Song parody of
La Mer
by Xameleon
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La mer
Danse
Avec le vent
Loin des tempos et loin des valses de la ville
Avale les plages
L’oiseau en vol
Cherche une branche où se poser
Depuis le sommet d’un nuage
Là-haut, les dauphins s’interpellent
Là où la mer est si salée
Que les marins, sablés d’eau douce
Perdent le goût de la jetée
Et de leurs femmes
Et je voudrais, sur un bateau
Où la terre ferme vient à manquer
Vivre des pluies et des tempêtes
Le regard flou entre deux lames
Et l’une s’emporte, l’autre s’arrête
Une autre s’enroule
Et voir perler des larmes
Contre les flancs de mon navire
Le cœur endormi par la houle
Partir longtemps, puis revenir
Un peu
Comme les marins reviennent se perdre dans le creux
De tes hanches
Mais moi je reste là, de mes envies revêches
Bercé par le fracas des vagues
Le regard perdu dans l’abîme
Glissant sur les écumes blanches
Les Yeux mouillés, le cœur mouillé
À la recherche
D’un peu d’amour
Et moi je pense
À la marée
Et aux enfants, qui, sur la plage
Rient d’elle et en font une crue
Terrible, qui vient, et qui emporte
Des restes d’innocence battue
Et loin de l’onde solitaire
Il faut trouver rien qu’un instant
La mer interne qui fait trembler
L’âme où rugit comme un torrent
L’amour, un geai comme un corbeau
Vêtu de noir ou coloré
Qui cherche une branche où se poser
Un oasis ou un mirage
Valsant les ondes, solitaire
La mer
Danse
Pousse les chagrins avec les algues
Jusqu’à nos pieds
L’amour
Lentement
Lisse les jours
Et fait tanguer les vagues
La mer
Danse
Avec le vent
Loin des tempos et loin des valses de la ville
Avale les plages
L’oiseau en vol
Cherche une branche où se poser
Depuis le sommet d’un nuage
Là-haut, les dauphins s’interpellent
Là où la mer est si salée
Que les marins, sablés d’eau douce
Perdent le goût de la jetée
Et de leurs femmes
Et je voudrais, sur un bateau
Où la terre ferme vient à manquer
Vivre des pluies et des tempêtes
Le regard flou entre deux lames
Et l’une s’emporte, l’autre s’arrête
Une autre s’enroule
Et voir perler des larmes
Contre les flancs de mon navire
Le cœur endormi par la houle
Partir longtemps, puis revenir
Un peu
Comme les marins reviennent se perdre dans le creux
De tes hanches
Mais moi je reste là, de mes envies revêches
Bercé par le fracas des vagues
Le regard perdu dans l’abîme
Glissant sur les écumes blanches
Les Yeux mouillés, le cœur mouillé
À la recherche
D’un peu d’amour
Et moi je pense
À la marée
Et aux enfants, qui, sur la plage
Rient d’elle et en font une crue
Terrible, qui vient, et qui emporte
Des restes d’innocence battue
Et loin de l’onde solitaire
Il faut trouver rien qu’un instant
La mer interne qui fait trembler
L’âme où rugit comme un torrent
L’amour, un geai comme un corbeau
Vêtu de noir ou coloré
Qui cherche une branche où se poser
Un oasis ou un mirage
Valsant les ondes, solitaire
La mer
Danse
Pousse les chagrins avec les algues
Jusqu’à nos pieds
L’amour
Lentement
Lisse les jours
Et fait tanguer les vagues