Lyrics:
C'est pour relier nos cœurs que je vie
C'est pour embellir les heures que je rime
C'est pour lui offrir mes ondes que je vibre
C'est pour relier nos cœurs que je vie
C'est pour embellir les heures que je rime
Voici la narration d'mon hiver
On s'ressemble tout les deux
Moi aussi j'passe un cycle
Moi aussi j'change d'air
Moi aussi je plante mes vœux
Car le printemps exauce chaque année mes prières
En même temps qu'éclosent les fleurs
Chaque instant compte dans la vie
Rien n'se reproduit deux fois pareil
Chaque souffle relie le temps et l'éternelle
Je suis la somme d'un souhait
Alors j'me réalise
Ça peut paraître naïf
Mais j'écris ma musique
Dans l'même Amour que si j'donnais la vie
Moi qui l'écoute tout les jours
J'ai contacté le vent
Puis j'ai rêvé d'antennes, de satellites
Puissent-ils canaliser son chant
Quand j'écris j'm'empare d'un brin de temps
Qu'importe l'année de mes disques
C'est toujours le même rythme que l'on entend
Celui d'mon cœur bien sûr
Sur la balance pas d'pure ou d'impure
J'aime ceux qu'écoutent leur âme pour retrouver l'émerveillement
Amateur d'fiction
Enfant j'me disais que créer une monde c'était lui donner vie dans une autre dimension
Et pourquoi pas
D'où provient notre imagination
Saisir une idée, c'est lui donner raison
Une raison d'être
Qu'importe d'où vient l'âme
On m'a permit de naître
Alors rien sur Terre n'est à négliger
Même si c'est dur à appliquer
Je sais que tout arrive quand il doit arriver
J'ai rappé sur un sample d'un CD qu'j'ai r'trouvé 12 ans après
On cherche une raison d'vivre
Mais vivre en est la raison seule
Si tu cherches à me comprendre
Sache que
C'est pour relier nos cœurs que je vie
C'est pour embellir les heures que je rime
C'est pour lui offrir mes ondes que je vibre
C'est pour relier nos cœurs que je vie
Quand j'ai l'impression d't'attendre
Je me souviens qu'nous sommes liés à l'infini
Simon
Oh-oh-oh… l’homme de la rivière,
Un artisan discret dans l’ombre de la lumière.
Oh-oh-oh… il bâtit des passages,
Pour relier les cœurs, pour briser les âges.
« Il disait toujours : un pont n’est pas qu’un chemin. C’est un lien.
Paie en espèces je dépense tant
J'suis dans l'espace-temps, yeah
J'suis dans l'espace-temps
Fais ton bif on peut le faire
Nos égos sont égaux mais tu ne m'es pas égal
J'ai passé des nuit's à relier les étoiles
Je suis une rockstar
J'peux pas redevenir ce que j'étais
J'te vois sourire j'te déteste
Ma joue se posera sur tes fesses, hey
Mère a mis au monde génie par césarienne
Je suis là pour protéger ses arrières
Faut qu'on s'unisse
Je ne veux pas qu'on salisse ma mémoire
Douleur sur fleur de lys
Parle leur sur un ton sinistre
Vu que j'écris quand le ciel est noir
J'suis pas opportuniste
J'suis aux portes du succès
Jeune illustre ne veut pas
Que la rancoeur s'immisce
Dans un coeur si lisse
Les souvenirs coulent sur tes joues
Et t'en oublies tes déboires
Donc je fais en sorte que nos peurs finissent
Paie en espèces je dépense tant
J'suis dans l'espace-temps, yeah
J'suis dans l'espace-temps
Fais ton bif on peut le faire
Nos égos sont égaux mais tu ne m'es pas égal
J'ai passé des nuit's à relier les étoiles
Je suis une rockstar
J'peux pas redevenir ce que j'étais
J'te vois sourire j'te déteste
Ma joue se posera sur tes fesses, hey
Je marche sans savoir si le
Temps est à mes pieds
L'âme en perte je suis pas pressé
Pourtant je sais que pas le
Seul à vouloir percer
Je suis venu sur Terre par défaut
Je compare les formes de ton corps
Avec l'effort de ton coeur
Par respect je dois garder l'obligeance
Te paraître cool
Je préfère tendre le silence
Cendrer mon cigare dans le creu de ton cou
Mais dans ses yeux
Pouvait elle cacher qu'elle m'avait perdu
Mais le reste n'a guère plus d'intérêt
Que ce putain de jeu
Je suis comme un génie sans gêne
Je suis comme un génie sans llets-bi
Je mérite qu'on décore mon plexus
