Song parody of
Elles
by Khilo
Here's where you get creative! Use our cool song parody creator to make a totally new musical idea and lyrics for the Elles song by Khilo.
Simply click on any word to get rhyming words suggestion to use instead of the original ones. You may also remove or alter entire lines if needed — when you're done save your work and share it with our community — have fun!
Elle ne vit pas moins dans le doute que celle du voisin de palier
Elle paraît confiante mais tant que certains points ne sont pas liés
Dissimulée derrière les traits d’un sombre crayon
Son sourire, ses yeux feraient fondre tout ce qui semble effrayant
Une attrayante créature, l’image qu’on crée à tort
Un être en filature dont tous les hommes aiment être les prédators
Comme toutes princesses elle rêve d’un carrosse à sa porte
Aimant faire semblant d’ignorer se qui caressera sa perte
Elle aime être tentée
Et dans l’attente, elle aime s’étendre
Et tendre la perche au premier abord, paraît que c’est tendre
Ou ça devient tendu peut-être pas pour ses prétendants
À la langue pendue, elle croit s’épanouir en les fréquentant
Et très contente à ses copines elle conte ses exploits
Les ex poids qui furent trop lourd pour son coeur et sa sexe voie
Elle s’exploite, elle aime les sorties même dans l’excès
C’est vrai que c’est pas avec un « t’es bonne » qu’on peut la vexer
Sans excédant car le discours n’est pas sans précédent
T’es pressée d’en finir mais à vrai dire, ma belle, c’est vrai que c’est dense
Engraissée par l’égarement, apaisée par ses gardes
Elle sait jouer de ses cartes et puis c'est parti lorsqu’elle s’écarte
Une part d’elle est tartée et l’autre est partie
C’est par telle impression d’elle-même qu’elle perd toute répartie
Ma foi, j’en perds mon souffle autant que son père en souffre
La mère en soupir car c’est bien pire quand elle opère en soum
Elle aime ce qu’elle est et ce qu’elle fait
C’est qu’elle fait ce qu’elle aime et n’aime pas beaucoup ce qu’elle flaire
Elles sont si différentes, et pourtant elles se ressemblent toutes
Le coût de l'errance est élevé surtout quand on ressent le doute
D'un être fragile, nuisible et magique à la fois
C'est cette agilité qui donne un goût tragique à ma voix
Un voile fixé sur la tête, mais pas devant les yeux
Une vie dédiée à des frères honnêtes et à ce grand monsieur
Fille ! Dans ce corps de femme apeurée par la vie
Ne file nulle autre que droit, ne veut être tiré par la ville
A coté d’elle une beauté sans pareil
Une amie qu’on ne peut comparer
Dont beaucoup voudrait s’emparer.. Elle
Qui sert bien plus ses valeurs qu’elle même
Une femme pour laquelle beaucoup d’homme crierais pour vu qu’elle m’aime
Innaccessible par sa simplicité
Un être qui sait cite
Qui écoute et parle que par nécessité
Toutes deux sont identiques mais différentes
Deux cultures qui s’éloignent mais qui bannissent l’errance
Qui visent l’essentiel et se rendrais malade pour du social
Associées à des principes qui les rendent des plus sociables
Insousciente de ce qui perturberait toutes les autres
Une famille , un foyer pas besoin d’explorer toutes les zones
Souvent montrées du doigts, pour s’affirmer elles mettent du temps
Admettre qu’avec une femme comme tel on serait maitre du temple
On oublierait même souvent la valeur d’une reine
Car trop de princesses s’envole à la poursuite du reigne
À la poursuite du rôle trop souvent inapproprié
Car si le destin n’est pas ma belle elle aura beau prier
Elle a beau prendre la vie malgré ce qu’ils en font
Mais au fond pour vu qu'elle soit fidèle à ses enfants
Elles sont si différentes, et pourtant elles se ressemblent toutes
