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Search results for 'attrait'

Yee yee! We've found 309 lyrics matching attrait.

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Elle
C’est le nom toujours gravé
Dans mon coeur et dans mes pensées
Que rien au monde ne peut jamais effacer
Elle
C’est l’ange providentiel
Qui un jour m’est tombé du ciel
Pour donner à ma vie blessée
Le goût des rêves oubliés
Elle
C’est la source qui jaillit
Au coeur de mes printemps ternis
La fleur sauvage qui
Est le sel de ma vie
Elle
C’est mon unique horizon
Ma seule chance et ma raison
De vivre et crier ma passion
Sur tous les tons
Elle
À qui les ombres de la nuit font peur
Qui, quand l’orage tonne sa fureur
Vient se blottir tremblante sur mon coeur
Elle
Si fragile et si forte à la fois
Qui sans effort m’a soumis à sa loi
Et sans compter m’a fait le don de soi
Elle
Hante mes nuits et mes jours
Avec humour, avec amour
D’un bonheur fait de joie
Rien que pour elle et moi
Moi
Dont elle comble à tout jamais
Par son charme et par ses attraits
Bien qu’au fond j’en doutais parfois
Un monde merveilleux pour moi
Elle
Hante mes nuits et mes jours
Avec humour, avec amour
D’un bonheur fait de joie
Rien que pour elle et moi
Moi
Dont elle comble à tout jamais
Par son charme et par ses attraits
Bien qu’au fond j’en doutais parfois
Un monde merveilleux pour elle et moi
Toi, parée de mille et un attraits
Je ne sais jamais qui tu es
Tu changes si souvent de visage et d’aspect
Toi quels que soient ton âge et ton nom
Tu es un ange ou le démon
Quand pour moi tu prends tour à tour
Tous les visages de l’amour

Toi, si Dieu ne t’avait modelée
Il m’aurait fallu te créer
Pour donner à ma vie sa raison d’exister
Toi qui es ma joie et mon tourment
Tantôt femme et tantôt enfant
Tu offres à mon coeur chaque jour
Tous les visages de l’amour

Moi, je suis le feu qui grandit
Ou qui meurt
Je suis le vent qui rugit
Ou qui pleure
Je suis la force ou la faiblesse
Moi, je pourrais défier le ciel et l’enfer
Je pourrais dompter la terre et la mer
Et réinventer la jeunesse

Toi, viens fais de moi ce que tu veux
Un homme heureux ou malheureux
Un mot de toi je suis poussière ou je suis Dieu
Toi, sois mon espoir, sois mon destin
J’ai si peur de mes lendemains
Montre à mon âme sans secours
Tous les visages de l’amour

Toi
Tous les visages de l'amour
Habillez-vous
Car plus le ciel est interdit
Plus on est loin du paradis
Plus on veut en avoir des fruits
Un avant-goût
Habillez-vous

Habillez-vous
Explorateur de vos attraits
Je veux parcourir vos frous-frous
Pour en découvrir sans délai
Les coins d’ombre les plus secrets
Habillez-vous
Pour que, malhabile et tremblant
Fou de l’amour que je vous voue
Avec ferveur et tendrement
Je vous effeuille tendrement

Plus je me heurte à des tabous
De coeur et d’âme
Plus je dois forcer de verrous
Plus je m’enflamme
Car moins j’en vois, plus je suis fou
D’un corps de femme
Habillez-vous
Oh vous !
Toi, parée de mille et un attraits
Je ne sais jamais qui tu es
Tu changes si souvent de visage et d’aspect
Toi quels que soient ton âge et ton nom
Tu es un ange ou le démon
Quand pour moi tu prends tour à tour
Tous les visages de l’amour

Toi, si Dieu ne t’avait modelée
Il m’aurait fallu te créer
Pour donner à ma vie sa raison d’exister
Toi qui es ma joie et mon tourment
Tantôt femme et tantôt enfant
Tu offres à mon coeur chaque jour
Tous les visages de l’amour

Moi, je suis le feu qui grandit
Ou qui meurt
Je suis le vent qui rugit
Ou qui pleure
Je suis la force ou la faiblesse
Moi, je pourrais défier le ciel et l’enfer
Je pourrais dompter la terre et la mer
Et réinventer la jeunesse