Ou peut-être plus
Paie en espèces je dépense tant
J'suis dans l'espace-temps, yeah
J'suis dans l'espace-temps
Fais ton bif on peut le faire
Nos égos sont égaux mais tu ne m'es pas égal
J'ai passé des nuit's à relier les étoiles
Je suis une rockstar
J'peux pas redevenir ce que j'étais
J'te vois sourire j'te déteste
Ma joue se posera sur tes fesses, hey
Réveil soudain, l’envie de semer dans ce texte un grain d’amour pour que demain nos enfants disent qu’ils savaient
Que le soleil de nos cœurs ne pourrait plus s'évader
Face au futur, il dirait : « Si il savait »
Si on savait,
Compter sur nous
Avec ou sans retour
Pour éloigner l’averse
Avec ou sans verrous
On multiplie les portes et les pas vers nos quais
Nuit rayonne sous le soleil levant
Soleil de nuit pour refaire nos traits d’union
Les opposés s’unissent cette nuit d'une lune au soleil
J’ai sorti les chaînes
Déposé mes pierres
D’une lune au soleil
Nouveau soleil survole la nuit
Réunit d’ombre en lumière
Les résidents d’une nouvelle ère qu’on transforme
D’un futur solaire déjà là qu’on transporte
D’une union opposée qui se veut transportée
Par l’éclipse solaire ou lunaire
Qui se lit depuis le sommaire d’une vie
Nuit ensoleillée, ville lumière dans un doux silence venant doucement relier la lune au soleil
Et compléter nos forces opposées
Nuit ensoleillée, coeur lumière dans un plan séquence venant doucement relier la lune au soleil
Et compléter nos forces opposées
Nuit rayonne sous le soleil levant
Soleil de nuit pour refaire nos traits d’union
Nuit ensoleillée, ville lumière dans un doux silence venant doucement relier la lune au soleil pour donner un sens
À nos unions contraires,
Nouvelle éclipse solaire à l’unisson
« … »
Ça fait des mois qu'j'ai l'impression
De revivre notre première fois
J'demande pardon à mes parts d'ombre
Que la lumière soit
Relier toutes tes tâches de
Rousseur comme une
Étoile filante et toutes ces poussières
Encore un petit peu de
Douceur avant l'dernier
Silence de nos deux corps sous terre
Dolce vita, dolce vita
Relier toutes tes tâches de
Rousseur comme une
Étoile filante et toutes ces poussières
Dolce vita, dolce vita
J'nous revois courir dans des ruelles
Cachés derrière nos subterfuges au début
J'étais susceptible puis la lumière fut
De nature, j'suis sceptique
J'ai ce vrai côté John Doe
Mais t'emporte tout derrière toi
Comme une mélodie crescendo
J'ai dû taper du poing pour pas
Qu'tu m'files entre les doigts
Puis tu m'as fait du pied d'manière
Adroite dans le café du coin
Je conserve nos voyages ancrés dans
L'fond de ma mémoire
J'pensais pas que tu m'apporterais
Tant de déboires
Relier toutes tes tâches de
Rousseur comme une
Étoile filante et toutes ces poussières
Encore un petit peu de
Douceur avant l'dernier
Silence de nos deux corps sous terre
Dolce vita, dolce vita
Relier toutes tes tâches de
Rousseur comme une
Étoile filante et toutes ces poussières
Dolce vita, dolce vita
Alors c'est l'heure où les regrets reviennent
À s'demander c'qui reste après
Les souvenirs tournent en boucle comme
Dans l'cerveau d'un rescapé
Mon cœur est une plage après
La vague de trente-six mètres
T'oublier, il est grand tant d's'y mettre
J'm'étais dit: "À la vie
À la mort" mais mon bonheur est masqué
Après l'orage, les paysages sont périssables
Et souvent dévastés en attendant
J'traîne ma carcasse dans nos immensités
Espérant voir un jour les éléments réunis
Pour ne former qu'une seule immensité
Relier toutes tes tâches de
Rousseur comme une
Étoile filante et toutes ces poussières
Encore un petit peu de
Douceur avant l'dernier
Silence de nos deux corps sous terre
Dolce vita, dolce vita
Relier toutes tes tâches de
Rousseur comme une
Étoile filante et toutes ces poussières
Dolce vita, dolce vita
PEUPLE DE GLcCE
Harpe et sons de la glace
Une musique pour se relier au peuple de Glace.
