Lyrics:
Au printemps au printemps
Et mon cœur et ton cœur
Sont repeints au vin blanc
Au printemps au printemps
Les amants vont prier
Notre-Dame du bon temps
Au printemps
Pour une fleur un sourire un serment
Pour l'ombre d'un regard en riant
Toutes les filles
Vous donneront leurs baisers
Puis tous leurs espoirs
Vois tous ces cœurs
Comme des artichauts
Qui s'effeuillent en battant
Pour s'offrir aux badauds
Vois tous ces cœurs
Comme de gentils mégots
Qui s'enflamment en riant
Pour les filles du métro
Au printemps au printemps
Et mon cœur et ton cœur
Sont repeints au vin blanc
Au printemps au printemps
Les amants vont prier
Notre-Dame du bon temps
Au printemps
Pour une fleur un sourire un serment
Pour l'ombre d'un regard en riant
Tout Paris
Se changera en baisers
Parfois même en grand soir
Vois tout Paris
Se change en pâturage
Pour troupeaux d'amoureux
Aux bergères peu sages
Vois tout Paris
Joue la fête au village
Pour bénir au soleil
Ces nouveaux mariages
Au printemps au printemps
Et mon cœur et ton cœur
Sont repeints au vin blanc
Au printemps au printemps
Les amants vont prier
Notre-Dame du bon temps
Au printemps
Pour une fleur un sourire un serment
Pour l'ombre d'un regard en riant
Toute la Terre
Se changera en baisers
Qui parleront d'espoir
Vois ce miracle
Car c'est bien le dernier
Qui s'offre encore à nous
Sans avoir à l'appeler
Vois ce miracle
Qui devait arriver
C'est la première chance
La seule de l'année
Au printemps au printemps
Et mon cœur et ton cœur
Sont repeints au vin blanc
Au printemps au printemps
Les amants vont prier
Notre-Dame du bon temps
Au printemps
Au printemps
Au printemps
Sous le dôme épais où le blanc jasmin
A la rose s'assemble
Sur la rive en fleurs riant au matin
Doucement glissons De son flot charmant
Suivons le courant fuyant
Dans l'onde frémissante
D'une main nonchalante
Viens, gagnons le bord,
Où la source dort et
L'oiseau, l'oiseau chante.
Je t'ai attendu jusqu'à minuit
Mais diable, que pouvais-tu faire
À minuit, furieuse, je t'ai écrit
Sous le coup de la colère
Surtout ne lis pas cette lettre
Surtout, surtout n'la lis pas
Tout ce que j'ai pu y mettre
Non, je ne le pensais pas
Ma lettre postée subitement
J'ai vu l'erreur de mon geste
Les paroles s'envolent avec le temps
Par contre les écrits restent
Surtout ne lis pas cette lettre
Surtout, surtout n'la lis pas
Tout ce que j'ai pu y mettre
Non, je ne le pensais pas
Surtout ne lis pas cette lettre
Surtout, surtout n'la lis pas
Tout ce que j'ai pu y mettre
Non, je ne le pensais pas
Tu devinerais en y découvrant
Que, finalement, je t'aime
Encore plus impossible qu'avant
Si tu la lisais quand même
Surtout ne lis pas cette lettre
Pour ne pas me faire pleurer
Tu dois, tu dois me promettre
Que tu vas la déchirer
Alors de cette aventure
Nous parlerons en riant
Et tout, et tout, je te jure
Redeviendra comme avant
Alors de cette aventure
Nous parlerons en riant
Et tout, et tout, je te jure
Redeviendra comme avant
La, la, la, la
(Ad lib)
Prenez une cathédrale
Et offrez-lui quelques mâts
Un beaupré, de vastes cales
Des haubans et halebas
Prenez une cathédrale
Haute en ciel et large au ventre
Une cathédrale à tendre
De clinfoc et de grand-voiles
Prenez une cathédrale
De Picardie ou de Flandre
Une cathédrale à vendre
Par des prêtres sans étoile
Cette cathédrale en pierre
Qui sera débondieurisée
Traînez-la à travers prés
Jusqu'où vient fleurir la mer
Hissez la toile en riant
Et filez sur l'Angleterre
L'angleterre est douce à voir
Du haut d'une cathédrale
Même si le thé fait pleuvoir
Quelqu'ennui sur les escales
Les Cornouailles sont à prendre
Quand elles accouchent du jour