Toi, viens fais de moi ce que tu veux
Un homme heureux ou malheureux
Un mot de toi je suis poussière ou je suis Dieu
Toi, sois mon espoir, sois mon destin
J’ai si peur de mes lendemains
Montre à mon âme sans secours
Tous les visages de l’amour

Toi
Tous les visages de l'amour
J'entendais d'puis mon jeune âge
Mon papa qui me disait
"Prends bien garde aux femmes volages
À l'amour et ses attraits"
J'avais ça dans la mémoire
Je me croyais le plus fort
Mais depuis hier quelle histoire
J'ai changé mon sort
L'amour a fait de moi un amoureux madame, madame
L'amour a fait de moi c'est merveilleux madame, madame
Il a fait de moi tout c'qu'il a voulu
Quand j'y pense je n'me reconnais plus
Non plus
L'amour a fait de moi votre valet madame, madame
L'amour a fait de moi un adepte de plus
Qui s'promène simplement en rêvant dans les rues
L'amour a fait de moi un amoureux de plus
Je vais comme un somnambule
Répétant votre prénom
Les passants que je bouscule me disent
"Alors quoi, faîtes attention"
Je ne sais ce qu'il se passe
J'crois vous voir à chaque pas
Et les femmes que j'embrasse
Je n'les reconnais pas
L'amour a fait de moi un amoureux madame, madame
L'amour a fait de moi c'est merveilleux madame
Ahh, madame
Il a fait de moi tout, tout, tout c'qu'il a voulu
Quand j'y pense je ne me reconnais plus
Non plus, 
L'amour a fait de moi votre valet madame,
L'amour a fait de moi un adepte de plus
Qui s'promène simplement en rêvant dans les rues
L'amour a fait de moi, oui
L'amour a fait de moi, ah
L'amour a fait de moi
Un amant plein de joies
J'entendais d'puis mon jeune âge
Mon papa qui me disait
"Prends bien garde aux femmes volages
À l'amour et ses attraits"
J'avais ça dans la mémoire
Je me croyais le plus fort
Mais depuis hier quelle histoire
J'ai changé mon sort
L'amour a fait de moi un amoureux madame, madame
L'amour a fait de moi c'est merveilleux madame, madame
Il a fait de moi tout c'qu'il a voulu
Quand j'y pense je n'me reconnais plus
Non plus
L'amour a fait de moi votre valet madame, madame
L'amour a fait de moi un adepte de plus
Qui s'promène simplement en rêvant dans les rues
L'amour a fait de moi un amoureux de plus
Je vais comme un somnambule
Répétant votre prénom
Les passants que je bouscule me disent
"Alors quoi, faîtes attention"
Je ne sais ce qu'il se passe
J'crois vous voir à chaque pas
Et les femmes que j'embrasse
Je n'les reconnais pas
L'amour a fait de moi un amoureux madame, madame
L'amour a fait de moi c'est merveilleux madame
Ahh, madame
Il a fait de moi tout, tout, tout c'qu'il a voulu
Quand j'y pense je ne me reconnais plus
Non plus, 
L'amour a fait de moi votre valet madame,
L'amour a fait de moi un adepte de plus
Qui s'promène simplement en rêvant dans les rues
L'amour a fait de moi, oui
L'amour a fait de moi, ah
L'amour a fait de moi
Un amant plein de joies
tombée assise à terre
La loi d'la pesanteur est dure, mais c'est la loi

Nul ne peut aujourd'hui trépasser sans voir Naples
A l'assaut des chefs-d'œuvre ils veulent tous courir
Mes ambitions à moi sont bien plus raisonnables
Voir votre académie, madame, et puis mourir

Que jamais l'art abstrait, qui sévit maintenant
N'enlève à vos attraits ce volume étonnant
Au temps où les faux culs sont la majorité
Gloire à celui qui dit toute la vérité
Ce matin j'ai l'âme en fête
Je suis d'humeur satisfaite
Et je me sens tout florissant
Florissant cent pour cent
Je ne pense plus à mes peines
Je suis en veine
Certainement
Je n'sais comment
S'est produit ce changement

