Lyrics:
Là haut dans le nord
Quand la nuit n'en finit pas
De neiger sur les sommeils
Elga rêve encore
A celui qui vit là bas
Au pays du grand soleil
Au milieu du silence on entend s'élever
Comme une voix du ciel
Qui chante la romance d'un amour déchiré
La chanson de solveig
Ah ahah ahah ahah ah
Ahah ahah ahah
Ah ahahah ahahah ahahahah
Ah ahahah ahahah ahahahahahahahah
Ah
Là haut dans le nord
La chanson réchauffe un peu
La norvège qui s'éveille
Elga croit encore
Que les marins aux yeux bleus
Aux sirènes sont fidèles
Et sur la plaine blanche
Elle entend vers l'été venir comme un appel
L'écho de la romance d'un amour déchiré
La chanson de solveig
La chanson de solveig
Ah ahah ahah ahah ah
Ahah ahah ahah
Ah ahahah ahahah ahahahah
Ah ahahah ahahah ahahahahahahahah
Il était venu de son pays de neige
Tout droit vers le sud, sans presque s'arrêter
Mon Dieu que c'est loin, c'est loin de la Norvège
La Méditerranée
C'était ses yeux verts, et c'était sa guitare
Qui avaient payé ce voyage de fou
Quand il en jouait, on lui offrait à boire
On lui donnait des sous
Christiansen
Il savait quelques mots de mauvais français
Christiansen
Il savait quelques mots de mauvais anglais
Et pourtant, je comprenais bien
Même quand il ne disait rien
Christiansen
Le jour où j'irai le rejoindre en Norvège
Je reconnaîtrai cette maison d'Oslo
Et ce vieux traîneau qu'il lançait sur la neige
Comme on lance un bateau
Je reconnaîtrai la fameuse Christine
Dont il me parlait pour me faire enrager
Je ne l'aime pas cette jolie cousine
Elle l'a trop aimé
Christiansen
Il dormait sur la plage entre deux rochers
Christiansen
S'il mangeait quelques fois, c'est que j'y pensais
Et pourtant, il était heureux
Oui vraiment il était heureux
Christiansen
Il est reparti vers son pays de neige
Et la plage d'or où l'on s'est tant baigné
À le sable gris, des plages de Norvège
Il a tout emporté
Pour me le redonner
Quand je le reverrai
Comme une pierre que l'on jette dans l'eau vive d'un ruisseau
Et qui laisse derrière elle des milliers de ronds dans l'eau
Comme un manège de lune avec ses chevaux d'étoiles
Comme un anneau de Saturne, un ballon de carnaval
Comme le chemin de ronde que font sans cesse les heures
Le voyage autour du monde d'un tournesol dans sa fleur
Tu fais tourner de ton nom tous les moulins de mon cœur
Comme un écheveau de laine entre les mains d'un enfant
Ou les mots d'une rengaine pris dans les harpes du vent
Comme un tourbillon de neige, comme un vol de goélands
Sur des forêts de Norvège, sur des moutons d'océan
Comme le chemin de ronde que font sans cesse les heures
Le voyage autour du monde d'un tournesol dans sa fleur
Tu fais tourner de ton nom tous les moulins de mon cœur
Ce jour-là, près de la source, Dieu sait ce que tu m'as dit
Mais l'été finit sa course, l'oiseau tomba de son nid
Et voilà que sur le sable nos pas s'effacent déjà
Et je suis seul à la table qui résonne sous mes doigts
Comme un tambourin qui pleure sous les gouttes de la pluie
Comme les chansons qui meurent aussitôt qu'on les oublie
Et les feuilles de l'automne rencontrent des ciels moins bleus
Et ton absence leur donne la couleur de tes cheveux
Une pierre que l'on jette dans l'eau vive d'un ruisseau
Et qui laisse derrière elle des milliers de ronds dans l'eau
Aux vents des quatre saisons, tu fais tourner de ton nom
Tous les moulins de mon cœur
Comme une pierre que l'on jette dans l'eau vive d'un ruisseau
Et qui laisse derrière elle des milliers de ronds dans l'eau
Comme un manège de lune avec ses chevaux d'étoiles
Comme un anneau de Saturne, un ballon de carnaval
Comme le chemin de ronde que font sans cesse les heures
Le voyage autour du monde d'un tournesol dans sa fleur
Tu fais tourner de ton nom tous les moulins de mon cœur
Comme un écheveau de laine entre les mains d'un enfant
Ou les mots d'une rengaine pris dans les harpes du vent
Comme un tourbillon de neige, comme un vol de goélands
Sur des forêts de Norvège, sur des moutons d'océan
Comme le chemin de ronde que font sans cesse les heures
Le voyage autour du monde d'un tournesol dans sa fleur
Tu fais tourner de ton nom tous les moulins de mon cœur