Et qu'on flotte entre le tendre
Entre le tendre et l'amour
Prenez une cathédrale
Et offrez-lui quelques mâts
Un beaupré, de vastes cales
Mais ne vous réveillez pas
Filez toutes voiles dehors
Et ho hisse les matelots
À chasser les cachalots
Qui vous mèneront aux Acores
Puis Madère avec ses filles
Canarian et l'Océan
Qui vous poussera en riant
En riant jusqu'aux Antilles
Prenez une cathédrale
Hissez le petit pavois
Et faites chanter les voiles
Mais ne vous réveillez pas
Putain, les Antilles sont belles
Elles vous croquent sous la dent
On se coucherait bien sur elles
Mais repartez de l'avant
Car toutes cloches en branle-bas
Votre cathédrale se voile
Transpercera le canal
Le canal de Panama
Prenez une cathédrale
De Picardie ou d'Artois
Partez cueillir les étoiles
Mais ne vous réveillez pas
Et voici le Pacifique
Longue houle qui roule au vent
Et ronronne sa musique
Jusqu'aux îles droit devant
Puis que l'on vous veuille absoudre
Si là-bas bien plus qu'ailleurs
Vous tendez de vous dissoudre
Entre les fleurs et les fleurs
Prenez une cathédrale
Hissez le petit pavois
Et faites chanter les voiles
Mais ne vous réveillez pas
Prenez une cathédrale
De Picardie ou d'Artois
Partez pêcher les étoiles
Mais ne vous réveillez pas
Cette cathédrale en pierre
Traînez-la à travers bois
Jusqu'où vient fleurir la mer
Mais ne vous réveillez pas
Mais ne vous réveillez pas
C'était un soir de printemps
Je promenais mes vingt ans
En riant, en chantant
Quand je vis en passant
Ses yeux trop bleus
Il s'est approché de moi
Et de sa chaude voix
M'a dit tout bas "je crois
Qu'c'est pas la première fois
Qu'on s'voit, tous deux?"
Prenez une cathédrale
Et offrez-lui quelques mâts
Un beaupré, de vastes cales
Des haubans et halebas
Prenez une cathédrale
Haute en ciel et large au ventre
Une cathédrale à tendre
De clinfoc et de grand-voiles
Prenez une cathédrale
De Picardie ou de Flandre
Une cathédrale à vendre
Par des prêtres sans étoile
Cette cathédrale en pierre
Qui sera débondieurisée
Traînez-la à travers prés
Jusqu'où vient fleurir la mer
Hissez la toile en riant
Et filez sur l'Angleterre
L'angleterre est douce à voir
Du haut d'une cathédrale
Même si le thé fait pleuvoir
Quelqu'ennui sur les escales
Les Cornouailles sont à prendre
Quand elles accouchent du jour
Et qu'on flotte entre le tendre
Entre le tendre et l'amour
Prenez une cathédrale
Et offrez-lui quelques mâts
Un beaupré, de vastes cales
Mais ne vous réveillez pas
Filez toutes voiles dehors
Et ho hisse les matelots
À chasser les cachalots
Qui vous mèneront aux Acores
Puis Madère avec ses filles
Canarian et l'Océan
Qui vous poussera en riant
En riant jusqu'aux Antilles
Prenez une cathédrale
Hissez le petit pavois
Et faites chanter les voiles
Mais ne vous réveillez pas
Putain, les Antilles sont belles
Elles vous croquent sous la dent
On se coucherait bien sur elles
Mais repartez de l'avant
Car toutes cloches en branle-bas
Votre cathédrale se voile
Transpercera le canal
Le canal de Panama
Prenez une cathédrale
De Picardie ou d'Artois
Partez cueillir les étoiles
Mais ne vous réveillez pas
Et voici le Pacifique
Longue houle qui roule au vent
Et ronronne sa musique
Jusqu'aux îles droit devant
Puis que l'on vous veuille absoudre
Si là-bas bien plus qu'ailleurs
Vous tendez de vous dissoudre
Entre les fleurs et les fleurs
Prenez une cathédrale
Hissez le petit pavois
Et faites chanter les voiles
Mais ne vous réveillez pas
Prenez une cathédrale
De Picardie ou d'Artois
Partez pêcher les étoiles
Mais ne vous réveillez pas
Cette cathédrale en pierre
Traînez-la à travers bois
Jusqu'où vient fleurir la mer
Mais ne vous réveillez pas
Mais ne vous réveillez pas