Le ciel est d'un bleu très pur
Les oiseaux chantent dans l'azur
De mes soucis je suis guéri 
Tout me sourit
M'étant levé du pied droit
J'suis parti plus heureux qu'un roi
Me prom'ner à travers Paris
Qui me sourit
J'ai tout à l'heure aperçu
Dans la rue un petit bossu
Vivement j'ai frôlé son dos
Ça c'est du bonheur pour bientôt
Un peu plus loin, j'ai trouvé
Un billet entre deux pavés 
C'est un billet de la loterie 
Tout me sourit

Quand je traverse les avenues
Les agents à ma venue
Tout aussitôt
Oui subito
Font stopper les autos
Le chauffeur semblent dire
Dans un sourire :
« Mais passez donc »
Tant de bon ton
Quelle chance pour un piéton

En passant quai Malaquais,
Une petite vendeuse de bouquets
D'un brin de lilas m'a fleuri 
Tout me sourit
L'autobus que j'appelais
Ô stupeur n'était pas complet
Sans plus attendre, je l'ai pris 
Tout me sourit

Je m'suis assis à côté
D'une blonde et jeune beauté
Arrêt brusque et, patatras
Voilà qu'elle tombe dans mes bras
Comme j'avais l'air plein d'émoi
Elle me dit : « Accompagnez-moi
Je demeure au parc Montsouris… »
Tout me sourit

Arrivé d'vant sa maison
J'appris qu'elle se nommait Suzon
Moi, j'lui dis : « Je m'appelle Henri… »
Elle a souri
« C'est merveilleux, croyez-vous
Me dit-t-elle, d'un ton très doux
Car c'est mon prénom favori… »
Tout me sourit

Puis elle me fit les honneurs
De son joli p'tit intérieur
Intérieur plein d'intérêt
Aux mille et mille et un attraits
La suite, vous la devinez
Je pourrais vous la dessiner
Mais, j'vois que vous avez compris 
Tout m'a souri
Tout m'a souri
Soudain tu nages en plein délire
Toi si calme et de bon aloi
Tu passes du meilleur au pire
Et chaque mot est un coup bas
Je me demande
Souvent pourquoi
Tu montres tant de
Mauvaise foi
Et j’appréhende
Ces moments-là
Où je ne sais que faire ou dire
Tu me désoles
Quand tu m’affoles

Les mots comme les objets volent
Et dans un vacarme insensé
Tu vas et viens et ma parole
À te voir je crois assister
À La Mégère apprivoisée
Tu me fais face
Le doigt pointé
Et me menaces de tout quitter
Et ça m’agace
De constater
Que quand tu nages en plein délire
Je t’aime, t’aime, t’aime
À m’en maudire
Après l’orage, le silence
Tu boudes isolée dans ton coin
Comme l’enfant en pénitence
Punie d’avoir été trop loin
Moi je souris car à l’avance
Je connais la scène qui vient
Tu t’enhardis, tu prends confiance
Et puis et puis et puis

Soudain tu nages en plein délire
Tu as l’amour au bout des doigts
Et reprends sur moi ton empire
Lorsque savamment devant moi
Ta robe glisse
Et puis tes bas
Mes mains frémissent
Quand je te vois
Provocatrice
Nue dans mes bras
C’est moi qui nage en plein délire
Extravagante
Exubérante

Si merveilleusement vivante
Avec tes longs cheveux défaits
Oeuvre de Dieu, éblouissante
Et parée de tes seuls attraits
Tu me fais toucher des sommets
Tu me désarmes
Tes yeux, tes joues
Baignés de larmes
Me rendent fou
Et quand ton charme
Joue son va-tout
Que nous nageons en plein délire
Je t’aime, t’aime, t’aime
À m’en maudire
Soudain tu nages en plein délire
Toi si calme et de bon aloi
Tu passes du meilleur au pire
Et chaque mot est un coup bas
Je me demande
Souvent pourquoi
Tu montres tant de
Mauvaise foi
Et j’appréhende
Ces moments-là
Où je ne sais que faire ou dire
Tu me désoles
Quand tu m’affoles

Les mots comme les objets volent
Et dans un vacarme insensé
Tu vas et viens et ma parole
À te voir je crois assister
À La Mégère apprivoisée
Tu me fais face
Le doigt pointé
Et me menaces de tout quitter
Et ça m’agace
De constater
Que quand tu nages en plein délire
Je t’aime, t’aime, t’aime
À m’en maudire
Après l’orage, le silence
Tu boudes isolée dans ton coin
Comme l’enfant en pénitence
Punie d’avoir été trop loin
Moi je souris car à l’avance
Je connais la scène qui vient
Tu t’enhardis, tu prends confiance
Et puis et puis et puis

