Song parody of
La Guinguette a Fermé Ses Volets
by Damia
Here's where you get creative! Use our cool song parody creator to make a totally new musical idea and lyrics for the La Guinguette a Fermé Ses Volets song by Damia.
Simply click on any word to get rhyming words suggestion to use instead of the original ones. You may also remove or alter entire lines if needed — when you're done save your work and share it with our community — have fun!
REFRAIN :
La guinguette a fermé ses volets.
Les joyeux triolets
De l'accordéon fusent.
On voit, comme sur un écran
Des profils inquiétants
Dont les ombres s'amusent.
On dit que, pourtant, un costaud,
Qui frisa l'échafaud
Pour des vendus qui rusent,
Vient d'entrer, rageur,
En vengeur...
Ouis, mais...
La guinguette a fermé ses volets.
Le rythme des pas... incertain...
Soudain...
Serait-ce l'heure ?
Et dans l'accordéon plaintif,
Craintif,
Un son demeure !...
Des jurons de voix mâles
Et des râles,
La chute de corps lourds,
Hargneux, des coups sourds.
REFRAIN :
La guinguette a fermé ses volets.
Le même son inquiet
De l'accordéon glace.
On voit, comme sur un écran,
Des couples haletants
Dont les ombres grimacent.
On devine, aux chocs, la fureur
Des costauds en sueur
Qui roulent et qui s'enlacent,
On voudrait bien voir
Et savoir.
Ouis, mais...
La guinguette a fermé ses volets.
Le calme revient brusquement.
Vraiment,
Etait-ce un leurre ?
Pourquoi ces sanglots convulsifs,
Furtifs ?...
Des femmes pleurent.
Là-bas, un groupe traîne
Vers la Seine,
Quelque paquet maudit
Qui sombre en la nuit...
REFRAIN :
La guinguette a rouvert ses volets.
Les joyeux triolets
De l'accordéon fusent.
Les lampions éclairent, discrets,
Les couples guillerets
En leurs ombres confuses.
On dit que, ce soir, le costaud
Qui frisa l'échafaud
Pour des vendus qui rusent,
Est sorti très gai.
Est-ce vrai ?
Ouis, mais...
La guinguette avait mis ses volets...
REFRAIN :
La guinguette a fermé ses volets.
Les joyeux triolets
De l'accordéon fusent.
On voit, comme sur un écran
Des profils inquiétants
Dont les ombres s'amusent.
On dit que, pourtant, un costaud,
Qui frisa l'échafaud
Pour des vendus qui rusent,
Vient d'entrer, rageur,
En vengeur...
Ouis, mais...
La guinguette a fermé ses volets.
Le rythme des pas... incertain...
Soudain...
Serait-ce l'heure ?
Et dans l'accordéon plaintif,
Craintif,
Un son demeure !...
Des jurons de voix mâles
Et des râles,
La chute de corps lourds,
Hargneux, des coups sourds.
REFRAIN :
La guinguette a fermé ses volets.
Le même son inquiet
De l'accordéon glace.
On voit, comme sur un écran,
Des couples haletants
Dont les ombres grimacent.
On devine, aux chocs, la fureur
Des costauds en sueur
Qui roulent et qui s'enlacent,
On voudrait bien voir
Et savoir.
Ouis, mais...
La guinguette a fermé ses volets.
Le calme revient brusquement.
Vraiment,
Etait-ce un leurre ?
Pourquoi ces sanglots convulsifs,
Furtifs ?...
Des femmes pleurent.
Là-bas, un groupe traîne
Vers la Seine,
Quelque paquet maudit
Qui sombre en la nuit...
REFRAIN :
La guinguette a rouvert ses volets.
Les joyeux triolets
De l'accordéon fusent.
Les lampions éclairent, discrets,
Les couples guillerets
En leurs ombres confuses.
On dit que, ce soir, le costaud
Qui frisa l'échafaud
Pour des vendus qui rusent,
Est sorti très gai.
Est-ce vrai ?
Ouis, mais...
La guinguette avait mis ses volets...