Song parody of
Shen (Solo Ashenco)
by Juven, Ashenco
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On consomme de tout, oserais tu le nier
Les rideaux sont fermés, tout va mieux à chaque fois que j'regarde autre part
On trône au sommet de l'échec, essaye de vivre au lieu d'survivre
Ceux d'en bas de l'échelle envient ceux qu'on l'regard dans l'vide
La mort s'repasse en boucle les fautes que j'ai commises devant elle
J'ai promis d'arrêter le jour où mon fils sera né
Suis-je le réal de cette vie perçue comme irréel
J'viens d'paumer mon joint donc je m'approprie des tehs comme Isr***
Qui s'rappelle de tout ? Hein ? Qui se rappelle de toi
J'vis pas pour qu'on m'nettoie le jour où mon âme s'envole dormir sur une étoile
Faut que j'essuie mes deux mains moites, si j'fous l'feu mon cerveau s'noie
J'sais que j'paye pour mourir plus vite, quand j'fume j'fuis ce qu'il y a devant moi
Quand j'fume j'fuis ce qu'il y a devant moi, je regarde la vie en 4k
Faut que je parte d'ici, j'anticipe, chaque chute devient une cascade
J'serai debout même si je boîte, vont te prendre de haut s'tu viens du bas
Superstitieux même dans les cieux, dans ma tombe j'toucherai du bois
Chaque histoire que j'me fais dans ma tête serait digne d'un film primé
Pourquoi dans mes choix le sex prime hein ? J'serai seul si mes pensées pouvaient s'exprimer
Capuché la nuit, mes yeux croisent ceux de mes pires démons
J'suis sous la pluie depuis des mois, car je m'imagine dans le pire des mondes
Faut que ça s'arrête ! Oh Mon Dieu faut que ça s'arrête
Le triple six se dresse devant moi comme une des vagues de Nazaret
Et y'a plus d'temps d'arrêt, le ciel nous tombe dessus à cause d'vos appareils
T'agis comme tout le monde et t'oses me dire que t'es pas pareil? Hein
Aiguille perdue croisant l'temps
Comme un air de faux semblant
Poser mes 2 pieds sur l'croissant blanc
Aiguille perdue croisant l'temps
Comme un air de faux semblant
Poser mes 2 pieds sur l'croissant blanc
Trois cents ans que j'attends que chaque sentence me frappe à coup de bar de fer
Regarde les compter tout leur coup bas de fait
Et rien qu'on parle de fêtes et de célébrations, n'y voit rien de cool
Change d'équipe comme de coupe, les baises et s'barre pour faire d'une pierre deux coups
Nos chances se divisent par centaines
J'ai plus d'pièce, j'en ai trop jeté dans trop de fontaines
La terre ne tourne pas rond, c'est devenu rare de vivre avec ses deux parents
Beaucoup trop franc, même mes refrés m'voient plus tellement que j'suis transparent
T'as pas de talent, évadé nocturne, faut qu'tu captes tout à l'heure
Fumer c'était cool. Là ça casse les couilles, c'est à cause de ça que t'es lent
Ouvre les yeux, soit moins niais. C'est pas eux qui vont t'soigner
Ils veulent atteindre nos proches, c'est parce qu'on s'rapproche qu'ils veulent nous éloigner
Le temps passe, faut s'recentrer dès qu'on sent l'drame
Sommes nous prêt pour un monde sans média qui s'empresse de détruire nos banques centrales
Gère tes comptes sans eux car leurs manips sont crades
Et le sang traîne quand ces putes dansent entre elles. Ils sont déconcentrés dès qu'on s'entraide
C'est quand la mer est déchaînée que l'bruit des vagues t'emmène
Dur de s'dire qu'on est enchaîné, mais qu'on est libre quand même
On hisse les voiles selon les vents. Loin d'être devin ou d'faire des vues
J'regarde derrière pour être sûr d'être devant. C'est quand j'me bute que j'me sens vivant
Et moi je le suis ! Pas comme eux... Toute cette violence c'est pas commun
Tout ce qu'on commet m'dégoûte, nos larmes s'égouttent. Laissez moi dans le coma
Du mal à respirer, certaines valeurs m'étranglent
Être un fils de pute c'est devenu normal, si t'es trop gentil ça devient étrange
J'voulais plaire à tout l'monde mais tant pis si tu m'aimes pas
J'écris beaucoup je t'en voudrais pas si on est pas toujours sur la même page
Plus d'relation, toujours dans le rush. J'pisse en buvant mon café
Le tel dans l'autre main, j'optimise mon temps comme si j'allais mourir demain
Y'a qu'le négatif qu'on prend, dans le mal on investi
Mec comme vestige j'comprend pas l'système mais j'veux un système pour le comprendre
Oublie l'paraître, tu serais encore plus belle si tu l'montrais pas
On nous piège toute notre vie vous m'mettrez pas dans un d'vos ehpads
Mais j'les ferai les 400 coups. Toujours l'même message, mais pas le même visage
J'portais déjà un masque avant que ça parte en couille
J'suis entouré, mais très seul. Mes pensées résonnent