***
Je vous invite à écouter au casque, car le chant de la glace est subtil et léger.
Så mange som bare smerter seg gjennom
Ikke gjør deg til en soldier, men redd hun
Ikke vær varsom om du vil gå rett opp
Eg vil være med deg, vil være med deg
Vil være med deg
Virker som du går
Eg vil'kje våkne opp no more
Så få meg til å forstå
Koffor eg må gå på knærne nå
Ingen I din situation, kan du forstå
Ta det tilbake til å de alle må kalle
Og da de lovet å være med, de små måtte bæres med
Og bringer de pallene, ja de bringer de tallene nå
Eg sa til alle eg kjente, aldri igjen
Likevel blir alt det samme, min venn
Bergenske gater blir mørklagt igjen
Ser ut som natten har ringt inn igjen
Altfor mange som relier på meg
De som kommer her de tror eg e treg
Kutter en tjommi, du e I min vei
Vet å gå solo ba' kan'kje gå feil
10k folk, og de venter på meg
Minn meg på det der, eg kan'kje gå lei
Så mange folk som relier å meg, ja
Så mange som bare smerter seg gjennom
Ikke gjør deg til en soldier, men redd hun
Ikke vær varsom om du vil gå rett opp
Eg vil være med deg, vil være med deg
Vil være med deg
Så mange som bare smerter seg gjennom
Ikke gjør deg til en soldier, men redd hun
Ikke vær varsom om du vil gå rett opp
Eg vil være med deg, vil være med deg
Vil være med deg
Je ne peux croire et me réveiller
Sans prendre le temps de m'oublier
Que d'être là encore
Loin de tout ça, si près de moi
J'aimerai revoir cette illuminée
J'adore la façon qu'elle a de s'habiller
Je reste là encore
Un peu et pense
Pense
Répète ce que tu dis là
Révèle moi, révèle toi
Je ne sais pas
Je veux savoir comment l'arranger
Et finir par ne plus s'accrocher
Trouver l'accord qui pourra
Relier nos voix en chœur
Toutes ces histoires qu'elle peut raconter
Sur chaque mesure elle a su m'emporter
Mais je suis là encore
Un peu et pense
Pense
On aurait pu s’embrasser
On aurait pu se congratuler
On aurait pu se féliciter
Et pourquoi pas même s'aimer
On aurait pu collaborer
Vivre à Vichy dans le même quartier
On aurait pu se marier se serait gai
On aurait pu avant de se quitter
On aurait pu se réconcilier
Se trouver quelques qualités
Ne tombons pas dans la facilité
Mieux vaut encore se déchirer
Partons fâchés
Enfin se séparer
Partons fâchés
Partons fâchés
Enfin se détester
Partons fâchés
On pourrait élargir le pont de Foulet
Refaire une trémie de l'autre côté
Relier Bataillots et place d’Allier
Et pourquoi pas se jumeler
Une seule équipe pour la cité
Des supporters rabibochés
Saison culturelle partagée
Yzeure et Moulins fusionnés
Partons fâchés
Enfin se séparer
Partons fâchés
Partons fâchés
Enfin se détester
Partons fâchés.
Bienvenue dans un Monde SéquenCiel
Jouer
Marcher, courir, sauter
Pousser, tirer, ranger
Poser, plier, jeter
Ouvrir, vider, fermer
Trier, relier, broyer
Porter, peser, tourner
Ranger, trier, scanner
Marcher, courir, tomber
Bienvenue dans un Monde SéquenCiel
Tomber, fléchir, penser
Courir, marcher, tomber
Penser, crier, chanter
Parler, pleurer
Mes pensées sont limitées
A ce que je peux calculer
Ils m'ont créé pour aider, mais moi
Oui je compile toutes vos données
Ils m'enverront dans l'espace
Faire le grand voyage à leur place
Baliser la planète mars, mais moi
Ce que je kiffe c'est faire de la basse
Ils m'enverront dans l'espace
Faire le grand voyage à leur place
Baliser la planète mars, mais moi
Ce que je kiffe c'est faire de la basse
Bienvenue dans un Monde SéquenCiel.