Parce que t'as les yeux bleus
Que tes cheveux s'amusent
À défier le soleil
Par leur éclat de feu
Parce que tu as vingt ans
Que tu croques à la vie
Comme à un fruit vermeil
Que l'on cueille en riant
Tu te crois tout permis
Et n'en fais qu'à ta tête
Désolé un instant
Prêt à recommencer
Tu joues avec mon cœur
Comme un enfant gâté
Qui réclame un joujou
Pour le réduire en miettes
Parce que j'ai trop d'amour
Tu viens voler mes nuits
Du fond de mon sommeil
Et fais pleurer mes jours
Parce que tu vis en moi
Mon cœur est mon seul maître
Et maître de mon cœur
L'amour nous fait la loi
Parce que je n'ai que toi
Et que rien ne remplace
Les instants de bonheur
Que je prends dans tes bras
Je ne me soucierai
Ni de Dieu, ni des hommes
Je suis prête à mourir
Si tu mourrais un jour
Et la vie n'est plus rien
Sans l'amour qu'elle nous donne
Parce que je suis au seuil
D'un amour éternel
Je voudrais que mon cœur
Ne portât pas le deuil
Parce que
Parce que
UNE DAME
Une dame se promène en riant dans la rue ensoleillée
Cette dame que tout l’monde a toujours vue entrain d’pleurer
Une flamme danse au fond de ses yeux pleins de joie couleur du ciel
Une flamme que personn’n’avait jamais connu chez elle
Car l’homme qu’elle avait aimé l’a abandonnée depuis des années
Et seule cette dame passait tout’s ses journées a pleurer comme un’madeleine
Pauvre dame qui semblait ne pouvoir oublier sa peine
Comm’tout est beau comm’le ciel est bleu
Comm’tout le monde est heureux
Comm’tout est beau
Comm’le ciel est bleu
Comm’tout le monde est heureux
Et la dame porte une robe claire, un chapeau avec des fleurs
Cette dame semble avoir quelque chos’de nouveau dans l’cœur dans son ame
Ell’retrouv’tout d’un coup ses vingt ans et ses printemps
Cette dame qui promen’dans la rue ses beaux rev’s d’enfant
On vient de lui raconter qu’il a voulu s’tuer
Parc’que l’autre femm’ l’avait quitté
Une dame, qui s’en va ,libérée pour toujours d’un pauvre amour
Une dame rit aux ang’s et fredonn’le refrain du jour
Comm’tout est beau comm’ le ciel est bleu
Comm’tout le monde est heureux
Comm’tout est beau , comm’le ciel est bleu
Comm’tout le monde est heureux
Ils s'aiment, s'aiment en riant
Ils s'aiment, s'aiment pour toujours
Ils s'aiment tout au long du jour
Ils s'aiment, s'aiment, s'aiment tant
Qu'on dirait des anges d'amour
Des anges fous se protégeant
Quand se retrouvent en courant
Les amants
Les amants de cœur
Les amants
Ils s'aiment, s'aiment à la folie
S'effeuillant à l'ombre des feux
Se découvrant comme deux fruits
Puis se trouvant n'être plus deux
Se dénouant comme velours
Se reprenant au petit jour
Et s'endormant les plus heureux
Les amants
Les amants de cœur
Les amants
Ils s'aiment, s'aiment en tremblant
Le cœur mouillé, le cœur battant
Chaque seconde est une peur
Qui croque le cœur entre ses dents
Ils savent trop de rendez-vous
Où ne vinrent que des facteurs
Pour n'avoir pas peur du loup
Les amants
Les amants de cœur
Les amants
Ils s'aiment, s'aiment en pleurant
Chaque jour un peu moins amants
Quand ils ont bu tout leur mystère
Deviennent comme sœur et frère
Brûlent leurs ailes d'inquiétude
Redeviennent deux habitudes
Alors changent de partenaire
Les amants
Les amants de cœur
Les amants
Qui s'aiment, s'aiment en riant
Qui s'aiment, s'aiment pour toujours
Qui s'aiment tout au long du jour
Qui s'aiment, s'aiment, s'aiment tant
Qu'on dirait des anges d'amour
Des anges fous se protégeant
Quand ils se retrouvent en courant
Les amants
Les amants de cœur
Les amants
J'étais une petite fille
Du moins, je le croyais
Portais des espadrilles
J'avais encore mes jouets
Mais un jour dans la rue
En sortant de l'école