Mon ego restera au sol. C'est quand j'pense être quelqu'un que j'suis personne
On consomme de tout, oserais tu le nier
Les rideaux sont fermés, tout va mieux à chaque fois que j'regarde autre part
On trône au sommet de l'échec, essaye de vivre au lieu d'survivre
Ceux d'en bas de l'échelle envient ceux qu'on l'regard dans l'vide
La mort s'repasse en boucle les fautes que j'ai commises devant elle
J'ai promis d'arrêter le jour où mon fils sera né
Suis-je le réal de cette vie perçue comme irréel
J'viens d'paumer mon joint donc je m'approprie des tehs comme Isr***
Qui s'rappelle de tout ? Hein ? Qui se rappelle de toi
J'vis pas pour qu'on m'nettoie le jour où mon âme s'envole dormir sur une étoile
Faut que j'essuie mes deux mains moites, si j'fous l'feu mon cerveau s'noie
J'sais que j'paye pour mourir plus vite, quand j'fume j'fuis ce qu'il y a devant moi
Quand j'fume j'fuis ce qu'il y a devant moi, je regarde la vie en 4k
Faut que je parte d'ici, j'anticipe, chaque chute devient une cascade
J'serai debout même si je boîte, vont te prendre de haut s'tu viens du bas
Superstitieux même dans les cieux, dans ma tombe j'toucherai du bois
Chaque histoire que j'me fais dans ma tête serait digne d'un film primé
Pourquoi dans mes choix le sex prime hein ? J'serai seul si mes pensées pouvaient s'exprimer
Capuché la nuit, mes yeux croisent ceux de mes pires démons
J'suis sous la pluie depuis des mois, car je m'imagine dans le pire des mondes
Faut que ça s'arrête ! Oh Mon Dieu faut que ça s'arrête
Le triple six se dresse devant moi comme une des vagues de Nazaret
Et y'a plus d'temps d'arrêt, le ciel nous tombe dessus à cause d'vos appareils
T'agis comme tout le monde et t'oses me dire que t'es pas pareil? Hein
Aiguille perdue croisant l'temps
Comme un air de faux semblant
Poser mes 2 pieds sur l'croissant blanc
Aiguille perdue croisant l'temps
Comme un air de faux semblant
Poser mes 2 pieds sur l'croissant blanc
Trois cents ans que j'attends que chaque sentence me frappe à coup de bar de fer
Regarde les compter tout leur coup bas de fait
Et rien qu'on parle de fêtes et de célébrations, n'y voit rien de cool
Change d'équipe comme de coupe, les baises et s'barre pour faire d'une pierre deux coups
Nos chances se divisent par centaines
J'ai plus d'pièce, j'en ai trop jeté dans trop de fontaines
La terre ne tourne pas rond, c'est devenu rare de vivre avec ses deux parents
Beaucoup trop franc, même mes refrés m'voient plus tellement que j'suis transparent
T'as pas de talent, évadé nocturne, faut qu'tu captes tout à l'heure
Fumer c'était cool. Là ça casse les couilles, c'est à cause de ça que t'es lent
Ouvre les yeux, soit moins niais. C'est pas eux qui vont t'soigner
Ils veulent atteindre nos proches, c'est parce qu'on s'rapproche qu'ils veulent nous éloigner
Le temps passe, faut s'recentrer dès qu'on sent l'drame
Sommes nous prêt pour un monde sans média qui s'empresse de détruire nos banques centrales
Gère tes comptes sans eux car leurs manips sont crades
Et le sang traîne quand ces putes dansent entre elles. Ils sont déconcentrés dès qu'on s'entraide
C'est quand la mer est déchaînée que l'bruit des vagues t'emmène
Dur de s'dire qu'on est enchaîné, mais qu'on est libre quand même
On hisse les voiles selon les vents. Loin d'être devin ou d'faire des vues
J'regarde derrière pour être sûr d'être devant. C'est quand j'me bute que j'me sens vivant
Et moi je le suis ! Pas comme eux... Toute cette violence c'est pas commun
Tout ce qu'on commet m'dégoûte, nos larmes s'égouttent. Laissez moi dans le coma
Du mal à respirer, certaines valeurs m'étranglent
Être un fils de pute c'est devenu normal, si t'es trop gentil ça devient étrange
J'voulais plaire à tout l'monde mais tant pis si tu m'aimes pas
J'écris beaucoup je t'en voudrais pas si on est pas toujours sur la même page
Plus d'relation, toujours dans le rush. J'pisse en buvant mon café
Le tel dans l'autre main, j'optimise mon temps comme si j'allais mourir demain
Y'a qu'le négatif qu'on prend, dans le mal on investi
Mec comme vestige j'comprend pas l'système mais j'veux un système pour le comprendre
Oublie l'paraître, tu serais encore plus belle si tu l'montrais pas
On nous piège toute notre vie vous m'mettrez pas dans un d'vos ehpads
Mais j'les ferai les 400 coups. Toujours l'même message, mais pas le même visage
J'portais déjà un masque avant que ça parte en couille
J'suis entouré, mais très seul. Mes pensées résonnent
Mon ego restera au sol. C'est quand j'pense être quelqu'un que j'suis personne