Song parody of
MERIDIONALITES
by Jean DUINO
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Chez nous, le jour où l’on ne jouera plus aux boules
C’est qu’il aura poussé une denture aux poules
Peuchères ! Ce jour n’est pas près d’arriver tant que
Rouleront des bouchons, on fera la pétanque
Rouleront des bouchons, on fera la pétanque
Ce n’est pas par hasard
Qu’on envie le lézard
On a reçu le prix de la fatigue
On a l’esprit léger
On aime galéjer
Près de Marseille à côté des Martigues
Chez nous, le jour où l’on n’ira plus chez Lisette
Se boire le pastis, écluser l’anisette
Miracle ! On verra courir sur la Canebière
Un moulon, un tas de culs-de-jatte en jambières !
Un moulon, un tas de culs-de-jatte en jambières !
Ce n’est pas par hasard
Qu’on envie le lézard
On a reçu le prix de la fatigue
On a l’esprit léger
On aime galéjer
Près de Marseille à côté des Martigues
Chez nous, quand on ne dira plus qu’on exagère
C’est que la vérité deviendra mensongère
Quand ne blagueront plus Marius et Olive
C’est qu’ils seront muets ou privés de salive !
C’est qu’ils seront muets ou privés de salive !
Ce n’est pas par hasard
Qu’on envie le lézard
On a reçu le prix de la fatigue
On a l’esprit léger
On aime galéjer
Près de Marseille à côté des Martigues
Un sur quatre a du cœur, ici, depuis qu’Escarte
-figue a montré le sien dans la Partie de cartes
Depuis ce jour on triche, on filoute, on complote
Ça ne fait pas un pli, chez nous, à la belote
Ça ne fait pas un pli, chez nous, à la belote
Ce n’est pas par hasard
Qu’on envie le lézard
On a reçu le prix de la fatigue
On a l’esprit léger
On aime galéjer
Près de Marseille à côté des Martigues
Ici, l’été, on laisse la place aux touristes
La mer aux vacanciers, la plage aux naturistes
Le temps de pigmenter un peu leur teint de brousse
Car, chez nous, le soleil est toujours à nos trousses
Car, chez nous, le soleil est toujours à nos trousses
Ce n’est pas par hasard
Qu’on envie le lézard
On a reçu le prix de la fatigue
On a l’esprit léger
On aime galéjer
Près de Marseille à côté des Martigues
Chez nous, lorsque à vue d’œil grossira la sardine,
On verra le Vieux-Port se reboucher, pardine !
Le jour où l’on ne priera plus la Bonne Mère
C’est que, Dieu nous en garde, elle sera grand-mère !
C’est que, Dieu nous en garde, elle sera grand-mère !
Chez nous, le jour où l’on ne jouera plus aux boules
C’est qu’il aura poussé une denture aux poules
Peuchères ! Ce jour n’est pas près d’arriver tant que
Rouleront des bouchons, on fera la pétanque
Rouleront des bouchons, on fera la pétanque
Ce n’est pas par hasard
Qu’on envie le lézard
On a reçu le prix de la fatigue
On a l’esprit léger
On aime galéjer
Près de Marseille à côté des Martigues
Chez nous, le jour où l’on n’ira plus chez Lisette
Se boire le pastis, écluser l’anisette
Miracle ! On verra courir sur la Canebière
Un moulon, un tas de culs-de-jatte en jambières !
Un moulon, un tas de culs-de-jatte en jambières !
Ce n’est pas par hasard
Qu’on envie le lézard
On a reçu le prix de la fatigue
On a l’esprit léger
On aime galéjer
Près de Marseille à côté des Martigues
Chez nous, quand on ne dira plus qu’on exagère
C’est que la vérité deviendra mensongère
Quand ne blagueront plus Marius et Olive
C’est qu’ils seront muets ou privés de salive !
C’est qu’ils seront muets ou privés de salive !
Ce n’est pas par hasard
Qu’on envie le lézard
On a reçu le prix de la fatigue
On a l’esprit léger
On aime galéjer
Près de Marseille à côté des Martigues
Un sur quatre a du cœur, ici, depuis qu’Escarte
-figue a montré le sien dans la Partie de cartes
Depuis ce jour on triche, on filoute, on complote
Ça ne fait pas un pli, chez nous, à la belote
Ça ne fait pas un pli, chez nous, à la belote
Ce n’est pas par hasard
Qu’on envie le lézard
On a reçu le prix de la fatigue
On a l’esprit léger
On aime galéjer
Près de Marseille à côté des Martigues
Ici, l’été, on laisse la place aux touristes
La mer aux vacanciers, la plage aux naturistes
Le temps de pigmenter un peu leur teint de brousse
Car, chez nous, le soleil est toujours à nos trousses
Car, chez nous, le soleil est toujours à nos trousses
Ce n’est pas par hasard
Qu’on envie le lézard
On a reçu le prix de la fatigue
On a l’esprit léger
On aime galéjer
Près de Marseille à côté des Martigues
Chez nous, lorsque à vue d’œil grossira la sardine,
On verra le Vieux-Port se reboucher, pardine !
Le jour où l’on ne priera plus la Bonne Mère
C’est que, Dieu nous en garde, elle sera grand-mère !
C’est que, Dieu nous en garde, elle sera grand-mère !