourds glaïeuls, le lis fluet,
sa rose
Avec un billet qui propose un rendez-vous à l'hacienda
On s'était enlacés sous l'oranger mais la dueña
Dont c'était le métier criait
sa rose
Avec un billet qui propose un rendez-vous à l'hacienda
On s'était enlacés sous l'oranger mais la dueña
Dont c'était le métier criait
sa rose
Avec un billet qui propose un rendez-vous à l'hacienda
On s'était enlacés sous l'oranger mais la dueña
Dont c'était le métier criait
semble toujours s'arranger
Sous l'ombre de l'oranger
Não somos uma bobagem
Não somos uma bobagem
Não somos uma bobagem
Não somos uma bobagem
Não somos uma
poire, dans le poirier
La prune, dans le prunier
Et la guimauve...
L’orange, dans l'oranger
La banane, dans le bananier
La cerise, dans le cerisier
Et la
lavande
Ta gorge chaude l'oranger
Mes lèvres vont se mélanger
A tes lèvres gourmandes
Rien ne viendra nous déranger
Le vieux moulin à vent
Ne battra plus
moutons
L'oranger de la studette caresse
Le soleil qui entre par la fenêtre
Tu écris frénétiquement
Ton rire résonne parce que décidément
Elles sont trop
terre, près de la Méditerrannée
Ils grandirent dans la lumière, entre l'olive et l'oranger
C'est presque au jour de leurs vingt ans qu'éclata la guerre
Sur le Guadalquivir
Brillant serpent
Au milieu du désir
De Séville embaumée
Le safran, l'oranger
La poudre et la vanille
On aimerait voguer
Le
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