Song parody of
Ronde Infernale
by Mietlicki
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Dans le grand théâtre de la vie, le rideau se lève
Sur une scène où chacun poursuit sa quête, brève
De notre premier cri jusqu'au dernier souffle
On suit le script, dans ce cycle, un peu bluff
Naître, apprendre, bosser, puis partir
Dans cette ronde infernale, on cherche à s'enfuir
"Vie, emploi, tombe" – quelle comédie
Dans ce grand théâtre, on joue, on survit
D'abord, on pleure en entrant, scène première
Puis l'école nous forme, premiers pas de guerrière
Des lettres aux chiffres, on nous dit "c'est essentiel"
Pour finir dans un bureau, un décor artificiel
D'abord, on pleure en entrant, scène première
Puis l'école nous forme, premiers pas de guerrière
Des lettres aux chiffres, on nous dit "c'est essentiel"
Pour finir dans un bureau, un décor artificiel
Le travail prend le relais, acte deux, sans répit
On court après le temps, l'argent, jusqu'à l'infini
"Réussir sa vie", un mantra un peu triste
Quand tout ce qu'on construit, finit dans une liste
Naître, apprendre, bosser, puis partir
Dans cette ronde infernale, on cherche à s'enfuir
"Vie, emploi, tombe" – quelle comédie
Dans ce grand théâtre, on joue, on survit
Naître, apprendre, bosser, puis partir
Dans cette ronde infernale, on cherche à s'enfuir
"Vie, emploi, tombe" – quelle comédie
Dans ce grand théâtre, on joue, on survit
Naître, apprendre, bosser, puis partir
Dans cette ronde infernale, on cherche à s'enfuir
"Vie, emploi, tombe" – quelle comédie
Dans ce grand théâtre, on joue, on survit
On naît, on grandit, dans ce monde prédéfini
Éducation, conditionnement, dès le premier cri
On nous dit "travaille dur, trouve ta voie"
Mais est-ce notre chemin, ou celui qu'on nous impose, dis-moi ?
Dans le bureau, regarde autour, c'est la même routine
Chasse au succès, mais à la fin, quelle est la consigne ?
On court après le vent, on bâtit des châteaux de sable
Dans cette course folle, sommes-nous vraiment capables ?
De voir au-delà des apparences, des obligations
Trouver notre essence, loin des illusions
La vie, c'est pas juste un cycle, naître, travailler, mourir
C'est aussi les rires, les larmes, aimer, et construire
On nous parle de sécurité, de l'importance d'être sérieux
Mais le bonheur, souvent, on le trouve dans les jeux
Alors pourquoi se conformer, à ce schéma sans fin
Quand on peut écrire notre histoire, tracer notre chemin ?
Naître, apprendre, bosser, puis partir
Dans cette ronde infernale, on cherche à s'enfuir
"Vie, emploi, tombe" – quelle comédie
Dans ce grand théâtre, on joue, on survit
Alors que le rideau tombe, sur notre dernier acte
Peut-être qu'on se demande, si on s'est vraiment engagé
Avec la vie, ses joies, ses peines, avec c'que j'aime
Dans le grand théâtre de la vie, le rideau se lève
Sur une scène où chacun poursuit sa quête, brève
De notre premier cri jusqu'au dernier souffle
On suit le script, dans ce cycle, un peu bluff
Naître, apprendre, bosser, puis partir
Dans cette ronde infernale, on cherche à s'enfuir
"Vie, emploi, tombe" – quelle comédie
Dans ce grand théâtre, on joue, on survit
D'abord, on pleure en entrant, scène première
Puis l'école nous forme, premiers pas de guerrière
Des lettres aux chiffres, on nous dit "c'est essentiel"
Pour finir dans un bureau, un décor artificiel
D'abord, on pleure en entrant, scène première
Puis l'école nous forme, premiers pas de guerrière
Des lettres aux chiffres, on nous dit "c'est essentiel"
Pour finir dans un bureau, un décor artificiel
Le travail prend le relais, acte deux, sans répit
On court après le temps, l'argent, jusqu'à l'infini
"Réussir sa vie", un mantra un peu triste
Quand tout ce qu'on construit, finit dans une liste
Naître, apprendre, bosser, puis partir
Dans cette ronde infernale, on cherche à s'enfuir
"Vie, emploi, tombe" – quelle comédie
Dans ce grand théâtre, on joue, on survit
Naître, apprendre, bosser, puis partir
Dans cette ronde infernale, on cherche à s'enfuir
"Vie, emploi, tombe" – quelle comédie
Dans ce grand théâtre, on joue, on survit
Naître, apprendre, bosser, puis partir
Dans cette ronde infernale, on cherche à s'enfuir
"Vie, emploi, tombe" – quelle comédie
Dans ce grand théâtre, on joue, on survit
On naît, on grandit, dans ce monde prédéfini
Éducation, conditionnement, dès le premier cri
On nous dit "travaille dur, trouve ta voie"
Mais est-ce notre chemin, ou celui qu'on nous impose, dis-moi ?
Dans le bureau, regarde autour, c'est la même routine
Chasse au succès, mais à la fin, quelle est la consigne ?
On court après le vent, on bâtit des châteaux de sable
Dans cette course folle, sommes-nous vraiment capables ?
De voir au-delà des apparences, des obligations
Trouver notre essence, loin des illusions
La vie, c'est pas juste un cycle, naître, travailler, mourir
C'est aussi les rires, les larmes, aimer, et construire
On nous parle de sécurité, de l'importance d'être sérieux
Mais le bonheur, souvent, on le trouve dans les jeux
Alors pourquoi se conformer, à ce schéma sans fin
Quand on peut écrire notre histoire, tracer notre chemin ?
Naître, apprendre, bosser, puis partir
Dans cette ronde infernale, on cherche à s'enfuir
"Vie, emploi, tombe" – quelle comédie
Dans ce grand théâtre, on joue, on survit
Alors que le rideau tombe, sur notre dernier acte
Peut-être qu'on se demande, si on s'est vraiment engagé
Avec la vie, ses joies, ses peines, avec c'que j'aime