Ce jour-là, près de la source, Dieu sait ce que tu m'as dit
Mais l'été finit sa course, l'oiseau tomba de son nid
Et voilà que sur le sable nos pas s'effacent déjà
Et je suis seul à la table qui résonne sous mes doigts
Comme un tambourin qui pleure sous les gouttes de la pluie
Comme les chansons qui meurent aussitôt qu'on les oublie
Et les feuilles de l'automne rencontrent des ciels moins bleus
Et ton absence leur donne la couleur de tes cheveux
Une pierre que l'on jette dans l'eau vive d'un ruisseau
Et qui laisse derrière elle des milliers de ronds dans l'eau
Aux vents des quatre saisons, tu fais tourner de ton nom
Tous les moulins de mon cœur
Comme une pierre que l'on jette dans l'eau vive d'un ruisseau
Et qui laisse derrière elle des milliers de ronds dans l'eau
Comme un manège de lune avec ses chevaux d'étoiles
Comme un anneau de Saturne, un ballon de carnaval
Comme le chemin de ronde que font sans cesse les heures
Le voyage autour du monde d'un tournesol dans sa fleur
Tu fais tourner de ton nom tous les moulins de mon cœur
Comme un écheveau de laine entre les mains d'un enfant
Ou les mots d'une rengaine pris dans les harpes du vent
Comme un tourbillon de neige, comme un vol de goélands
Sur des forêts de Norvège, sur des moutons d'océan
Comme le chemin de ronde que font sans cesse les heures
Le voyage autour du monde d'un tournesol dans sa fleur
Tu fais tourner de ton nom tous les moulins de mon cœur
Ce jour-là, près de la source, Dieu sait ce que tu m'as dit
Mais l'été finit sa course, l'oiseau tomba de son nid
Et voilà que sur le sable nos pas s'effacent déjà
Et je suis seul à la table qui résonne sous mes doigts
Comme un tambourin qui pleure sous les gouttes de la pluie
Comme les chansons qui meurent aussitôt qu'on les oublie
Et les feuilles de l'automne rencontrent des ciels moins bleus
Et ton absence leur donne la couleur de tes cheveux
Une pierre que l'on jette dans l'eau vive d'un ruisseau
Et qui laisse derrière elle des milliers de ronds dans l'eau
Aux vents des quatre saisons, tu fais tourner de ton nom
Tous les moulins de mon cœur
Regard sombre
Et l'coeur froid
Comme une ombre
Elle parle pas
J'crois qu'elle cache bien chose dans son grand manteau
Shawty veut du vin et elle veut qu'il neige
Toute la night elle fume regarde ses photos
Son p'tit coeur est froid ouais comme la Norvège
Elle se sens alone
J'crois qu'elle cache bien chose dans son grand manteau
Shawty veut du vin et elle veut qu'il neige
Toute la night elle fume regarde ses photos
Son p'tit coeur est froid ouais comme la Norvège
Elle se sens alone
Ouais elle se sent alone, mais elle sait pas pourquoi
Là elle le s'endort a l'aube, rattrapée par le froid
Seule dans la night et face au miroir elle se sens ugly
Trop dans sa tête, elle se fait du mal, mais fuck voir un psy
Y'a du mascara qui tache son matelas
Les larmes dans ses yeux, elles ont peint son état
Une partie d'elle est toujours là, où tout a commencé
Elle se sent vide, à moitié là, elle aimerait exister
Regard sombre
Et l'coeur froid
Comme une ombre
Elle parle pas
J'crois qu'elle cache bien chose dans son grand manteau
Shawty veut du vin et elle veut qu'il neige
Toute la night elle fume regarde ses photos
Son p'tit coeur est froid ouais comme la Norvège
Elle se sens alone
J'crois qu'elle cache bien chose dans son grand manteau
Shawty veut du vin et elle veut qu'il neige
Toute la night elle fume regarde ses photos
Son p'tit coeur est froid ouais comme la Norvège
Elle se sens alone
Les gâté de mes gâté sont mes gâté
Donc tié ma gâté
Ma gâté
Ma gâté
Bienvenu en Norvège
Ma gaté
Il y a plu de neige
Tia capté
Sors le pantalon beige
C'est le 17 mai
Il fait plein soleil
Complètement pété
On va mangé les fraise
Elles sont pas gâté
Aujourd'hui pas de baise
Ni d'être fatigué
Les gâté en Norvège
Nous n'étions pas pareils
Moi, l'enfant du soleil
Et toi, fille des brumes
Tu avais la peau claire
Plus blanche que l'hiver
Moi, j'avais la peau brune
Ta valise à la main tu venais de très loin
Peut-être de Norvège
Moi, je venais d'ailleurs
D'un pays où les fleurs
Ne craignent pas la neige
Nous n'étions pas pareils
Comment brume et soleil
Pouvaient-ils se comprendre?
