Song parody of
Son monde à elle
by Steve Veilleux
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Je courrai vers l’ouest pensa-t-elle
Au creux des silences impossibles
De rien ni de personne je me ferai la cible
Referai ma vie en marge du système
Quitter le dôme, le fixe, l’inébranlable
Vie d’ouvrière de bonne contribuable
Vivre en marge pour mieux errer et
Mieux me désocialiser
Je tombe en grève, je ne retournerai plus vos appels
Finies les affables discussions, les fautes voltiges, la marche à suivre
Je déguerpis, rien à redire, rien à écrire je ferme les livres
L’oppression crée l’illusion pensa-t-elle
Haute tension jour après jour
Mondialisation culture de fast food
J’userai mes souliers de kilomètres
Je vivrai de nature contre nature humaine
Je ferai de grands jours de petites semaines
J’humerai l’arôme de chacune des secondes
Me nourrirai du jour peut-être de la nuit…
Je tombe en grève, je ne retournerai plus vos appels
Finies les affables discussions, les fautes voltiges, la marche à suivre
Je déguerpis, rien à redire, rien à écrire je ferme les livres
Et elle se voit battante et sûre d’elle
Délivrée du cafard d’un monde aussi cruel
C’est son monde à elle…et voilà qu’elle se réveille….
Je courrai vers l’ouest pensa-t-elle
Au creux des silences impossibles
De rien ni de personne je me ferai la cible
Referai ma vie en marge du système
Quitter le dôme, le fixe, l’inébranlable
Vie d’ouvrière de bonne contribuable
Vivre en marge pour mieux errer et
Mieux me désocialiser
Je tombe en grève, je ne retournerai plus vos appels
Finies les affables discussions, les fautes voltiges, la marche à suivre
Je déguerpis, rien à redire, rien à écrire je ferme les livres
L’oppression crée l’illusion pensa-t-elle
Haute tension jour après jour
Mondialisation culture de fast food
J’userai mes souliers de kilomètres
Je vivrai de nature contre nature humaine
Je ferai de grands jours de petites semaines
J’humerai l’arôme de chacune des secondes
Me nourrirai du jour peut-être de la nuit…
Je tombe en grève, je ne retournerai plus vos appels
Finies les affables discussions, les fautes voltiges, la marche à suivre
Je déguerpis, rien à redire, rien à écrire je ferme les livres
Et elle se voit battante et sûre d’elle
Délivrée du cafard d’un monde aussi cruel
C’est son monde à elle…et voilà qu’elle se réveille….