Soudain tu nages en plein délire
Tu as l’amour au bout des doigts
Et reprends sur moi ton empire
Lorsque savamment devant moi
Ta robe glisse
Et puis tes bas
Mes mains frémissent
Quand je te vois
Provocatrice
Nue dans mes bras
C’est moi qui nage en plein délire
Extravagante
Exubérante

Si merveilleusement vivante
Avec tes longs cheveux défaits
Oeuvre de Dieu, éblouissante
Et parée de tes seuls attraits
Tu me fais toucher des sommets
Tu me désarmes
Tes yeux, tes joues
Baignés de larmes
Me rendent fou
Et quand ton charme
Joue son va-tout
Que nous nageons en plein délire
Je t’aime, t’aime, t’aime
À m’en maudire
Les jours de repassage
Dans la maison qui dort
La bonne n'est pas sage
Mais on la garde encore
On l'a trouvée hier soir
Derrière la porte de bois
Avec une passoire, se donnant de la joie
La barbe de grand-père
A tout remis en ordre
Mais la bonne en colère a bien failli le mordre
Il pleut sur les ardoises
Il pleut sur la basse-cour
Il pleut sur les framboises
Il pleut sur mon amour

Je me cache sous la table
Le chat me griffe un peu
Ce tigre est indomptable
Et joue avec le feu
Les pantoufles de grand-mère

Sont mortes avant la nuit
Dormons dans ma chaumière
Dormez, dormons sans bruit

Berceau berçant des violes
Un ange s'est caché
Dans le placard aux fioles
Où l'on me tient couché
Remède pour le rhume
Remède pour le coeur
Remède pour la brume
Remède pour le malheur

La revanche des orages
A fait de la maison
Un tendre paysage
Pour les petits garçons
Qui brûlent d'impatience
Deux jours avant Noël
Et, sans aucune méfiance
Acceptent tout, pêle-mêle
La vie, la mort, les squares
Et les trains électriques
Les larmes dans les gares
Guignol et les coups de triques
Les becs d'acétylène
Aux enfants assistés
Et le sourire d'Hélène
Par un beau soir d'été

Donnez-moi quatre planches
Pour me faire un cercueil
Il est tombé de la branche
Le gentil écureuil
Je n'ai pas aimé ma mère
Je n'ai pas aimé mon sort
Je n'ai pas aimé la guerre
Je n'ai pas aimé la mort
Je n'ai jamais su dire
Pourquoi j'étais distrait

Je n'ai pas su sourire
A tel ou tel attrait
J'étais seul sur les routes
Sans dire ni oui ni non
Mon âme s'est dissoute
Poussière était mon nom
J'ai des ouvertures éclair,
Des fermetures en clair,
Peut-être un peu trop lucide
Et lorsque mes tentations
Me donnent des sensations,
Je sens l'attrait du vide

Je vois des flashes et des éclairs,
Des orages dans l'air
Vers moi se translucident,
Des lignes à haute tension
Me disent "Attention
L'amour est trop avide"

Bouche en ouverture éclair,
McDonald Duck éclair,
Au café à l'acide
J'en ai pris double ration
De baisers de tension
Nerveuse je suis vide

J'ai des ouvertures éclair,
des fermetures en clair,
Peut-être un peu trop lucide
Et lorsque mes tentations
Me donnent des sensations,
Je sens l'attrait du vide.
Ma mie, de grâce, ne mettons
Pas sous la gorge à Cupidon
Sa propre flèche
Tant d'amoureux l'ont essayé
Qui, de leur bonheur, ont payé
Ce sacrilège

J'ai l'honneur de ne pas te demander ta main
Ne gravons pas nos noms au bas d'un parchemin

Laissons le champs libre à l'oiseau
Nous seront tous les deux priso-nniers sur parole
Au diable les maîtresses queux
Qui attachent les cœurs aux queues
Des casseroles

J'ai l'honneur de ne pas te demander ta main
Ne gravons pas nos noms au bas d'un parchemin

Vénus se fait vieille souvent
Elle perd son latin devant
La lèche-frite
À aucun prix, moi je ne veux
Effeuiller dans le pot-au-feu
La marguerite