Verse 1)
En Norvège, où les flocons de neige dansent et virevoltent,
Un langage d'hiver se déploie, une spirale majestueuse.
Comme une pierre que l'on jette
Dans l'eau vive d'un ruisseau
Et qui laisse derrière elle
Des milliers de ronds dans l'eau
Comme un manège de lune
Avec ses chevaux d'étoiles
Comme un anneau de Saturne,
Un ballon de carnaval,
Comme le chemin de ronde
Que font sans cesse les heures
Le voyage autour du monde
D'un tournesol dans sa fleur
Tu fais tourner de ton nom
Tous les moulins de mon coeur
Comme un écheveau de laine
Entre les mains d'un enfant
Ou les mots d'une rengaine
Pris dans les harpes du vent
Comme un tourbillon de neige,
Comme un vol de goélands,
Sur des forêts de Norvège,
Sur des moutons d'océan,
Comme le chemin de ronde
Que font sans cesse les heures
Le voyage autour du monde
D'un tournesol dans sa fleur
Tu fais tourner de ton nom
Tous les moulins de mon coeur
Ce jour-là près de la source
Dieu sait ce que tu m'as dit
Mais l'été finit sa course,
L'oiseau tomba de son nid
Et voilà que sur le sable
Nos pas s'effacent déjà
Et je suis seul à la table
Qui résonne sous mes doigts
Comme un tambourin qui pleure
Sous les gouttes de la pluie
Comme les chansons qui meurent
Aussitôt qu'on les oublie
Et les feuilles de l'automne
Rencontrent des ciels moins bleus
Et ton absence leur donne
La couleur de tes cheveux
Comme une pierre que l'on jette
Dans l'eau vive d'un ruisseau
Et qui laisse derrière elle
Des milliers de ronds dans l'eau
Aux vents des quatre saisons,
Tu fais tourner de ton nom
Tous les moulins de mon coeur
Je veux tes cheveux sous la neige
Quelque part au ciel de Norvège
Et puis te prendre par la main
Sous un soleil d'été romain
Oh, je veux des rendez-vous bizarres
Dans un avion, dans un couloir
Avec des frissons de rencontre
Une heure de plaisir à nos montres
Je veux que tes yeux brûlent encore
Aux premiers feux d'avant l'aurore
Et puis déposer sur tes lèvres
Le baiser d'un jour qui se lève
(Les plaisirs d'amour, bonjour)
(Les plaisirs d'une heure, menteur)
Je veux que tes cris te trahissent
Que tu m'attires comme en enfer
Au plus profond d'un précipice
D'éclats de sang et de lumière
Je veux briller dans ton miroir
Deviner ton corps dans le noir
Et puis me noyer dans tes yeux
D'océan triste, d'océan bleu
Je veux qu'on explose en douceur
Que tu m'en veuilles, que tu en meures
Et délirer des mots d'amour
Au dernier feu d'un soleil lourd
(Les plaisirs d'amour, bonjour)
(Les plaisirs d'une heure, menteur)
Je veux te faire devenir folle
Par des caresses, par des paroles
Et puis que ton cœur me réponde
Comme un écho du fond du monde
Oh, je veux aller plus loin encore
Derrière l'amour, derrière la mort
Ne plus atteindre aucun rivage
Et me confondre à ton image
Je veux délirer mes amours
Jusqu'à l'aurore d'un nouveau jour
Et puis m'endormir avec elles
À la clarté d'un nouveau ciel
(Les plaisirs d'amour, bonjour)
(Les plaisirs d'une heure, menteur)
(Les plaisirs d'amour, bonjour)
(Les plaisirs d'une heure, menteur)
Je veux que tes yeux brûlent encore (les plaisirs)
Aux premiers feux d'avant l'aurore (d'amour, bonjour)
Et puis déposer sur tes lèvres (les plaisirs)
Le baiser d'un jour qui se lève (d'une heure, menteur)
Oh, je veux que tes cris te trahissent (les plaisirs)