Je vois un inconnu
Qui, à mes pas, se colle
Un monsieur me suit dans la rue
J'en avais rêvé bien souvent
Et fus d'avance toute émue
Qu'est-ce qui va s'passer maintenant
Quand on m'a suivie dans la rue
J'pensais qu'ce serait épatant
Quand on m'a suivie dans la rue, dans la rue
Ce n'était qu'un vieux dégoûtant
Le cœur a ses mystères
Je suis prise de passion
Pour un homme, un gangster
Qu'a d'la conversation
Et quand je vais chez lui
Il faut faire attention
Je sais qu'on le poursuit
Pour le mettre en prison
Voilà qu'on me suit dans la rue
Gros soulier qui marche en criant
Pourvu qu'on n'm'ait pas reconnue
J'ai peur que ce soit des agents
J'enfile des rues et des rues
Mon Dieu, ça devient effrayant
On me suit toujours dans la rue, dans la rue
Ils approchent leurs mains en riant
Je suis tombée malade
Dans un grand lit tout blanc
Le cœur en marmelade
Mon pauvre front brûlant
Un prêtre me demande
"Voulez-vous le bon Dieu"
Moi je préfère attendre
Des fois que j'irais mieux
Voilà qu'on me suit dans la rue
Les hommes saluent, déférents
C'est pour moi, j'l'aurais jamais cru
Que les femmes se signent en passant
Comme je passe à travers les rues
J'arrête la vie et le mouvement
Tout le monde me suit dans la rue, dans la rue
Tout en noir, à mon enterrement
J'étais une petite fille
Du moins, je le croyais
Portais des espadrilles
J'avais encore mes jouets
Mais un jour dans la rue
En sortant de l'école
Je vois un inconnu
Qui, à mes pas, se colle
Un monsieur me suit dans la rue
J'en avais rêvé bien souvent
Et fus d'avance toute émue
Qu'est-ce qui va s'passer maintenant
Quand on m'a suivie dans la rue
J'pensais qu'ce serait épatant
Quand on m'a suivie dans la rue, dans la rue
Ce n'était qu'un vieux dégoûtant
Le cœur a ses mystères
Je suis prise de passion
Pour un homme, un gangster
Qu'a d'la conversation
Et quand je vais chez lui
Il faut faire attention
Je sais qu'on le poursuit
Pour le mettre en prison
Voilà qu'on me suit dans la rue
Gros soulier qui marche en criant
Pourvu qu'on n'm'ait pas reconnue
J'ai peur que ce soit des agents
J'enfile des rues et des rues
Mon Dieu, ça devient effrayant
On me suit toujours dans la rue, dans la rue
Ils approchent leurs mains en riant
Je suis tombée malade
Dans un grand lit tout blanc
Le cœur en marmelade
Mon pauvre front brûlant
Un prêtre me demande
"Voulez-vous le bon Dieu"
Moi je préfère attendre
Des fois que j'irais mieux
Voilà qu'on me suit dans la rue
Les hommes saluent, déférents
C'est pour moi, j'l'aurais jamais cru
Que les femmes se signent en passant
Comme je passe à travers les rues
J'arrête la vie et le mouvement
Tout le monde me suit dans la rue, dans la rue
Tout en noir, à mon enterrement
Il suffit qu'au piano avec un seul
Doigt je joue cet air là
Ou qu'un violon le chante
Au fond d'une cour
Alors je crois entendre tout un
Orchestre qui joue pour moi
Car tout le monde a sa chanson d'amour
Les arbres de l'hiver se couvrent de fleurs
Le ciel devient bleu
Comme si les oiseaux étaient de retour
Et je crois nous revoir
Dansant tous les deux, riant tous les deux
En écoutant notre chanson d'amour
Et pourtant je sais bien que tout est fini
Depuis déjà bien longtemps
Quelque fois le bonheur de toute une vie
Ne dure qu'un printemps
Si cette mélodie fait battre
Le cœur d'autres amoureux pour eux
Je prie le ciel qu'ils s'aiment toujours
Mais ne m'en veuillez pas si quand je
L'entends j'ai des larmes aux yeux
Car tout le monde a sa chanson d'amour
N'est-il pas vrai Marie que c'est prier pour vous
Que pleurer de bonheur en riant comme un fou
Que couvrir de tendresse nos païennes amours
C'est fleurir de prières chaque nuit, chaque jour?