J'ai l'honneur de ne pas te demander ta main
Ne gravons pas nos noms au bas d'un parchemin

On leur ôte bien des attraits
En dévoilant trop les secrets
De Mélusine
L'encre des billets doux pâlit
Vite entre les feuillets des livres de cuisine

J'ai l'honneur de ne pas te demander ta main
Ne gravons pas nos noms au bas d'un parchemin

Il peut sembler de tout repos
De mettre à l'ombre, au fond d'un pot
De confiture
La jolie pomme défendue
Mais elle est cuite, elle a perdu
Son goût "nature"

J'ai l'honneur de ne pas te demander ta main
Ne gravons pas nos noms au bas d'un parchemin

De servante n'ai pas besoin
Et du ménage et de ses soins
Je te dispense
Qu'en éternelle fiancée
À la dame de mes pensées
Toujours je pense

J'ai l'honneur de ne pas te demander ta main
Ne gravons pas nos noms au bas d'un parchemin
Ma mie, de grâce, ne mettons
Pas sous la gorge à Cupidon
Sa propre flèche
Tant d'amoureux l'ont essayé
Qui, de leur bonheur, ont payé
Ce sacrilège

J'ai l'honneur de ne pas te demander ta main
Ne gravons pas nos noms au bas'un parchemin

Laissons le champs libre à l'oiseau
Nous seront tous les deux prisonniers sur parole
Au diable les maîtresses queux
Qui attachent les cœurs aux queues
Des casseroles

J'ai l'honneur de ne pas te demander ta main
Ne gravons pas nos noms au bas d'un parchemin

Vénus se fait vielle souvent
Elle perd son latin devant
La lèchefrite
À aucun prix, moi je ne veux
Effeuiller dans le pot-au-feu
La marguerite

J'ai l'honneur de ne pas te demander ta main
Ne gravons pas nos noms au bas d'un parchemin

On leur ôte bien des attraits
En dévoilant trop les secrets
De Mélusine
L'encre des billets doux pâlit
Vite entre les feuillets des livres de cuisine

J'ai l'honneur de ne pas te demander ta main
Ne gravons pas nos noms au bas d'un parchemin

Il peut sembler de tout repos
De mettre à l'ombre, au fond d'un pot
De confiture
La jolie pomme défendue
Mais elle est cuite, elle a perdu
Son goût "nature"

J'ai l'honneur de ne pas te demander ta main
Ne gravons pas nos noms au bas d'un parchemin

De servante n'ai pas besoin
Et du ménage et de ses soins
Je te dispense
Qu'en éternelle fiancée
À la dame de mes pensées
Toujours je pense

J'ai l'honneur de ne pas te demander ta main
Ne gravons pas nos noms au bas d'un parchemin
Biche aux abois qui passe
Elle a tout pour que
L'on veuille l'apprivoiser
La beauté et la grâce
Elle a tout pour elle
Et moi, je ne peux pas lutter

Pas besoin de préavis
Ni de points sur les i
Un seul regard a suffi
J'ai compris

Sensible et réfractaire
Tu as tout pour que l'on cherche
À t'attirer
Le charisme, le mystère
Tu as tout pour toi
Comment pourrait-elle résister?

Le charme de l'inédit
L'attrait de l'interdit
Ont fait le reste, moi, je suis
De trop ici

Le soir descend
Si triste, si noir
Je vais tomber sans bruit
Tout au fond de la nuit
Je pars
Tu perds la mémoire, cauchemar
Du voile qui se déchire
Impression de mourir

Ça crève tous les yeux
Le courant magique
Qui passe entre vous deux
Et j'attise le feu
Malgré moi, je rends vos jeux
Un peu plus dangereux

Être intruse dans ta vie
Je refuse, j'ai envie
De disparaître, car je suis
De trop ici

Le soir s'étend
Trop vite, trou noir
Je suis tombée sans bruit
Tout au fond de la nuit
Tu pars
Je perds tout espoir, qu'y faire?
Quand je te vois passer, ô ma chère indolente,
cu chant des instruments qui se brise au plafond
Suspendant ton allure harmonieuse et lente,
Et promenant l'ennui de ton regard profond ;

Quand je contemple, aux feux du gaz qui le colore,
Ton front pâle, embelli par un morbide attrait,
Où les torches du soir allument une aurore,
Et tes yeux attirants comme ceux d'un portrait,