Que tu m'attires comme en enfer (d'amour, bonjour)
Au plus profond d'un précipice (les plaisirs)
D'éclats de sang et de lumière (d'une heure, menteur)
Je veux qu'on explose en douceur (les plaisirs)
Que tu m'en veuilles, que tu en meures (d'amour, bonjour)
Et délirer des mots d'amour (les plaisirs)
Au premier feu d'un soleil lourd (d'une heure, menteur)
Je veux te faire devenir folle (les plaisirs)
Par des caresses, par des paroles (d'amour, bonjour)
Et puis que ton cœur me réponde (les plaisirs)
Comme un écho du fond du monde (d'une heure, menteur)
Je veux délirer mes amours (les plaisirs)
Jusqu'à l'aurore d'un nouveau jour (d'amour, bonjour)
Et puis m'endormir avec elles (les plaisirs)
À la clarté d'un nouveau ciel (d'une heure, menteur)
Je veux délirer mes amours, délirer mes amours (les plaisirs d'amour, bonjour)
Délirer mes amours, délirer mes amours (les plaisirs)
Délirer mes amours, délirer mes amours (d'une heure, menteur)
Je veux délirer mes amours, délirer mes amours (les plaisirs d'amour, bonjour)
Délirer mes amours, délirer mes amours (les plaisirs)
Délirer mes amours, délirer mes amours (d'une heure, menteur)
Anh, 2m 2m
J't'envoie un paquet cadeau c'est p'tetr un gros piège
T'as pas ta place dans le cortège
Comme le PIB d'la Norvège
J'écris ce texte 3 heures du mat' quand je gratte ce couplet, pah
J'ai trop de filston dans le game mais j'me suis pas accouplé, nan
J'suis titulaire indispensable chaque match je claque des doublés
S'tu m'vois dans ton rétroviseur, c'est q'j't'ai déjà doublé, skrttt
J'prends d'l'avance j'me mélange pas avec ces négros qui parlent trop
En face j'vois que des Gignac négro j'suis comme Rivaldo
Yea, yea, yea moi j'pull up comme 10 lacs négro c'est des toutes p'tites flaques d'eau
Tu joues la pédale avec moi gros j'te casse le guidon, pah
Ouais toutes tes phases sont bidons, j'les fume comme 5 grammes de pilon
J'ai capté la peur dans tes yeux, ton regard en dit long
Le rap game est rempli de plastique il est fait de nylon
Ils donnent leur seuf, sont à la r'cherche du buzz
J'suis dans ma ligne directrice j'mets des soupapes rien q'je beuss anh, yeah
Biatch j'm'en bats les couilles d'tes seuf il faut q'je fasse d'l'oseille très rapidement un Peu Comme buzz anh
Ils donnent leur seuf, sont à la r'cherche du buzz
J'suis dans ma ligne directrice j'mets des soupapes rien q'je beuss anh, yeah
Biatch j'm'en bats les couilles d'tes seuf il faut q'je fasse d'l'oseille très rapidement un Peu comme buzz anh
J'ai rien dans l'coeur négro si c'n'est Dieu et la famille
L'objectif c'est de faire de l'oseille, pas d'faire des amis
J'connais des meufs qui pour du shit ou du bif se déshabillent
C'est tous des faux négro aussi fake que leurs habits
J'remercie l'seigneur dès q'j'me lève, qu'il augmente ma foi
J'essai d'éviter tous les obstacles, tous les coups bas
J'essaie de dire tout haut, ce qu'ils pensent tout bas
2m 2m, anti-système comme le Che à Cuba
J'me renseigne aux côtés de Bass, sur la métaverse
Beaucoup trop d'mecs retirent leur masque quand les potos percent
2m, j'm'écarte d'la masse comme les états tiers
Trop d'flow un peu comme d'la glace ou un tas d'averses
J't'envoie un paquet cadeau c'est p'tetr un gros piège
