Song parody of
John Keating (feat. Muninn)
by Jemon
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Suis-je très loin d'la folie ou bien trop proche de l'être
J'pourrai couler comme le Daffodil
J'veux pas qu'on me voit pas qu'on m'applaudisse
Car ici on brille qu'une fois comme la gazoline
J'ai vu l'homme c'était pas joli
Mais j'ai quand même souri comme ce prof de lettre
Un char d'assaut dans la carotide
N'en ressort que des poèmes d'agonie d'entre mes deux lèvres
Mais c'est pas moi
Qui voulait voir le monde comme les fous le font parfois
S'arrêter au milieu d'la route sous la pluie du ciel
J'sais qu'j'ai plus d'une flèche dans mon carquois
J'ai presque pigé pourquoi j'suis ce p'tit jeune
À l'humeur mitigée, ça s'voit sur mes t-shirts de groupe
Direct j'suis fiché comme un sale sniffeur de shnouff
Ça m'fait chier pourtant j'suis discret comme Sam Fisher
J'écris dans ma grotte comme John Keating
Faites vous la guerre ça m'est égal
J'y verrai plus clair sous les éclats
J'ai quitté l'école j'écouterai plus jamais vos critiques
Que d'la pitié à ton égard je suis l'ennemi que tu connais pas encore
Ça y est j'ai compris le sens caché dans les comptines
Mon attirance insoutenable vers ses contrées
J'ai capté qu'on nous pousse à faire le contraire
Mais j'dois partir j'l'ai su le jour où j't'ai rencontré
Hors de question d'me faire du mauvais sang
J'suis pas Carax, puis t'façon j'en ai plus trop
Beaucoup de stress et d'colère, j'le stock in vitro
J'écoute DVNY et j'ressens même mes signes vitaux
J'suis, si loin du reste de mon corps et quel périple
Poète entre Charlie Dalton et Neil Perry
J'répète que j'veux pas voir le match, on m'dit "paris d'abord"
Qu'faire le mal c'est comme tout l'reste t'y arrive à force
Yea
Le soleil se couche, je ferme un œil comme Horus
J'sens comme un blocus
L'homme se profuse mais j'suis robuste comme Coruscant
Pourtant j'suis bloqué dans une peinture aux couleurs floues comme Olgierd
Près des fantaisies où les hommes cachent tout leur fous les oiseaux ne volent guère
Un matin où le ciel se rosait et que tes bras se rosaire
Je resterai sous leur joug
Pour oublier la douleur mais l'heure tourne
Ce concept me consume et je meurs doucement
Sait on vraiment s'aimer sans les autres autour
J'm'endors les yeux brûlants
Car ce matin j'ai enfin pu voir le soleil
Dès demain je me les crèverai
Pour éviter les cernes, des larmes face au très vrai
Mate un peu, y'a des passants sur l'Everest
Alors fuck m'en allumer un dès le réveil
J'suis déjà tellement en retard
J'veux pas devenir de ces vieux qu'on force à vivre
Un destin qui sort d'sa ligne de vie
Achève moi si j'halète à ranger les planètes
J'veux juste que nos deux corps s'alignent
Alors quoi
Tout c'que j'aurai vu serait faux
Je les ai harcelé, mais y'a rien de pertinent que mes rêves horrible me répondent
Arrêtons ça, mais rien faire à rester au lit serait con
J'ai pas attendu qu'ils m'récompense
Pour gueuler ma victoire sur les ponts
Suis-je très loin d'la folie ou bien trop proche de l'être
J'pourrai couler comme le Daffodil
J'veux pas qu'on me voit pas qu'on m'applaudisse
Car ici on brille qu'une fois comme la gazoline
J'ai vu l'homme c'était pas joli
Mais j'ai quand même souri comme ce prof de lettre
Un char d'assaut dans la carotide
N'en ressort que des poèmes d'agonie d'entre mes deux lèvres
Mais c'est pas moi
Qui voulait voir le monde comme les fous le font parfois
S'arrêter au milieu d'la route sous la pluie du ciel
J'sais qu'j'ai plus d'une flèche dans mon carquois
J'ai presque pigé pourquoi j'suis ce p'tit jeune
À l'humeur mitigée, ça s'voit sur mes t-shirts de groupe
Direct j'suis fiché comme un sale sniffeur de shnouff
Ça m'fait chier pourtant j'suis discret comme Sam Fisher
J'écris dans ma grotte comme John Keating
Faites vous la guerre ça m'est égal
J'y verrai plus clair sous les éclats
J'ai quitté l'école j'écouterai plus jamais vos critiques
Que d'la pitié à ton égard je suis l'ennemi que tu connais pas encore
Ça y est j'ai compris le sens caché dans les comptines
Mon attirance insoutenable vers ses contrées
J'ai capté qu'on nous pousse à faire le contraire
Mais j'dois partir j'l'ai su le jour où j't'ai rencontré
Hors de question d'me faire du mauvais sang
J'suis pas Carax, puis t'façon j'en ai plus trop
Beaucoup de stress et d'colère, j'le stock in vitro
J'écoute DVNY et j'ressens même mes signes vitaux
J'suis, si loin du reste de mon corps et quel périple
Poète entre Charlie Dalton et Neil Perry
J'répète que j'veux pas voir le match, on m'dit "paris d'abord"
Qu'faire le mal c'est comme tout l'reste t'y arrive à force
Yea
Le soleil se couche, je ferme un œil comme Horus
J'sens comme un blocus
L'homme se profuse mais j'suis robuste comme Coruscant
Pourtant j'suis bloqué dans une peinture aux couleurs floues comme Olgierd
Près des fantaisies où les hommes cachent tout leur fous les oiseaux ne volent guère
Un matin où le ciel se rosait et que tes bras se rosaire
Je resterai sous leur joug
Pour oublier la douleur mais l'heure tourne
Ce concept me consume et je meurs doucement
Sait on vraiment s'aimer sans les autres autour
J'm'endors les yeux brûlants
Car ce matin j'ai enfin pu voir le soleil
Dès demain je me les crèverai
Pour éviter les cernes, des larmes face au très vrai
Mate un peu, y'a des passants sur l'Everest
Alors fuck m'en allumer un dès le réveil
J'suis déjà tellement en retard
J'veux pas devenir de ces vieux qu'on force à vivre
Un destin qui sort d'sa ligne de vie
Achève moi si j'halète à ranger les planètes
J'veux juste que nos deux corps s'alignent
Alors quoi
Tout c'que j'aurai vu serait faux
Je les ai harcelé, mais y'a rien de pertinent que mes rêves horrible me répondent
Arrêtons ça, mais rien faire à rester au lit serait con
J'ai pas attendu qu'ils m'récompense
Pour gueuler ma victoire sur les ponts