Song parody of
Sébastien
by Sweem
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Occuper des bouts de bois
Trouver ta place dans le noir au milieu des tigres
Ça siffle et ça crie devant
Au milieu de ses figurants toi tu t'abîmes, trop fragile
Par le froid et le vent
Regard d'un survivant
Auprès des néants qui caressaient le vide
Qui caressaient le vide
Toi tu t'es laissé
Éviter les saisons, s'éloigner des rives
Loin des lumières vives
Toi qui a tout laissé
Encore de retrouver par terre
Rêver d'Asie et d'Angleterre, t'raconter des films moins difficile
Au diable les peurs, l'amertume
Privé du fond dans le bitume, un peu trop abîmé, arts et métiers
Par le froid et le vent
Regard un peu combattant
Auprès des néants qui caressaient le vide
Qui caressaient le vide
Toi tu t'es laissé
Éviter les saisons, s'éloigner des rives
Loin des lumières vives
Toi qui a tout laissé
Petite station balnéaire
Mélange de paradis d'enfer, apprivoisé obligé
Tu en sors pour te rappeler
Le bon goût du vent pollué, toutes ces nuits qui s'éternisent
Par le froid et le vent
Regard un peu tremblotant
Auprès des néants qui caressaient le vide
Qui caressaient le vide
Toi tu t'es laissé
Éviter les saisons s'éloigner des rives
Loin des lumières vives
Toi qui a tout laissé
Occuper des bouts de bois
Trouver ta place dans le noir au milieu des tigres
Ça siffle et ça crie devant
Au milieu de ses figurants toi tu t'abîmes, trop fragile
Par le froid et le vent
Regard d'un survivant
Auprès des néants qui caressaient le vide
Qui caressaient le vide
Toi tu t'es laissé
Éviter les saisons, s'éloigner des rives
Loin des lumières vives
Toi qui a tout laissé
Encore de retrouver par terre
Rêver d'Asie et d'Angleterre, t'raconter des films moins difficile
Au diable les peurs, l'amertume
Privé du fond dans le bitume, un peu trop abîmé, arts et métiers
Par le froid et le vent
Regard un peu combattant
Auprès des néants qui caressaient le vide
Qui caressaient le vide
Toi tu t'es laissé
Éviter les saisons, s'éloigner des rives
Loin des lumières vives
Toi qui a tout laissé
Petite station balnéaire
Mélange de paradis d'enfer, apprivoisé obligé
Tu en sors pour te rappeler
Le bon goût du vent pollué, toutes ces nuits qui s'éternisent
Par le froid et le vent
Regard un peu tremblotant
Auprès des néants qui caressaient le vide
Qui caressaient le vide
Toi tu t'es laissé
Éviter les saisons s'éloigner des rives
Loin des lumières vives
Toi qui a tout laissé