T'es trop guez, t'as pas ta place dans le cortège
J'ai fait coulé ton radeau, négro t'es trop lèg'
Il m'faut v'la d'pesos comme le PIB d'la Norvège
J't'envoie un paquet cadeau c'est p'tetr un gros piège
T'es trop guez, t'as pas ta place dans le cortège
J'ai fait coulé ton radeau, négro t'es trop lèg'
Il m'faut v'la d'pesos comme le PIB d'la Norvège
Haha, belek, c'est p'tetr un gros piège
Haha, négro t'es trop lèg'
Yeah, anh, 2m LGgang le PIB d'la Norvège
Skrt skrttt, LGKshit, 2m 2m, anh anh anh, brrrrr
Première neige tombe sans bruit
Jaune ou beige, dans la nuit
Elle s'étale comme une ombre infinie
Et aux premières lueurs elle s'enfuit
Première neige, de l'année
La Norvège, chez nous s'est invitée
Elle recouvre les voitures alignées
Comme si rien n'avait jamais existé
Première neige, tombe des nues
Prise au piège, retenue
Silencieuse devant la déconvenue
De n'avoir pas pu planer un peu plus
Première neige
Première neige
Première neige
Première neige
Ciel de flamme ou vents de neige
Des terres d'Afrique aux caps de Norvège
Où qu'on vive sur la planète
On a tous quelqu'un dans la tête
Des Amériques aux contrées d'Ukraine
D'autres langues mais la même peine
Où qu'on vive sur la planète
On a tous ces mots dans la tête
Je suis loin de toi
Je suis loin mais je pense à toi
Je suis loin de toi
Je suis loin mais je n'oublie pas
Je suis loin mais je pense à toi
Du fond de l'Orient au pays de France
Le même manque, la même évidence
Où qu'on vive sur la planète
On a tous ce cri dans la tête
Je suis loin de toi
Je suis loin mais je pense à toi
Je suis loin de toi
Je suis loin mais je n'oublie pas
Je suis loin mais je pense à toi
Loin de toi trop loin de toi
Je suis loin mais je pense à toi
Je suis loin mais je n'oublie pas
Je suis loin mais je pense à toi
Je suis loin, trop loin de toi
J'ai passé des nuits à t'attendre
J'ai passé des jours à apprendre
J'aime ton poison et chacun de tes mots
J'saigne de l'intérieur à cause des démons
J'suis inférieur à cause de tout mes mots
J'suis différent, je ne suis pas comme les autres
J'ai l'regard ténébreux, trop mystérieux
J'ai l'fluide
J'ai l'fluide
J'ai l'fluide qui coule dans mes veines
J'suis vide, je cours dans mes rêves
J'subis, je traverse la Norvège
Fonsdé, j'écris à l'envers
J'ai 06 des enfers
Je fume, j'attends le cancer
Je rap, j'attends les concerts
J'écoute, j'attends tes appels
J'ai le triple 6 dans la tête
Et j'reste tout seul dans la fête
J'ai l'fluide qui coule dans mes veines
J'suis vide, je cours dans mes rêves
J'subis je travers la Norvège
Fonsdé, j'écris à l'envers
J'ai 06 des enfers
Je fume, j'attends le cancer
Je rap, j'attends les concerts
J'écoute, j'attends tes appels
J'ai le triple 6 dans la tête
Et je reste tout seul dans la fête
Et je reste tout seul dans la fête
J'ai eu l'ocas
De marcher dans la nuit
De marcher dans ta ville
De rentrer dans ta vie
J'ai prié la mort
J'ai pleuré la vie
J'ai perdu l'envie
J'ai souffert de vivre
J'ai prié la mort
J'ai pleuré la vie
Hey
Et dans l'jeu, j'me sens seul comme Anakin
Et j'te vois
Et j'te vois
Et j'te vois partir la nuit
Et j'te vois
Et j'te vois parler que de lui
Et j'le vois
J'dis rien
Au Refrain
Je les ai rencontrées en Espagne, en Norvège,
Les filles du soleil et les filles de neige.
