Lyrics:
Tu mérites juste un carton Respecte mon choix et mange donc un malabar Ecoute ma fille Ton cœur, tes rêves, sois forte Et ne laisse pas, tes convictions flancher Soit fière, altière, toujours la tête haute Moi je rêve d'un monde où Leur regard ne m'impose pas Comment choisir tous mes habits Vulgarité, religion Couvrent et excusent leurs pulsions L'homme est un drôle d'animal vraiment bizarre Moi je rêve d'un monde où Nos salaires ne discordent pas J'aimerais mieux payer comme lui Quand j'ai envie d'une boisson Gagner plus que Cendrillon La parité marche aussi pour les césars Ecoute ma fille Ton cœur, tes rêves, sois forte Et ne laisse pas, tes convictions flancher Soit fière, altière, toujours la tête haute Ecoute ma fille Ton cœur, tes rêves, sois forte Et ne laisse pas, tes convictions flancher Soit fière, altière, toujours la tête haute
Tu mérites juste un carton Respecte mon choix et mange donc un malabar Ecoute ma fille Ton cœur, tes rêves, sois forte Et ne laisse pas, tes convictions flancher Soit fière, altière, toujours la tête haute Moi je rêve d’un monde où Leur regard ne m’impose pas Comment choisir tous mes habits Vulgarité, religion Couvrent et excusent leurs pulsions L’homme est un drôle d’animal vraiment bizarre Moi je rêve d’un monde où Nos salaires ne discordent pas J’aimerais mieux payer comme lui Quand j’ai envie d’une boisson Gagner plus que Cendrillon La parité marche aussi pour les césars Ecoute ma fille Ton cœur, tes rêves, sois forte Et ne laisse pas, tes convictions flancher Soit fière, altière, toujours la tête haute Ecoute ma fille Ton cœur, tes rêves, sois forte Et ne laisse pas, tes convictions flancher Soit fière, altière, toujours la tête haute
Le pas allant, le dos droit et le coude bien tenu, sans renverser son verre, car il est bien connu que la mousse tache. Mais leurs cordes discordent, dix sons s'emmêlent, et l'harmonie d'apparat devient grisaille, horreur et désespoir. Le cortège culbute, les pieds se tordent comme essorés par le sol, et ceux qu'emmenaient les Hommes à la moustache à la suite du chien et à la suite du monde se déversent les uns sur les autres.
je pense à des sourires des soupirs sur des regrets les repères sont des souvenirs les souvenirs sont des reflets un regard vers le ciel les 2 pieds sur le sol je me sens si seul sous la parure de mes accents dans une virgule je m'absente *dans l'absence je me sens pure le futur tuera l'instant une story pour mon insta mon bonheur est trop instable *tu veux tester mes soudures fragile comme un consta *de s'éloigner du master je tourne comme une platine en mode roue libre sur un modulaire mes canines ont trop mordu l'air *sur une couleur hémoglobine rembobine le film coupe la bobine perds le fil file droit quand la foule s'écarte coup droit quand l'arcade s'éclate *quand les yeux s'écarquillent étalon dans l'archétype égotrip dans l'isotope une clope cadaverique un flop sur une médiathéque une blague à l'humour costique couleurs oniriques *et tropic du cancer 2 êtres qui discordent n'est qu'un discours cordial alarme de croque mort dans chaque pétale qui fâne péta la faune dans une ambiance pornographique *effleure l'oxymore lorsque la vie j'implore longue mort à nos cris et nos excès d'excuses conscience collective pour une conscience infuse pour une balance confuse dans le choix des coupables capable de tout pourquoi toujours jouer l'incapable (Refrain) j'ai vu des yeux dans des triangles où tout le monde danse j'ai vu des yeux dans des triangles où tout le monde danse j'ai vu des yeux dans des triangles où tout le monde danse des yeux dans des triangles où tout le monde danse idylle consommable via appli concise romantisme incompatible pour crysalide extrême j'ai un problème d'assise un problème d'oreille quand l'éveil passe par être semi-conceptuel chaque 4 saisons est une option palpable perte de connaissance dans perte de grains de sable sous le soleil d'hiver la neige fond sans atèle *reçois l'appel d'une chaude nuit d'été en solde bombarde sous aérosol bitume parti trop vite quand le bonheur s'invite on se jette par la fenêtre on se jette dans le vide sans arc en ciel sombre géométrie comme dernier domicil
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