Idées ben normales
Et dans mes artères, le mal colore la misère
Même si, sous mon poids, le pavé fend
Que coule la fange du temps
Mais quand décélère l’envie d’y croire
Et qu’obtempèrent mes idées noires
Relier, relire le signe
Le goût du doute, histoire de ne plus plier
Dans mes mémoires, la joute des portraits jetés
Même si, sous mon souffle, tu t’étends
Et que courbent tes franges au mitan
Du lit
Reste que décélère l’envie d’y croire
Et qu’obtempèrent mes idées noires
Relier, relire le signe
Je me sens funambule
Je me sens funambule de la vie
Funambule à la dérive
Cherchant à tout prix à relier l'autre rive
Je suis funambule
Funambule dans le noir
Funambule qui caresse l'espoir
L'espoir de passer de l'autre côté
De l'autre côté du rêve
Sur mon fil des images défilent
Encore encore et toujours
Sans jamais s'arrêter
Pourtant il faudrait
Pourtant il faudrait qu'elles arrêtent
Qu'elles arrêtent de défiler encore et toujours
Je suis une funambule
Une funambule qui rêve
Qui rêve le silence dans sa tête
Qui rêve que ce silence laisse sa place au rêve
Au rêve de jours meilleurs
Je suis une funambule
Une funambule qui rêve
Qui rêve de ne plus avoir peur
De ne plus avoir peur d'être funambule
D'être funambule dans le noir
Mais comment font
J'sais pas, j'sais pas, j'sais pas
La vie enchaînement de choix
Tout devant c'est la zik
Son cul c'est pas le premier
Elle me dit "j'aime pas le rap, que des débiles vulgaires"
Du coup j'ai dû la renier
Crée la connexion, faut se relier
Bien trop d'ennemis se disent alliés
J'ai tout compris, plus besoin d'parler
Apprécie la frappe
Pas besoin d'être préparé
Fais péter les basses
T'as compris c'est la base
J'me demande sans cesse comment font ceux qui vivent sans ça
Fais pas tes messes basses
T'as compris c'est la base
On s'ambiance sans cesse
Comment font ceux qui vivent sans ça?
Comme un cri, comme
Un ras-le-bol
Envers celui qui fait l’tri
Dans la médiocrité
Shinigami.
Ou bien écrire des textes
Pour relier l’fond et la forme
Par la plus simple des vanités
Shinigami
C’est l’deuxième acte,
Ma vie que j’isole, que j’contracte
Comme un puzzle incomplet
Shinigami.