En les voyant pleurer à la fin de la nuit,
Je leur ai dit "Voilà le refrain de ma vie".
Dans notre feuille à rouler de la verdure hollandaise
Dans notre planning vacances à Marrakech
Dans notre cave moultes bouteilles bordelaises
Dans notre assiette saumon fumé de Norvège
Life is, Life is, Life is Good
J'suis l'toy boy d'une actrice, d'une actrice d'hollywood
Elle m'dit Hey JB my darling, what's up what're you doing
Si tu veux cet aprèm on va faire un tour dans mon boeing
J'lui dis of course, babe j'aime quand tu casses la routine
Le pilote est à cinq G mais on est pas dans un looping, god damn
La vie c'est une piste verte, on a enfilé nos skis
Deux cent à l'heure sous génépi pâtes fraîches
Sur escalope milanaise, en peignoir on s'est mis à l'aise
Elle gagne dix fois mon salaire et ça m'plaît
J'lui presse un jus de pamplemousse rose, elle m'dit fuck that
Sers-moi un moscow mule Boy
Askip ce soit on dort, à Miami
Je lui ai dit que j'l'aimais fort, donc elle a mis, a mis
Dans notre feuille à rouler de la verdure hollandaise
Dans notre planning vacances à Marrakech
Dans notre cave moultes bouteilles bordelaises
Dans notre assiette saumon fumé de Norvège
Life is, Life is, Life is Good
Je l'aime pour son argent, pour la beauté d'son âme, pour son boule
J'veux qu'elle rencontre ma famille, Qu'elle mette ma daronne à l'abri
Qu'elle lui fasse des virements paypal depuis les Etats Unis
Pour lui dire merci, j'me donne au lit comme un cabri
En ce moment on sort moins son jet à cause du prix du baril
J'l'encourage dans sa carrière, c'est elle qui me carry
C'est elle qui remplit l'frigo, c'est ma suggar mommy
Elle me prefère à Di Caprio, à Matthew McConaughey
Elle aime ma simplicité, Moi j'aime son cabriolet
J'suis son acolyte, j'fais tout pour la faire rayonner
Sa cage thoracique, j'fais tout pour la faire résonner
Sa main dans mes cheveux je gémis, gémis
Elle m'dit accroche-toi bien car j'ai mis, j'ai mis
Dans notre feuille à rouler de la verdure hollandaise
Dans notre planning vacances à Marrakech
Dans notre cave moultes bouteilles bordelaises
Dans notre assiette saumon fumé de Norvège
J'ai trop d'influence je viens marquer l'troisième millénaire
J'ai Obama au téléphone, J'peux lancer une guerre nucléaire
J'ai pas de daddy issues, J'ai des impôts issues
Si on s'marie c'est pour baisser le prélèvement à la source
J'aime pas les stars du show bizz j'veux un mec normal
Qui passe pas au ciné mais repasse le linge à la maison
J'lui donnerai d'l'amour de l'eau fraîche et du champagne
Instinct maternel j'veux qu'il ait du soleil hors saison
On part en vacances à Marrakech
Life is, Life is, Life is, Good
C'est la plus fraîche de mon palmarès
Life is, Life is, Life is, Good
Couscous mechouis kebabs et falafels
Life is, Life is, Life is, Good
Pas d'CB pas d'lydia c'est elle qui paie
Trop souvent on reste Asie
Asie sur le banc
Sur le Bangladesh
Il faut comprendre alors celui qui en a Guantanamarre
Et qui se fâche un jour Pakistanne
D’être un cas isolé d’être un camisolé
Et c’est sûr que dans ce cas
Un Afgarsnistanne à un moment donné
Et ce Canadailleurs pas d’autres choix que de se batailler
Ce Ghana d’autres possibilités que de lancer des Grenades
Parce que dans son Malaisie ne sait plus quoi choisir
Il prend les Arménie toute sa sensibilité
Ces hommes ils en ont raz-le-bol
Raz-le Bolivie
Ils vivent sans fric
Et rien ne sert de les Zaïre
Parce qu’ils tentent de prendre leur place dans le trAfrique
Pendant que nous on Salvador sur nos deux oreilles
Et Soudan on se réveil
Et on réalise qu’on s’était Darfouré un doigt dans l’œil
Alors qu’il importait coûte que coûte
Alors qu’il importait coûte que Côte d’Ivoire clair à temps
Car trop de gens ont déjà trop souffert
Hélas on ne leur Rwandra
Jamais Tutsi qu’ils ont perdu