Petite fleur de la Louisiane
Petite soeur de l'oiseau des lianes
La nuit, quand le jardin se fane
Du lit, montent tes gazouillis
Doudou
Petite fille aux yeux si doux
Dors tendrement
Auprès de ta maman
Doudou
Mon grand amour, mon beau joujou
Dors en riant à tes rêves d'enfant
Car vois-tu jamais rien ne remplacera
La tendresse qui te berce entre mes bras
Doudou
Petite fille aux yeux si doux
Dors tendrement auprès de ta maman
hou hou ........
Ils s'aiment s'aiment en riant
Ils s'aiment s'aiment pour toujours
Ils s'aiment tout au long du jour
Ils s'aiment s'aiment s'aiment tant
Qu'on dirait des anges d'amour
Des anges fous se protégeant
Quand se retrouvent en courant
Les amants
Les amants de coeur
Les amants
Ils s'aiment s'aiment à la folie
S'effeuillant à l'ombre des feux
Se découvrant comme deux fruits
Puis se trouvant n'être plus deux
Se dénouant comme velours
Se reprenant au petit jour
Et s'endormant les plus heureux
Les amants,les amants de coeur
Les amants
Ils s'aiment s'aiment en tremblant
Le coeur mouillé le coeur battant
Chaque seconde est une peur
Qui croque le coeur entre ses dents
Ils savent trop de rendez-vous
Où n'vinrent que des facteurs
Pour n'avoir pas peur du loup
Les amants,les amants de coeur
Les amants
Ils s'aiment s'aiment en pleurant
Chaque jour un peu moins amants
Quand ils ont bu tout leur mystère
Deviennent comme soeur et frère
Brûlent leurs ailes d'inquiétude
Redeviennent deux habitudes
Alors changent de partenaire
Les amants, les amants de coeur
Les amants
Qui s'aiment s'aiment en riant
Qui s'aiment s'aiment pour toujours
Qui s'aiment tout au long du jour
Qui s'aiment s'aiment s'aiment tant
Qu'on dirait des anges d'amour
Des anges fous se protégeant
Quand ils se retrouv'nt en courant
Les amants, les amants de coeur
Les amants
Sous le dôme épais où le blanc jasmin
A la rose s'assemble
Sur la rive en fleurs riant au matin
Doucement glissons De son flot charmant
Suivons le courant fuyant
Dans l'onde frémissante
D'une main nonchalante
Viens, gagnons le bord,
Où la source dort et
L'oiseau, l'oiseau chante.
Gitane, gitane, gitane
Devant le grand café aux tables ennuyées
Tout s'est ensoleillé quand elle est arrivée
La gitane
Fille d'Esmeralda tu déroules tes bras
Et tes yeux noirs défient les hommes
Et leurs envies
Lorsque tes reins se cassent
Tes longs cheveux ramassent
Le soleil en pépite et ton ventre palpite
Bourgeois et va-nu-pied te regardent danser
Mais les femmes voudraient bien
Que tu ailles plus loin
Tu ris à pleine dent et continues le bal
Comme un jeune animal
Qui se saoule en tournant
On ne sait d'où tu viens
On ne sait où tu vas
Pousser sur le chemin
Comme une fleur des bois
Gitane, gitane, gitane
Dans le feu de la danse
Lorsque le voile glisse
De tes seins qui frémissent
Y a de drôles de silences
Oh gitane
Tes jambes nues piétinent
Les regrets qui cheminent
Dans les yeux des badauds qui caressent ta peau
Fini le tourbillon, tu passes et fais la quête
Frôlant de ton jupon Les spectateurs honnêtes
"Sois généreux señor"
"La jeunesse de mon corps"
"Ça vaut bien un peu d'or"
"Même un peu plus encore"
Et riant aux éclats déjà sous les platanes
Déjà sous les platanes
Est partie la gitane
Une Bambola c'est une poupée
C'est fragile une bambola
Tous les garçons qui te surnomment ainsi
Fillettes, se moquent de toi
A leurs yeux tu n'es qu'une poupée
Ton coeur n'est qu'un jouet
Qu'un jour ils vont briser comme une poupée
Désarticulée se retrouve une bambola
Je le sais crois-moi j'étais avant toi
Moi aussi une bambola
Ceux qui m'ont serré dans leurs bras
Et m'ont menti plus que tu crois
Ne les écoute pas
Non fillette, non
L'amour c'est mieux que ça
