Song parody of
Pour mieux s'unir
by AuDen
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On a compté les lendemains
Qui nous restaient mais incertains
On s'est perdu sur un chemin
Une inconnue dans le refrain
De grands sourires n'y changeraient rien
Car le début jouait la fin
À l'origine on n'était rien
Juste une ébauche ou un dessin
Des rêves suivis de petits points
Au coin des rues un doux parfum
Suprême idylle main dans la main
De belles photos on se souvient
Puisqu'on se perd pour mieux s'unir
Puisqu'on ne tient plus au présent
Le moindre souffle nous détruit
Et nous disperse avec les vents
Comme fous alliés, comme deux enfants
Comme une fleur à son printemps
On fuyait l'ombre pour mieux s'étendre
Sur nos nuages en évidence
Comblés d'amour et d'innocence
Aux souvenirs de nos vingt ans
Si on s'accorde un peu de temps
Pour réfléchir tout simplement
Avant de n'être que des perdants
Au goût amer qui s'en ressent
Avant l'orage qui lui n'attend
Au grand jamais le temps d'attendre
Puisqu'on se perd pour mieux s'unir
Puisqu'on ne tient plus au présent
Le moindre souffle nous détruit
Et nous disperse avec les vents
Tous ces mensonges que l'on déguise
Nous laissent un beau jour sans défense
Puisqu'on se perd pour mieux s'unir
Puisque l'on s'aime toujours autant
On a compté les lendemains
Qui nous restaient mais incertains
On s'est perdu sur un chemin
Une inconnue dans le refrain
De grands sourires n'y changeraient rien
Car le début jouait la fin
À l'origine on n'était rien
Juste une ébauche ou un dessin
Des rêves suivis de petits points
Au coin des rues un doux parfum
Suprême idylle main dans la main
De belles photos on se souvient
Puisqu'on se perd pour mieux s'unir
Puisqu'on ne tient plus au présent
Le moindre souffle nous détruit
Et nous disperse avec les vents
Comme fous alliés, comme deux enfants
Comme une fleur à son printemps
On fuyait l'ombre pour mieux s'étendre
Sur nos nuages en évidence
Comblés d'amour et d'innocence
Aux souvenirs de nos vingt ans
Si on s'accorde un peu de temps
Pour réfléchir tout simplement
Avant de n'être que des perdants
Au goût amer qui s'en ressent
Avant l'orage qui lui n'attend
Au grand jamais le temps d'attendre
Puisqu'on se perd pour mieux s'unir
Puisqu'on ne tient plus au présent
Le moindre souffle nous détruit
Et nous disperse avec les vents
Tous ces mensonges que l'on déguise
Nous laissent un beau jour sans défense
Puisqu'on se perd pour mieux s'unir
Puisque l'on s'aime toujours autant