Houtou ce qu’ils ont pleuré
Travaillons Singapour de meilleur Islandemain
Sans faire des montagnes avec des trucs Bénin
Gardons le Cap-Vert la Sénégalité des peuples
Pour que Kowexiste les pays main dans la main
Car si t’as pas l’estime des uns
T’auras Palestine de toi
C’est la dure Isréalité ici bas
Ne pas se laisser abattre
Rappelle-toi David
Devant le Mongolieath
Il était tout petit tout peTibet
Et ben pourtant il lui a fait plier l’éChine
Souviens-toi que
Ceux qui réuSuisse
À gravir les Seychelles du bonheur
Jamaïque Jamaïqu’ommence en étant pressés
Quand on Russie à toucher la profondeur
De l’Inde
De l’Individu
On comprend que L’Âme est riche
L’Âmériche du Sud jusqu’au Nord
L’Âmériche du Sud jusqu’au Norvège
L’Âmériche du Sud jusqu’au Norvège en fin
L’Âmériche du Sud jusqu’au Norvège en Finlande
EnFinlandonner de cette richesse que j’ai
Car comme on dit
Kenya n’a pour un
Guyana pour tous
Enfin, un jour tes enfants
Irak Irakontront à leur tour
Que ceux qui sont Italiés
Par la guIrlande d’amour
Rien ne les Nazarrête jamais
Car c’est la roue du cœur qui les mène partout
Et comme tu sais cette Roumanie tout
Yémen!!!
Nous n'étions pas pareils
Moi, l'enfant du soleil
Et toi, fille des brumes
Tu avais la peau claire
Plus blanche que l'hiver
Moi, j'avais la peau brune
Ta valise à la main
Tu venais de très loin
Peut-être de Norvège
Moi, je venais d'ailleurs
D'un pays où les fleurs
Ne craignent pas la neige
Nous n'étions pas pareils
Comment brume et soleil
Pouvaient-ils se comprendre
Notre Tour de Babel
C'était un vieil hôtel
Quatre murs d'une chambre
Nous avons parcouru
Chaque petite rue
De la carte du Tendre
Et nous avons dormi
Des mille et une nuits
Plus belles que la légende
Nous n'étions pas pareils
Moi, l'enfant du soleil
Et toi, fille de brumes
Si je venais chez toi
J'aurais beaucoup trop froid
J'attraperais un rhume
Chez moi, si tu venais
Tu serais étonnée
De ne pas voir la neige
Mais il neige en mon cœur
Des pétales de fleurs
Qui viennent de Norvège
Nous n'étions pas pareils
Moi, l'enfant du soleil
Et toi, fille des brumes
Comme une pierre que l'on jette dans l'eau vive d'un ruisseau
Et qui laisse derrière elle des milliers de ronds dans l'eau
Comme un manège de lune avec ses chevaux d'étoiles
Comme un anneau de Saturne, un ballon de carnaval
Comme le chemin de ronde que font sans cesse les heures
Le voyage autour du monde d'un tournesol dans sa fleur
Tu fais tourner de ton nom tous les moulins de mon cœur
Comme un écheveau de laine entre les mains d'un enfant
Ou les mots d'une rengaine pris dans les harpes du vent
Comme un tourbillon de neige, comme un vol de goélands
Sur des forêts de Norvège, sur des moutons d'océan
Comme le chemin de ronde que font sans cesse les heures
Le voyage autour du monde d'un tournesol dans sa fleur
Tu fais tourner de ton nom tous les moulins de mon cœur
Ce jour-là, près de la source, Dieu sait ce que tu m'as dit
Mais l'été finit sa course, l'oiseau tomba de son nid
Et voilà que sur le sable nos pas s'effacent déjà
Et je suis seul à la table qui résonne sous mes doigts
Comme un tambourin qui pleure sous les gouttes de la pluie
Comme les chansons qui meurent aussitôt qu'on les oublie
Et les feuilles de l'automne rencontrent des ciels moins bleus
Et ton absence leur donne la couleur de tes cheveux
Une pierre que l'on jette dans l'eau vive d'un ruisseau
Et qui laisse derrière elle des milliers de ronds dans l'eau
Aux vents des quatre saisons, tu fais tourner de ton nom
Tous les moulins de mon cœur
où vais-je
Tous ses espoirs gisent gelés
Je suis la nouvelle Norvège
D'où les blonds ciels s'en sont allés
Pleurez, oiseaux de février
Au sinistre frisson des choses
Pleurez, oiseaux de février
Pleurez mes pleurs, pleurez mes roses
Aux branches du genévrier
Ah !