Je me dis : Qu'elle est belle !
Quand par l'hiver, bois et guérets
Sont dépouillés de leurs attraits
Mon beau sapin, roi des forêts
Tu gardes ta parure
Je suis forever machin-chose, ever, ever
Ever, ever, ever, ever
Ever, ever, ever, ever
Les yeux fermés, portes closes, ever ever
Ever, ever, ever, ever
Ever, ever, ever, ever

Elle ne se souvenait jamais
Et mon prénom s'oubliait
Deux, trois surnoms inventés pour rire
Je suis l'enfant qui s'en va écrire
Et c'est pour ça que je ne peux venir
Et c'est pour ça que je ne peux venir
Car elles avaient cet attrait
La santé qui m'échappait
Là tout au fond, une rêveuse qui court
Là tout au fond, une rêveuse qui court
Pour qui reviennent ces heures de parcours?
Toi, tu vis en surface.
Et nous n'avons rien résolu.
Tu vois l'attrait et moi je vois la farce.
Le plaisir passe, passe, passe.
En un tour de passe-passe.

Là, je vis en paix.
Pour impressionner cette fille
J'ai fait une chanson rive-gauche
Avec des mots qui pétillent
Et un refrain qui accroche

Mais vu comme elle écarquille
Les yeux, y a kekchose qui cloche
Même si la fille est gentille
Je crois qu'elle a trouvé ça moche

Et ça s'est pas passé comme j'aurais voulu
Je suis juste passé pour un hurluberlu

Pour rattraper cette idylle
Jui ai dit c'est qu'une ébauche
J'ai rajouté quelques trilles
J'ai rajouté quelques croches
Mais même si je m'égosille
Même si je change les partoches
Y a pas moyen qu'elle sautille
Elle reste les mains dans les poches

Et ça s'est pas passé comme j'aurais voulu
Je suis juste passé pour un hurluberlu

J'ai beau montrer tous mes attraits
J'ai beau montrer tous mes atouts
Elle me voit pas beaucoup
Même quand je suis tout prêt
J'ai beau montrer tous mes attraits
J'ai beau montrer tous mes atouts
Elle me voit pas du tout
Même si jui cours après
Et j'en suis pour mes frais

Je rêve qu'elle se déshabille
Grâce aux punch-lines que je décoche
Mais j'ai l'ampli qui grésille
Mais j'ai la voix qui décroche
Et dans les bars de la ville
Aucun patron ne m'embauche
Soit mon  auditoire roupille
Soit mon auditoire m'embroche

Ca s'est pas passé comme j'aurais voulu
Je suis juste passé pour un huluberlu

J'ai beau montrer tous mes attraits
J'ai beau montrer tous mes atouts
Je suis le gros relou
Qui le fait pas exprès
J'ai beau montrer tous mes attraits
J'ai beau montrer tous mes atouts
Pour elle je reste flou
Comme un tableau abstrait
Et j'en suis pour mes frais

Ça s'est pas passé comme je l'aurais voulu
Je suis juste passé pour un hurluberlu

Vu la tiédeur des critiques
J'ai dû faire machine arrière
J'ai arrêté ma carrière
De french lover poétique
Et même si c'est pathétique
J'ai assuré mes arrières
Grâce à mon air flegmatique
Je suis devenu fonctionnaire
Tout au fond d'un ministère
Où j'ai appris à me taire

Et ça s'est bien passé comme j'aurais voulu
Je suis plus passé pour un hurluberlu

J'avais montré le bon attrait
J'avais montré le bon atout
Elle m'a sauté au cou
Sans rien exagérer
J'avais montré le bon attrait
J'avais montré le bon atout
Elle m'a trouvé à son goût
Elle est venue tout prêt
On est passé au concret
De déraison en déraison
Tourne le bal de mes saisons
Tourne le monde
Quand d'insomnie en insomnie
Je sens les matins de ma vie
Qui se confondent
Avec mes nuits

Aveuglé par le verbe aimer
J'ai laissé l'amour s'essouffler
Dans ses tumultes
Et d'âge d'enfant à vieillard
J'ai occulté sans le vouloir
Mon âge adulte
Quelque part

De déraison en déraison
Je vis sevré de mes passions
En somnambule
En équilibre malgré moi
Tous mes émois vidés de toi
Se coagulent
Et prennent froid

