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Tes yeux plissés et je plane
Une caresse bien, placée j'me pavane
Nos rires hébétés, c'est d'la came
Le temps est stoppé, on se damne

On a tchatché

La hsebet sobi eyhoun
W la hsebeta ani yedghiab
La hébété sobi eyhoun
W la hsebeta ani yedghiab
Li gabal kont lih oon
Li gabal kont lih oon
W enta

Quand le corps reste alangui
Lourd, tout hébété
Le temps de l'été

L'esprit s'encotonne
D'immobilité
Puis nous laisse atone
Le temps de l'été

neutrons
Terrifiés et hébétés
Un vieux rêve infantilisé
Tout est foutu enfin il paraît
Paroles de ploucs sales sans pitié
Bombes et Violences autorisées

peu hébété
On voyage dans le love et on le fait jusqu'au p'tit matin
J'suis du genre à rouler seul dans la night
Dose pas la vitesse et donc je fonce

bien des vies.

Par une rugueuse miit d'été 
li s'écroule sans espoir 
Et a perçoit, hébété, 
Une silhouette dans le noir. 
Puisque vous medeman-dez

pas vu la diff' (wa)
À quoi bon? (À quoi bon?) Va falloir le faire
Bâtards de merde, j'ouvre l'armoire de guerre
Tu t'es fait péter, sourire hébété (wa)

de la fête
Tout droit, plus de voute
C'est pour toi, tout va bien pour (moi)
Mois d'aout, plus de doute
Danse et chante, sans soucis
Ce refrain hébété

Ton nez pété t'es hébété
Projet pété et t'as floppé
Miss t'as quitté fais que d'pleurer
Prend un re-vé pour oublier
Doré doré faut combiner
Rimes

Dans le flot incessant des dos voûtés
Anonyme, porté par le souffle de la docilité
Hébété par le mimétisme des attitudes 
Étourdi d’hombre et de

Couplet 2 :
Nos souvenirs n’sont plus que vestiges
Et j’fais que me répéter
Ton sourire me donnes le vertige
Me laisse un air hébété
J’arrive plus

frénésie.

Mais ce fut cependant une joie plus grande encore
Que de jouir un moment du malheur de ses fils.
Orphelins hébétés, Thorismond et consorts

prend ma guitare puis je chante doucement dans l’île
Ce refrain magique que m’confia un vieux sorcier

Refrain :
Barnabé boule de bile
Ballonné Hébété 
Le

dare-dare! ».
Te v'là tout dépité, tout hébété, tout abimé sur le bitume.
Tu titubes à tâtons jusqu'au troquet du coin,
Retrouver Boris et Bobby, deux imbibés

Imaginez, la mer Méditerranée en été
Inhabitée, humanité ensablée, un bébé
Sa mère minée, et les gens hallucinés, hébétés
Inanimé, sur la plage

tous deux éblouis 
Nos deux cœurs hébétés.

On volait, on volait
Ne pensant à demain 
Je chantais, tu riais, 
Dans nos draps de satin.

Mon amour, toi

recommencer

Encore le goût du sel sur les lèvres
La chaleur, la sueur de la fièvre
Les après-midi d'été un peu ivres, hébétés
Nos rires et nos pleurs

disparaît à jamais
Je m'apitoie
Je reste seul, je pleure, c'est ma vie
Mon triste destin
Comme un grand chêne à abattre, un pantin
Tout hébété
Le vide est là,

dans le nez le soir
Ma mémoire me terrassait
J'ai besoin de mon THC
Mauvais souvenirs c'est à j'ter
J'préfère sourire hébété
Devant le miroir j'me

la psy peut pas m'aider
En même temps j'temps j'cris pas mayday

J'rentrais tout seul hébété

L'oasis est bien trop loins

Et quand j'suis triste

pièces d’or
Bardella, et Le Pen, passait, sonnant du cor
Et l’un avec la hart, l’autre avec la cravache
Nous fouaillaient – Hébétés comme des yeux de

regard se détourne, et il contemple 
Hébété l’image que lui renvoie la ville, 
Entité immense et tentaculaire qui l’attire, irrésistiblement. 
Alors pour

Devenus trop hébétés
Qui avait décrété
Qu'on serait pas protégés
Je m'étais promis de pas bitcher
Mais faut croire que c'est inné
J'peux pas m'en empêcher

expérience de vos consciences. Quels hommes mûrs! Des yeux hébétés à la façon de la nuit d'été, rouges et noirs, tricolores, d'acier piqué d'étoiles d'or des