Song parody of
Et pourtant
by GUILLAUME GOOSSENS
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Souffle un peu sur la braise
Pour raviver la flamme
Entends bien comme pèse
Le poids de mes mots
Et dis-moi que vois-tu ?
Que sais-tu? Qu'entends-tu ?
Toujours plus, On se dit
Mais on ne dit rien de plus
Quantité encore plus
Qualité s'est perdue
Et pourtant, Et pourtant
On écrit sur des toiles
Non guère plus grand-chose
Avoir marre de crier
De chanter à tue-tête
Que l'amour reviendra peut-être
Et pourtant, Et pourtant
Les jours et les nuits se succèdent toujours
Et pourtant, Et pourtant
Il y aura toujours la joie, la peine, la haine
Et puis l'amour
Vois comment l'étincelle
Celle d'y croire toujours
De ces choses en nos yeux
Que la voix ne dit pas
Nos regards apeurés et vidés
De n'avoir rien vu
Ces instants dénudés
De nos corps qui se donnent
Ne pouvant plus toucher
Que des actes manqués
Et pourtant, Et pourtant
Admirant sans raison
Des étoiles fabriquées
Pour réduire au silence
Nos futurs lendemains
Au goût de rien
Et pourtant, Et pourtant
Les jours et les nuits se succèdent toujours
Et pourtant, Et pourtant
Il y aura toujours la joie, la peine, la haine
Et puis l'amour
Souffle un peu sur la braise
Pour raviver la flamme
Entends bien comme pèse
Le poids de mes mots
Et dis-moi que vois-tu ?
Que sais-tu? Qu'entends-tu ?
Toujours plus, On se dit
Mais on ne dit rien de plus
Quantité encore plus
Qualité s'est perdue
Et pourtant, Et pourtant
Souffle un peu sur la braise
Pour raviver la flamme
Entends bien comme pèse
Le poids de mes mots
Et dis-moi que vois-tu ?
Que sais-tu? Qu'entends-tu ?
Toujours plus, On se dit
Mais on ne dit rien de plus
Quantité encore plus
Qualité s'est perdue
Et pourtant, Et pourtant
On écrit sur des toiles
Non guère plus grand-chose
Avoir marre de crier
De chanter à tue-tête
Que l'amour reviendra peut-être
Et pourtant, Et pourtant
Les jours et les nuits se succèdent toujours
Et pourtant, Et pourtant
Il y aura toujours la joie, la peine, la haine
Et puis l'amour
Vois comment l'étincelle
Celle d'y croire toujours
De ces choses en nos yeux
Que la voix ne dit pas
Nos regards apeurés et vidés
De n'avoir rien vu
Ces instants dénudés
De nos corps qui se donnent
Ne pouvant plus toucher
Que des actes manqués
Et pourtant, Et pourtant
Admirant sans raison
Des étoiles fabriquées
Pour réduire au silence
Nos futurs lendemains
Au goût de rien
Et pourtant, Et pourtant
Les jours et les nuits se succèdent toujours
Et pourtant, Et pourtant
Il y aura toujours la joie, la peine, la haine
Et puis l'amour
Souffle un peu sur la braise
Pour raviver la flamme
Entends bien comme pèse
Le poids de mes mots
Et dis-moi que vois-tu ?
Que sais-tu? Qu'entends-tu ?
Toujours plus, On se dit
Mais on ne dit rien de plus
Quantité encore plus
Qualité s'est perdue
Et pourtant, Et pourtant