Le coût de l'errance est élevé surtout quand on ressent le doute
D'un être fragile, nuisible et magique à la fois
C'est cette agilité qui donne un goût tragique à ma voix
Elle ne vit pas moins dans le doute que celle du voisin de palier
Elle paraît confiante mais tant que certains points ne sont pas liés
Dissimulée derrière les traits d’un sombre crayon
Son sourire, ses yeux feraient fondre tout ce qui semble effrayant
Une attrayante créature, l’image qu’on crée à tort
Un être en filature dont tous les hommes aiment être les prédators
Comme toutes princesses elle rêve d’un carrosse à sa porte
Aimant faire semblant d’ignorer se qui caressera sa perte
Elle aime être tentée
Et dans l’attente, elle aime s’étendre
Et tendre la perche au premier abord, paraît que c’est tendre
Ou ça devient tendu peut-être pas pour ses prétendants
À la langue pendue, elle croit s’épanouir en les fréquentant
Et très contente à ses copines elle conte ses exploits
Les ex poids qui furent trop lourd pour son coeur et sa sexe voie
Elle s’exploite, elle aime les sorties même dans l’excès
C’est vrai que c’est pas avec un « t’es bonne » qu’on peut la vexer
Sans excédant car le discours n’est pas sans précédent
T’es pressée d’en finir mais à vrai dire, ma belle, c’est vrai que c’est dense
Engraissée par l’égarement, apaisée par ses gardes
Elle sait jouer de ses cartes et puis c'est parti lorsqu’elle s’écarte
Une part d’elle est tartée et l’autre est partie
C’est par telle impression d’elle-même qu’elle perd toute répartie
Ma foi, j’en perds mon souffle autant que son père en souffre
La mère en soupir car c’est bien pire quand elle opère en soum
Elle aime ce qu’elle est et ce qu’elle fait
C’est qu’elle fait ce qu’elle aime et n’aime pas beaucoup ce qu’elle flaire
Elles sont si différentes, et pourtant elles se ressemblent toutes
Le coût de l'errance est élevé surtout quand on ressent le doute
D'un être fragile, nuisible et magique à la fois
C'est cette agilité qui donne un goût tragique à ma voix
Un voile fixé sur la tête, mais pas devant les yeux
Une vie dédiée à des frères honnêtes et à ce grand monsieur
Fille ! Dans ce corps de femme apeurée par la vie
Ne file nulle autre que droit, ne veut être tiré par la ville
A coté d’elle une beauté sans pareil
Une amie qu’on ne peut comparer
Dont beaucoup voudrait s’emparer.. Elle
Qui sert bien plus ses valeurs qu’elle même
Une femme pour laquelle beaucoup d’homme crierais pour vu qu’elle m’aime
Innaccessible par sa simplicité
Un être qui sait cite
Qui écoute et parle que par nécessité
Toutes deux sont identiques mais différentes
Deux cultures qui s’éloignent mais qui bannissent l’errance
Qui visent l’essentiel et se rendrais malade pour du social
Associées à des principes qui les rendent des plus sociables
Insousciente de ce qui perturberait toutes les autres
Une famille , un foyer pas besoin d’explorer toutes les zones
Souvent montrées du doigts, pour s’affirmer elles mettent du temps
Admettre qu’avec une femme comme tel on serait maitre du temple
On oublierait même souvent la valeur d’une reine
Car trop de princesses s’envole à la poursuite du reigne
À la poursuite du rôle trop souvent inapproprié
Car si le destin n’est pas ma belle elle aura beau prier
Elle a beau prendre la vie malgré ce qu’ils en font
Mais au fond pour vu qu'elle soit fidèle à ses enfants
Elles sont si différentes, et pourtant elles se ressemblent toutes
Le coût de l'errance est élevé surtout quand on ressent le doute
D'un être fragile, nuisible et magique à la fois
C'est cette agilité qui donne un goût tragique à ma voix