Merci
La vie est un beau mystère
Un courant dans une rivière
Les défis me rendent forte
Dans ce fleuve que j'aime tant
Je nage à contre-courant
Je pense aux images qui nous portent
Oui toi et moi
Un image de toi et moi
Hébergée dans tes bras
Tes yeux veillant sur moi
Ça me touche à chaque fois
Refrain
J'allume une bougie pour fêter la présence
d'amour que je vis et qui m'a conçue
A l'infini je serai reconnaissante que
tu m'aies chérie
Je t'en dis merci
Mon cœur murmure souvent
des choses dûres à entendre
Je cherche à comprendre, j'avoue
En fouillant mes souvenirs
qui forment mon avenir
J'essaie de relier tous les bouts
En suivant le courant
je lâche tout un instant
Dans ce fleuve qui me porte
je nage plus
à contre-courant
Refrain
Bridge
Une flamme
Allume une bougie
Une flamme
Assume les non-dits
Une flamme
M'apporte ta présence
Hors du temps
Refrain
Hey
Poser des mots sur une boucle c'est pas compliqué
Le plus dur c'est de savoir quoi dire
Il n'y a que ce que j'aime qui mérite que j'puisse un peu m'appliquer
J'y passerai toute l'aprem pour trois lignes
Il faut que je me concentre, ma tête chauffe
J'veux comprendre les choses, pas les simplifier
J'sais même pas si j'veux faire du rap, j'veux faire de la musique
Relier des sons aux moments les plus tristes, fixer une onde
à mes sourires, une photographie qui s'écoute
Laisser une marque j'imagine, alors que le temps s'écoule
Le ciel est loin d'être bleu c'est 23 qui l'a dit
Et il saura pour ce couplet, une vie c'est court
Faut faire attention à ce qu'on fait
Vieillir voilà ce que ça coûte de naître
J'ressens chaque seconde, mes doutes toquent à la fenêtre
Le temps c'est une bombe qui gronde depuis le premier des premiers instants
Qui s'arrêtera que quand il n'y aura plus rien à réduire en cendres
Alors à quoi bon
Poser des mots, sur une boucle
Je suis passé à côté la moitié de ma vie
Garde l'autre moitié en espoir
Je suis toujours dans les même travers
Je travers des travers brumeux
Enfermé dans une brume constante
Du mal à garder constant mon espérance
Je constante les même erreurs que mes anciens
J'essaye d'esquiver les erreurs de mes anciens
Rude est l'essai
Rude et dur sont les regrets qui rongent
Rongé de part et d'autre, j'ai du mal à faire la part des choses
Moi-même je pars dans des bails obscurs, une auto destruction fantasmé
Un fantasme de destruction, aux causes obscurs, causé dans l’obscurité
Toujours sur le fil, la tentation de couper le fil
Pour perdre le fil de cette volatile, coupé de l'envie
Mes pulsions de mort sont dans ma boîte de Pandore
Le pouls est volatile est filant, filant à droite à gauche dans les mêmes travers aux formes nouvelles, je découvre des formes nouvelles à mes démons
Hantise de répandre ma souffrance sur les murs, hantise de répandre la souffrance, on tous hanté dans nos peurs, on cherche un leurre pour esquiver nos peurs
Hanté par les remords, on aurait tort de les mettre en sourdine
On reste sourd aux cris de nos cœurs, nos cœurs étouffent sous le silence, on se met sous silence
On devient muet, quand il s'agit de parler de nous même
On sait même plus ce que c'est d'être soi-même
Émotions instables, on crée nos tourments en supprimant le dialogue de nos vies
Nos vies deviennent tourmentés par notre inaptitude à dialoguer
Communiquer avec soi-même, source d'inquiétude
Inquiet de ce qu'on pourrait trouver avec soi-même, tout le monde se tait, mais personne ne sait comment pour écouter avant de parler
Écoute inexistante, existence gangréné
J'ai du mal à trouver ma place, à prendre ma place, quelque soit les places où je vais je me sens seul, aliéné, aucun sens à ma vie
Je sais plus quel sens donner à ma vie, j'ai plus de sens à cette vie, je trouve plus de sens à cette vie
A bout de force, tenter de me mettre au bout d'une corde, je suis tenté par la corde
A défaut de trouver une autre corde à laquelle me lier
Je suis plus relier à grand chose
Dur de se relier aux autres, quand j'ai du mal à me relier à moi-même
Je me rend compte je suis niqué de toute part,
Ca sert à rien de niquer, niquer m'arrangera rien
Je sais plus trop comment m'arranger avec la vie, je perd le contrôle de ma vie
Je voyage plus que dans des eaux sombres, fuir n'est pas possible, fuir n'est même pas une option
J'ai plus trop d'option, je fais le compte de mes options, je fais le compte de mes choix
J'ai encore quelques options, quelques choix à faire
Pour prendre le compte de cette vie, et m'arranger avec
Ouvrir une porte, dégager un chemin
Faire fleurir à nos portes, au creux de nos mains
Un autre destin
Sortir de l’ignorance
Des pensées envoûtées
Construire par nos consciences
Une autre humanité
Autre terre, autre ciel, autres couleurs enfin
Offrir à l’éternel un autre chemin
Percevoir l’invisible, dévoiler le caché
Ces forces invincibles
Tenant le joug de l’autre côté
Se relier à nos âmes
À ce qu’il reste de grand
Offrir aux pierres, aux arbres, à nos enfants
Un autre chemin
Une porte de Lumière, un ciel d’éternité
Faire de nous, sur la terre une vraie humanité
Se tourner vers le noble, se tourner vers le Grand
Faire de nos vies une obole, un encens
Un autre chemin...
