Song parody of
BIG BROTHER
by Byram, emjee
Here's where you get creative! Use our cool song parody creator to make a totally new musical idea and lyrics for the BIG BROTHER song by Byram, emjee.
Simply click on any word to get rhyming words suggestion to use instead of the original ones. You may also remove or alter entire lines if needed — when you're done save your work and share it with our community — have fun!
Cœur froid, même sous la canicule
Tu vois c'est pas si dur
Le soir, le soleil capitule
Au noir on s'habitue
Des nuits et des nuits à écrire
Sans relâche sans vraiment savoir pourquoi
J'ai l'aisance et la maîtrise
Au milieu de tous ces regards sournois
Cherche un coin d'ombre avant d'cramer
J'me consume comme liasse enflammée
Désemparé
Peine entassée
Le bonheur est momentané
Jeunesse est morte au fond du puit
Souvenirs dans le son du disque
Funambule sur le long du fil
Qui n'a pas la notion du vide
Intense comme une averse en août
Un regard tu vois la haine en nous
Tu voudrais gommer certains souvenirs
La poussière s'envole en un soupir
Épié par Big Brother
Moi je cours mais il fuit l'bonheur
Piégé dans un film d'horreur
Où le manque d'air abîme nos cœurs
J'coupe pas les racines
Dans la tempête je vacille
On fait pas les choses comme les autres, écoute pas les avis ça te fascine
Génération Internet qui fuck la télévision
Si c'est pas toi dis moi qui prendra les décisions
Tant qu'y a l'estime c'est bon
Travaille les rimes, les sons
Même dans les pires saisons
Change pas d'combinaison
La beauté d'un silence
La beauté d'une ride
Regarder devant, s'accrocher au pire
En prendre une dans les dents, raccrocher et sourire
Rendez-vous rue de l'espoir
Loin de leurs regards espiègles
Et j'les laisse croire qu'j'suis la bête noire
Qui déverse ses versets sur la caisse claire
Intense comme une averse en août
Un regard tu vois la haine en nous
Tu voudrais gommer certains souvenirs
La poussière s'envole en un soupir
Épié par Big Brother
Moi je cours mais il fuit l'bonheur
Piégé dans un film d'horreur
Où le manque d'air abîme nos cœurs
J'coupe pas les racines
Dans la tempête je vacille
On fait pas les choses comme les autres, écoute pas les avis ça te fascine
Cœur froid, même sous la canicule
Tu vois c'est pas si dur
Le soir, le soleil capitule
Au noir on s'habitue
Des nuits et des nuits à écrire
Sans relâche sans vraiment savoir pourquoi
J'ai l'aisance et la maîtrise
Au milieu de tous ces regards sournois
Cherche un coin d'ombre avant d'cramer
J'me consume comme liasse enflammée
Désemparé
Peine entassée
Le bonheur est momentané
Jeunesse est morte au fond du puit
Souvenirs dans le son du disque
Funambule sur le long du fil
Qui n'a pas la notion du vide
Intense comme une averse en août
Un regard tu vois la haine en nous
Tu voudrais gommer certains souvenirs
La poussière s'envole en un soupir
Épié par Big Brother
Moi je cours mais il fuit l'bonheur
Piégé dans un film d'horreur
Où le manque d'air abîme nos cœurs
J'coupe pas les racines
Dans la tempête je vacille
On fait pas les choses comme les autres, écoute pas les avis ça te fascine
Génération Internet qui fuck la télévision
Si c'est pas toi dis moi qui prendra les décisions
Tant qu'y a l'estime c'est bon
Travaille les rimes, les sons
Même dans les pires saisons
Change pas d'combinaison
La beauté d'un silence
La beauté d'une ride
Regarder devant, s'accrocher au pire
En prendre une dans les dents, raccrocher et sourire
Rendez-vous rue de l'espoir
Loin de leurs regards espiègles
Et j'les laisse croire qu'j'suis la bête noire
Qui déverse ses versets sur la caisse claire
Intense comme une averse en août
Un regard tu vois la haine en nous
Tu voudrais gommer certains souvenirs
La poussière s'envole en un soupir
Épié par Big Brother
Moi je cours mais il fuit l'bonheur
Piégé dans un film d'horreur
Où le manque d'air abîme nos cœurs
J'coupe pas les racines
Dans la tempête je vacille
On fait pas les choses comme les autres, écoute pas les avis ça te fascine