Les Trois Femmes Bleues
Il était une fois trois femmes bleues
Elles n'avaient pas beaucoup de cheveux
Et faisaient toujours des trucs honteux
Mon Dieu, même un troll serait moins monstrueux
Il était une fois trois femmes méchantes
L'une indifférente, les autres intolérantes
Tellement possédantes et méfiantes
Et quel dommage : Elles étaient toutes régnantes
Qu'avez-vous fait de mon pays ?
De ma petite Norvège, qui était si jolie
Écoutez-moi, je vous en prie :
Déménagez-vous à Abu Dhabi
Il était une fois trois femmes grosses
Elles n'aimaient pas trop les gens de gauche
La seule chose qu'elles voulaient, je suppose
C'était de faire du ski à Davos
Il était une fois trois femmes tristes
Vous ne le croiriez pas : Elles étaient des ministres
On dirait plutôt fondamentalistes
Imaginez un conte aussi sinistre !
Comme une pierre que l'on jette
Dans l'eau vive d'un ruisseau
Et qui laisse derrière elle
Des milliers de ronds dans l'eau
Comme un manège de lune
Avec ses chevaux d'étoiles
Comme un anneau de Saturne
Un ballon de carnaval
Comme le chemin de ronde
Que font sans cesse les heures
Le voyage autour du monde
D'un tournesol dans sa fleur
Tu fais tourner de ton nom
Tous les moulins de mon cœur
Comme un écheveau de laine
Entre les mains d'un enfant
Ou les mots d'une rengaine
Pris dans les harpes du vent
Comme un tourbillon de neige
Comme un vol de goélands
Sur des forêts de Norvège
Sur des moutons d'océan
Comme le chemin de ronde
Que font sans cesse les heures
Le voyage autour du monde
D'un tournesol dans sa fleur
Tu fais tourner de ton nom
Tous les moulins de mon cœur
Ce jour-là près de la source
Dieu sait ce que tu m'as dit
Mais l'été finit sa course
L'oiseau tomba de son nid
Et voila que sur le sable
Nos pas s'effacent déjà
Et je suis seul à la table
Qui résonne sous mes doigts
Comme un tambourin qui pleure
Sous les gouttes de la pluie
Comme les chansons qui meurent
Aussitôt qu'on les oublie
Et les feuilles de l'automne
Rencontre des ciels moins bleus
Et ton absence leur donne
La couleur de tes cheveux
Une pierre que l'on jette
Dans l'eau vive d'un ruisseau
Et qui laisse derrière elle
Des milliers de ronds dans l'eau
Au vent des quatre saisons
Tu fais tourner de ton nom
Tous les moulins de mon cœur
Le temps creuse la neige (N’ai-je)
Le vent de Rocquemort (que mort)
Souffle sur Tadoussac (en sac ?)
Et se perd en Norvège (Vais-je,)
Hier à Albany (banni,)
Je suis aussi perdu (perdu,)
Aujourd’hui à Bombay (tomber)
Je vais à contresens (sans)
De la Côte-d’Ivoire (voir)
Aux portes d’Amsterdam (ma dame ?)
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