Song parody of
Je te déteste joliment
by Kody Babyghost
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Cette indolence envers mes sentiments, c'est con
Dans cette décadence on s'insulte poliment
Ces questions qui fâchent
Que je te posais trop souvent
Sache que
Je te déteste joliment
Pas assez de cran, trop lâche pour prononcer la sentence
Je te laisse cette tâche, je n'ai plus aucune défense
On se détache, encore merci
Pour ces instants, pour tous ces actes
Je te déteste joliment
J'ai appris à me taire face à ta présence glaciale
La chaleur de l'enfer me réchauffe, je souris même quand j'ai mal
Quelle belle mélopée, en musique de fond
Fini l'épopée, je n'ai plus le premier rôle
Dans cette fiction
Et malgré ce lourd silence résonne ma souffrance
Elle me tue à petit feu, elle me propose
Chaque soir la même danse
On ne s'voyait plus
Dans cette brume dense
T'es partie sans préavis, soi-disant par prudence
Aujourd'hui je délecte mes cauchemars
Quel putain de jouissance
Car les rêves de nos beaux jours me procurent une douleur intense
Quand je me réveille seul, mon cœur crie à l'injustice
Cupidon s'est trompé de cible
J'en garde une profonde cicatrice
Cette indolence envers mes sentiments, c'est con
Dans cette décadence, on s'insulte poliment
Ces mensonges, ces clashs, qui revenaient tout le temps
Sache que
Je te déteste
Pas assez de cran, trop lâche
Pour prononcer la sentence
Je te laisse cette tâche
Je sais à quoi tu penses
On tourne la page, encore merci
Pour ces instants, pour ces attaques
Je te déteste
Joliment
Cette indolence envers mes sentiments, c'est con
Dans cette décadence on s'insulte poliment
Ces questions qui fâchent
Que je te posais trop souvent
Sache que
Je te déteste joliment
Pas assez de cran, trop lâche pour prononcer la sentence
Je te laisse cette tâche, je n'ai plus aucune défense
On se détache, encore merci
Pour ces instants, pour tous ces actes
Je te déteste joliment
J'ai appris à me taire face à ta présence glaciale
La chaleur de l'enfer me réchauffe, je souris même quand j'ai mal
Quelle belle mélopée, en musique de fond
Fini l'épopée, je n'ai plus le premier rôle
Dans cette fiction
Et malgré ce lourd silence résonne ma souffrance
Elle me tue à petit feu, elle me propose
Chaque soir la même danse
On ne s'voyait plus
Dans cette brume dense
T'es partie sans préavis, soi-disant par prudence
Aujourd'hui je délecte mes cauchemars
Quel putain de jouissance
Car les rêves de nos beaux jours me procurent une douleur intense
Quand je me réveille seul, mon cœur crie à l'injustice
Cupidon s'est trompé de cible
J'en garde une profonde cicatrice
Cette indolence envers mes sentiments, c'est con
Dans cette décadence, on s'insulte poliment
Ces mensonges, ces clashs, qui revenaient tout le temps
Sache que
Je te déteste
Pas assez de cran, trop lâche
Pour prononcer la sentence
Je te laisse cette tâche
Je sais à quoi tu penses
On tourne la page, encore merci
Pour ces instants, pour ces attaques
Je te déteste
Joliment