Dès lors qu'il faut tirer un trait
Sur le bonheur et ses attraits
Ses joies terrestres
En voyant son soleil pâlir
L' amour n'ayant plus d'avenir
Se défenestre
Pour mourir

De déraison en déraison
Tout le lot de mes illusions
Sur toutes choses
Quand de nuits blanches en cauchemars
Le souffle froid du désespoir
J'aime les roses
De mes espoirs

Que sont nos amours devenus ?
J'entendais depuis mon jeune âge 
Mon papa qui me disait 
Prends bien garde aux femmes volages 
À l'amour et ses attraits 
J'avais ça dans la mémoire 
Je me croyais le plus fort 
Mais depuis hier quelle histoire 
J'ai changé mon sort 

L'amour a fait de moi un amoureux madame, madame 
L'amour a fait de moi, c'est merveilleux, madame, madame 
Il a fait de moi tout ce qu'il a voulu 
Quand j'y pense je ne me reconnais plus 
Non plus 

L'amour a fait de moi votre valet madame, madame 
L'amour a fait de moi un adepte de plus 
Qui se promène simplement en rêvant dans les rues 
L'amour a fait de moi un amoureux de plus 

Je vais comme un somnambule 
Répétant votre prénom 
Les passants que je bouscule me disent 
"Alors quoi faites attention" 
Je ne sais ce qu'il se passe 
Je crois vous voir à chaque pas 
Et les femmes que j'embrasse 
Je ne les reconnais pas 

L'amour a fait de moi un amoureux madame, madame 
L'amour a fait de moi, c'est merveilleux, madame, ah madame 
Il a fait de moi tout tout tout ce qu'il a voulu 
Quand j'y pense je ne me reconnais plus 
Non plus 
L'amour a fait de moi votre valet madame 
L'amour a fait de moi un adepte de plus 
Qui se promène simplement en rêvant dans les rues 
L'amour a fait de moi, oui 
L'amour a fait de moi, ah 
L'amour a fait de moi 
Un amant plein de joies
Pour vous frôler du bout de mon soulier

Couperais-je vos joues de mon stylet?
Pour connaître le goût de vos attraits
Vous placerais-je tout le jour d'après
Dans la serre pour vous les fleurs mourraient

Filmerais-je vos moues si raffinées?
Quand après cinq à six cognacs
Sur la musique d’Offenbach
Les bas noirs se frôlent aux fracs
Et se libèrent
À l’heure où tous les interdits
Se noient dans l’alcool et le bruit
Et que les belles de la nuit
Se font moins fières
Moi je repense, je l’avoue
En voyant voler leurs frous-frous
Découvrant leurs charmants dessous
Et leur derrière
Que dans mon lit de pensionnat
À quinze ans je rêvais déjà
À ce joli petit monde car, croyez-moi

J’ai toujours eu
La passion du
Corps de ballet
Les corps menus
Dans leurs tutus
Ont tant d’attraits
Les entrechats
Des petits rats
Il faut voir ça
À l’opéra
Les pas de deux
C’est merveilleux
Ça me fascine

Mais entre nous
J’aime surtout
M’encanailler
Dans ces bouis-bouis
Lieux que l’on dit
Mal fréquentés
Les jambes nues
Qui montent aux nues
Le grand écart
Les dessous noirs
Tourbillonnant
C’est excitant
Dans le cancan
Les filles font assaut de zèle
Elles semblent avoir des ailes
Pour le béguin ou pour de l’or
Elles se donnent sans remords
Diable, elles ont le diable au corps

Les ha, les ho
Pour chaque saut
Pour chaque bond
Et les hourras
De mille voix
À l’unisson
Jeunes et vieux
Ont dans les yeux
Une lueur
Et dans le coeur
Un feu brûlant
Comme à vingt ans
Face au cancan

Jusqu’au matin, ça vit ça bouge
On tue l’ennui au Moulin-Rouge
Après la polka, le galop
Quand le champagne coule à flots
Le désir est à fleur de peau

C’est le cancan
La nuit durant
Qui mène tout
Ce gai Paris
À la folie
À l’amour fou
Manant, bourgeois
Escroc et roi
Maître et valet
Se côtoient et
Sont coeur battant
Simplement quand
Vient le cancan

Sont coeur battant
Simplement quand
Vient le cancan

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