Lyrics:
Ma tristesse est bien trop grande Je n'en trouve même plus l'exit Tout éploré je m'endors Chaque soir comme un mort Vers qui dois-je me retourner
éplorés Mais rien que l'Occident Même avec le temps Ne pourra jamais effacer Les rues de Beyrouth inondent mon parcours de saveurs, de couleurs et
tabac Quel tabac Quel tabac Quel tabac Les cigarillos me Valent bien souvent les adieux éplorés Des femmes de qualité Et de courtisanes Les
Quand ivre de silence Rien, plus rien n'a de sens À vos yeux éplorés Quand le cœur se déchire Quand vous pensez mourir Voici qu'un autre amour Un
Quand ivre de silence Rien, plus rien n'a de sens À vos yeux éplorés Quand le cœur se déchire Quand vous pensez mourir Voici qu'un autre amour Un
Cailloux taillés en cœur de gavroche Cœurs éplorés, censure approche On peut s'les faire ! On peut s'les faire ! Silence mais, chut !
décimés Par les pestiférés Les maigres survivants Arrivent en claudiquant Tel un rapace Porteur d'effroi Chasseur pugnace Semant l'émoi Le linceul éploré
Allons parents de la patrie Les jours trop noirs sont de sortie Contre vous, enfant éplorés La sonnette ne fait que sonner La sonnette ne fait
D’après les anciens Ecrits, C’est au temps où, dans Paris, La Duchesse Anne était Reine Qu’un soir d’Automne éploré Naquit auprès de Vitré La
éprises errant dans leur peine Qu'éploré l'Automne a délaissé par flemme Je t'haine, bébé je t'haine C'est une entreprise vaine Je reste accrochée à tes
Où étais-tu, Seigneur quand mon pays éploré Dévasté par les malheurs ne pouvait se relever Je veux croire Seigneur Que sur tes enfants tu veillais
puni On peut alors rêver D'être absout ou béni Si peu qu'on soit tueur Eploré, repenti Occasionnel joueur Conducteur averti Et ils sont des légions De
recompenser Je le couvre de caresses et de mes baisers Et il passe tout son temps a me regarder Je le vois me supplier de ses yeux eplores Et l'amour est bien
ouverts Mes jambes, mes hanches et mes mains Et d’eux sans moi sans lendemains Quand je pense à leurs beaux discours A leurs yeux éplorés d’amour J’ai le
les veufs éplorés j'assume tant pis Entre nous y'a plus d'envie On n'retrouvera jamais son corps J'irai toucher l'assurance vie Elle m'a saoulé alors
A vendre des mouchoirs aux éplorés du temps Si c'était à refaire, je vendrais des vipères pour des couleuvres Je bétonnerai les fleuves Je pendrai
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