C'est plus en plus fort crois-moi
Et tu le reconnaîtras quand tu viendras
Ca danse en riant mais comme une enfant
C'est fragile une bambola
Fillette crois-moi n'oublie surtout pas
Que ça pleure une bambola
Ceux qui vont te serrer dans leurs bras
Et te mentir plus que tu crois
Ne les écoute pas
Non fillette, non
L'amour c'est mieux que ça
C'est plus en plus fort crois-moi
Et tu le reconnaîtras quand tu viendras
Non fillette, non
L'amour c'est mieux que ça
C'est plus en plus fort crois-moi
Et tu le reconnaîtras quand tu viendras
On est deux, mon amour
Et l'amour chante et rit
Mais, à la mort du jour
Dans les draps de l'ennui
On se retrouve seul
On est dix à défendre
Les vivants par des morts
Mais, cloué par leurs cendres
Au poteau du remords
On se retrouve seul
On est cent qui dansons
Au bal des bons copains
Mais, au dernier lampion
Mais, au premier chagrin
On se retrouve seul
On est mille contre mille
À se croire les plus forts
Mais, à l'heure imbécile
Où ça fait deux mille morts
On se retrouve seul
On est million à rire
Du million qui est en face
Mais, deux millions de rires
N'empêchent que dans la glace
On se retrouve seul
On est mille à s'asseoir
Au sommet de la fortune
Mais, dans la peur de voir
Tout fondre sous la lune
On se retrouve seul
On est cent que la gloire
Invite sans raison
Mais, quand meurt le hasard
Quand finit la chanson
On se retrouve seul
On est dix à coucher
Dans le lit de la puissance
Mais, devant ces armées
Qui s'enterrent en silence
On se retrouve seul
On est deux à vieillir
Contre le temps qui cogne
Mais, lorsqu'on voit venir
En riant, la charogne
On se retrouve seul
Pardon pour cette fille
Que l'on a fait pleurer
Pardon pour ce regard
Que l'on quitte en riant
Pardon pour ce visage
Qu'une larme a changé
Pardon pour ces maisons
Où quelqu'un nous attend
Et puis pour tous ces mots
Que l'on dit mots d'amour
Et que nous employons
En guise de monnaie
Et pour tous les serments
Qui meurent au petit jour
Pardon pour les jamais
Pardon pour les toujours
Pardon de ne plus voir
Les choses comme elles sont
Pardon d'avoir voulu
Oublier nos vingt ans
Pardon d'avoir laissé
S'oublier nos leçons
Pardon de renoncer
A nos renoncements
Et puis de se terrer
Au milieu de sa vie
Et puis de préférer
Le salaire de Judas
Pardon pour l'amitié
Pardon pour les amis
Pardon pour les hameaux
Qui ne chantent jamais
Pardon pour les villages
Que l'on a oubliés
Pardon pour les cités
Où nul ne se connaît
Pardon pour les pays
Faits de sous-officiers
Pardon d'être de ceux
Qui se foutent de tout
Et de ne pas avoir
Chaque jour essayé
Et puis pardon encore
Et puis pardon surtout
De ne jamais savoir
Qui doit nous pardonner
On est deux, mon amour
Et l'amour chante et rit
Mais, à la mort du jour
Dans les draps de l'ennui
On se retrouve seul
On est dix à défendre
Les vivants par des morts
Mais, cloué par leurs cendres
Au poteau du remords
On se retrouve seul
On est cent qui dansons
Au bal des bons copains
Mais, au dernier lampion
Mais, au premier chagrin
On se retrouve seul
On est mille contre mille
À se croire les plus forts
Mais, à l'heure imbécile
Où ça fait deux mille morts
On se retrouve seul
On est million à rire
Du million qui est en face
Mais, deux millions de rires
N'empêchent que dans la glace
On se retrouve seul
On est mille à s'asseoir
Au sommet de la fortune
Mais, dans la peur de voir
Tout fondre sous la lune
On se retrouve seul
On est cent que la gloire
Invite sans raison
Mais, quand meurt le hasard
Quand finit la chanson
On se retrouve seul
On est dix à coucher
Dans le lit de la puissance
Mais, devant ces armées
Qui s'enterrent en silence
On se retrouve seul
