Song parody of
Je Prefere
by Jena Lee
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J’ai toujours essayée de plaire
J’ai toujours été sincère mais j’y perds
J’ai suivi les règles pourtant
Je prends des coups de pieds dans mes sentiments
Je voulais briller dans le regard des gens
J’me suis oubliée j’ai juste perdu mon temps
J’veux plus être quelqu’un de clair
Quitte à sombrer j’préfère tout foutre en l’air
J’m’habille de défauts (assez)
J’préfère sonner faux (assez)
Que de faire des efforts
Je tomberais quand même j’préfère tout foutre en l’air
J’m’habille de défauts (assez)
J’préfère sonner faux (assez)
Je préfère qu’on m’ignore
Je ne veux plus grandir, je ne veux plus rien apprendre
Je préfère bânir tous les gens qui me hantent
Je préfère me dire que je n’ai plus rien à attendre
Je préfère m’enfuir dans le monde que j’invente
Je ne veux plus grandir, je ne veux plus rien apprendre
Je ne veux plus souffrir, je préfère qu’on me mente
Je préfère haïr plutôt que de dépendre
Je préfère m’enfuir dans le monde que j’invente
Je respire en brulant mes ailes
Le désespoir fait vivre ceux qui le gère
Je n’ai plus besoin d’être celle
Qu’ils attendent, je surprends suivant l’effet lunaire
Et si mes mots veulent être vulgaires
Ça décorera juste mes chansons debip , rien à faire…
Qu’on me demande quelque chose, je f'rais le contraire
Quitte à déplaire, j’prèfère tout foutre en l’air
j’n’ai plus d’ambition (assez)
j’m’habille d’addiction (assez)
de vices, d’infections
Je tomberais quand même j’préfère tout foutre en l’air
j’n’ai plus d’ambition (assez)
En pure régression (assez)
j’frôle l’aliénation
Je ne veux plus grandir, je ne veux plus rien apprendre
Je préfère bânir tous les gens qui me hantent
Je préfère me dire que je n’ai plus rien à attendre
Je préfère m’enfuir dans le monde que j’invente
Je ne veux plus grandir, je ne veux plus rien apprendre
Je ne veux plus souffrir, je préfère qu’on me mente
Je préfère haïr plutôt que de dépendre
Je préfère m’enfuir dans le monde que j’invente
Je préfère me décevoir moi même
Que d’être déçue par les gens que j’aime
Je préfère tout pousser à l’extrême
Je préfère me foutre de tout, tout de suite
Que de perdre espoir en pleine réussite
Je n’ai plus aucune, uh uh uh aucune limite
Je préfère me foutre de tout, tout de suite
Je ne veux plus grandir, je ne veux plus rien apprendre
Je préfère bânir tous les gens qui me hantent
Je préfère me dire que je n’ai plus rien à attendre
Je préfère m’enfuir dans le monde que j’invente
Je ne veux plus grandir, je ne veux plus rien apprendre
Je ne veux plus souffrir, je préfère qu’on me mente
Je préfère haïr plutôt que de dépendre
Je préfère m’enfuir dans le monde que j’invente
J’ai toujours essayée de plaire
J’ai toujours été sincère mais j’y perds
J’ai suivi les règles pourtant
Je prends des coups de pieds dans mes sentiments
Je voulais briller dans le regard des gens
J’me suis oubliée j’ai juste perdu mon temps
J’veux plus être quelqu’un de clair
Quitte à sombrer j’préfère tout foutre en l’air
J’m’habille de défauts (assez)
J’préfère sonner faux (assez)
Que de faire des efforts
Je tomberais quand même j’préfère tout foutre en l’air
J’m’habille de défauts (assez)
J’préfère sonner faux (assez)
Je préfère qu’on m’ignore
Je ne veux plus grandir, je ne veux plus rien apprendre
Je préfère bânir tous les gens qui me hantent
Je préfère me dire que je n’ai plus rien à attendre
Je préfère m’enfuir dans le monde que j’invente
Je ne veux plus grandir, je ne veux plus rien apprendre
Je ne veux plus souffrir, je préfère qu’on me mente
Je préfère haïr plutôt que de dépendre
Je préfère m’enfuir dans le monde que j’invente
Je respire en brulant mes ailes
Le désespoir fait vivre ceux qui le gère
Je n’ai plus besoin d’être celle
Qu’ils attendent, je surprends suivant l’effet lunaire
Et si mes mots veulent être vulgaires
Ça décorera juste mes chansons debip , rien à faire…
Qu’on me demande quelque chose, je f'rais le contraire
Quitte à déplaire, j’prèfère tout foutre en l’air
j’n’ai plus d’ambition (assez)
j’m’habille d’addiction (assez)
de vices, d’infections
Je tomberais quand même j’préfère tout foutre en l’air
j’n’ai plus d’ambition (assez)
En pure régression (assez)
j’frôle l’aliénation
Je ne veux plus grandir, je ne veux plus rien apprendre
Je préfère bânir tous les gens qui me hantent
Je préfère me dire que je n’ai plus rien à attendre
Je préfère m’enfuir dans le monde que j’invente
Je ne veux plus grandir, je ne veux plus rien apprendre
Je ne veux plus souffrir, je préfère qu’on me mente
Je préfère haïr plutôt que de dépendre
Je préfère m’enfuir dans le monde que j’invente
Je préfère me décevoir moi même
Que d’être déçue par les gens que j’aime
Je préfère tout pousser à l’extrême
Je préfère me foutre de tout, tout de suite
Que de perdre espoir en pleine réussite
Je n’ai plus aucune, uh uh uh aucune limite
Je préfère me foutre de tout, tout de suite
Je ne veux plus grandir, je ne veux plus rien apprendre
Je préfère bânir tous les gens qui me hantent
Je préfère me dire que je n’ai plus rien à attendre
Je préfère m’enfuir dans le monde que j’invente
Je ne veux plus grandir, je ne veux plus rien apprendre
Je ne veux plus souffrir, je préfère qu’on me mente
Je préfère haïr plutôt que de dépendre
Je préfère m’enfuir dans le monde que j’invente