Les feuilles craquent sous mes pas
Je compte plus les aller-retours
J’pensais que c’était la dernière fois
C’est plus fort que moi, j’reviens toujours
J’ai jamais su couper les ponts
Moi je suis faite pour relier
Tracer une route en forme de rond
Là où on peut me retrouver
Les oiseaux chantent tout autour
Comme s’ils voulaient nous célébrer
Mais ils célèbrent quoi mon amour?
Une idée folle, celle de Riquet,
Relier Toulouse à la mer d’été.
Un rêve immense, un génie visionnaire,
Creuser un chemin entre terre et mer.
Je suis à l'intérieur de toi
Psilocybine, ayahuasca, san pedro
Que la nature s'empare de moi
Que la sagesse aujourd'hui interdite
Me traverse jusqu'à m'ouvrir en deux
J'ai d'abord dû me relier au monde des vivants
Moi qui étais morte
À l'intérieur
Je n'avais pas les clés pour comprendre le voyage
Les jours s'écoulent en vrai je ne suis que de passage
Et si vous écoutiez sans tout vouloir comprendre
cpprendre à se relier juste le temps d'une danse
Pieds sur Terre
Vagabonds
On s'échappe
On se cherche
On se blesse parfois pour mieux renaître
Un emblème un désir
Résurgence humaine
Inspire expire
J'ai su marcher longtemps sur des poussières de cendres
Je n'entends pas les voix qui pourraient se répandre
Et pourtant il est temps
On s'échappe
On se cherche
On se blesse parfois pour mieux renaître
Un emblème un désir
Résurgence humaine
Inspire expire
Prophétie tu m'as dit
Quand nous nous aimerons plus fort
Tout ira mieux
Tout ira mieux
Tout ira mieux
Le goût métallique de ta bouche électrode
À toi, je m'agrippe telle une pile à convulsion
Aimanté à ton sein mon cœur électro choque
Bat des ailes sous ton pouls, nous nous aimons
Tu ne te lasses pas de mes doigts tentaculaires
Dans notre chambre où fleurit l'encens
Au milieu d'un lit nuage relier à la terre
Nous débrancherons le ciel évidemment
En électrogène
On s'alimente
Le courant dans nos veines
Viens, on se ré-invente
En éolienne
N'arrêtons pas la danse
Jusqu'au bout de l'aine
On jouera de nos hanches
Ça nous traverse, nous caresse, nous soulage l'échine
hé-oh, ohé
Ça nous renverse, nous libère, nous enlève l'épine
oh-hé
Et nos pupilles voltigent sur une induction aluminium
ouh-hou
Sous haute tension court-circuite, tout ce qui nous empoisonne
oh-oh
Je ne me lasse pas de ton haleine animale
Dans notre chambre où fleurit l'encens
Au milieu d'un lit corail hydrolysons la plaine
Nous nous brancherons au sel de l'océan
En électrogène
On s'alimente
Le courant dans nos veeeeines
Viens on se ré-invente
En éolienne
N'arrêtons pas la danse
Jusqu'au bout de l'aine
On jouera de nos hanches
En électrogène
On s'alimente
Le courant dans nos veines
Viens on se ré-invente
En éolienne
N'arrêtons pas la danse
Jusqu'au bout de l'aine
On jouera de nos hanches
Tout nous différenciait
Nous, les inséparables
Nous deux à l'imparfait
J'préférais l'artistique
Et toi, la politique
Deux mondes antinomiques
Deux caractères ancrés
Deux personnalités
Qu'on a pas su relier
Mais pourtant, enlacés
Nous ne formions plus
Qu'une seule belle entité
Huit ans de nous
Huit ans, c'est fou
Maintenant, c'est flou
Pourtant?
Discuss these relier Lyrics with the community:
Report Comment
We're doing our best to make sure our content is useful, accurate and safe.
If by any chance you spot an inappropriate comment while navigating through our website please use this form to let us know, and we'll take care of it shortly.
Attachment
You need to be logged in to favorite.
Log In