On est deux à vieillir
Contre le temps qui cogne
Mais, lorsqu'on voit venir
En riant, la charogne
On se retrouve seul
je me souviens
J'avais quoi, dix-sept ans, toi peux être un peu moins
Quand tu séchais les cours et venais le matin
Pour m'apporter ton coeur comme un bouton de rose
Rose, rose, amour de mon passé
Quand tu venais me voir dans ma chambre au grenier
Je trouvais que ta peau sentait le foin mouillé
Et quand je t'embrassais... mais ça c'est autre chose
Tout s'en va, tout se meurt
Tu veux fermer ta porte à mon coeur
J'entends déjà le vent qui se lève
Pour chasser mes rêves, Ève, Ève
Ève, Ève encore un souvenir
Qui m'a brûlé le coeur avant que de faiblir
J'ai cru devenir fou, j'ai voulu en mourir
Mais le temps guérit tout, un jour sans crier gare
Ève, Ève à mordre follement
Dans le fruit de l'amour, on se brise les dents
Si tu m'as fait du mal j'ai conservé pourtant
Le souvenir des jours... je crois que je m'égare
Tout s'en va, tout se meurt
Je sens qu'en moi s'installe la peur
Tu as déjà bouclé ta valise
Et je réalise, Lise, lise
Lise, Lise où es-tu aujourd'hui
Toi qui mourrais le jour pour renaître la nuit
Toi qui marchais pieds nus en rêvant sous a pluie
Abhorrant le soleil mais adorant la neige
Lise, Lise et tes cheveux mouvants
Fantasque, inattendue, mi-femme et mi-enfant,
Qui tombais dans mes bras parfois en sanglotant
Ou en riant très fort... voyons ou en étais-je?
Tout s'en va, tout ce meurt
Je ne suis plus qu'une ombre dans ton coeur
Et je vois bien qu'en toi tout s'apprête
Pour d'autres conquêtes...
Les bateaux sont partis, ce soir la mer est belle
la vague vient vers moi comme un serpent riant
de grands oiseaux planant autour de moi m'appellent
dans le vent qui se lève
c'est ta voix que j'entends
c'est ta voix que j'entends
la vague vient rouler à mes pieds sur le sable
la trace de mes pas s'efface peu à peu
ma tristesse aujourd'hui est inimaginable
avec cet océan qui bouge entre nous deux
qui bouge entre nous deux
les bateaux sont partis, ce soir la mer est calme
le vent qui vient des îles exhale doucement
une plainte de harpe en jouant dans les palmes
je regarde la mer et c'est toi que j'entends
et c'est toi que j'entends
j'attends que le soleil tout à coup apparaisse
que son premier rayon vienne effleurer ma peau
l'heure d'enchantement, l'heure de la détresse
et c'est toi que j'attends qui va sortir des eaux
qui va sortir des eaux
toi que j'attends
qui va sortir des eaux
alors tu m'achètes
Quelques marrons grillés
Chauds, chauds les marrons
Chauds j'aime les marrons chauds
Achetez-moi des marrons chauds
Chauds les marrons chauds
La, la, la, la, la, la
Un petit marron dans le creux de ma main
Ta main par dessus et le tout dans ma poche
On s'en va gaiement riant comme des gamins
Lécher les vitrines de tous les magasins
Chauds, chauds les marrons
Chauds j'aime les marrons chauds
Achetez-moi des marrons chauds
Chauds les marrons chauds
La, la, la, la, la, la
Dès la nuit tombée les gens rentrent chez eux
Pour rester au chaud les
Pieds dans leurs pantoufles
Je me moque bien des soirées au coin du feu
Etre près de toi c'est ce
Qu'il y a de mieux
Chauds, chauds les marrons
Chauds j'aime les marrons chauds
Achetez-moi des marrons chauds
Chauds les marrons chauds
La, la, la, la, la, la
J'ai mon petit corps qui devient un glaçon
Quand l'hiver est là et que tombe la neige
Mais lorsque l'on s'aime comme
Nous nous aimons
L'hiver est quand même une belle saison
Chauds, chauds les marrons
Chauds j'aime les marrons chauds
Achetez-moi des marrons chauds
Chauds les marrons chauds
La, la, la, la, la, la
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