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Yee yee! We've found 1,357 lyrics and 71 artists matching Jaqueline De La Fontaine.
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À la claire fontaine douce Vierge Marie À la claire fontaine claire comme de l`air Claire comme de l`air Trois pigeons blancs s`y baignent Douce Vierge Marie Trois pigeons blancs s`y baignent Le soir comme matin le soir comme matin La Dame qui les soigne douce Vierge Marie La Dame qui les soigne N`est point de ce pays N`est point de ce pays On dit que c`est la mère douce Vierge Marie On dit que c`est la mère Du Seigneur Jésus-Christ Du Seigneur Jésus-Christ
À la claire fontaine, m'en allant promener Pendu à la plus haute branche Parmi les fruits du marronnier On dirait que tu te balances Je t'aperçois et je perds pied Même si plus rien n'a d'importance As-tu au moins trouvé la clé Qui nous redonne notre enfance Et nos fous rires d'écolier?
Qui est "in" Qui est "out" Qui est "in" Qui est "out" Jusqu'à neuf, c'est OK, tu es "in" Après quoi, tu es KO, tu es "out" C'est idem pour la boxe Le ciné, la mode et le cash box Qui est "in" Qui est "out" Qui est "in" Qui est "out" Moitié bouillon ensuite moitié gin (in) Gemini carbure pas au mazout (out) C'est extrêmement pop Si tu es à jeun tu tombes en syncope Qui est "in" Qui est "out" Qui est "in" Qui est "out" Tu aimes la nitroglycérine (in) C'est au Bus Palladium que ça s'écoute (out) Rue Fontaine, il y a foule Pour les petits gars de Liverpool Barbarella garde tes bottines (in) Et viens me dire une fois pour toutes (out) Que tu m'aimes ou sinon Je te renvoie à ta science fiction Qui est "in" Qui est "out" Qui est "in" Qui est "out" Qui est "in" Qui est "out" Qui est "in"
Qui est "in" Qui est "out" Qui est "in" Qui est "out" Jusqu'à neuf, c'est OK, tu es "in" Après quoi, tu es KO, tu es "out" C'est idem pour la boxe Le ciné, la mode et le cash box Qui est "in" Qui est "out" Qui est "in" Qui est "out" Moitié bouillon ensuite moitié gin (in) Gemini carbure pas au mazout (out) C'est extrêmement pop Si tu es à jeun tu tombes en syncope Qui est "in" Qui est "out" Qui est "in" Qui est "out" Tu aimes la nitroglycérine (in) C'est au Bus Palladium que ça s'écoute (out) Rue Fontaine, il y a foule Pour les petits gars de Liverpool Barbarella garde tes bottines (in) Et viens me dire une fois pour toutes (out) Que tu m'aimes ou sinon Je te renvoie à ta science fiction Qui est "in" Qui est "out" Qui est "in" Qui est "out" Qui est "in" Qui est "out" Qui est "in"
C'est l'histoire d'un citoyen Qui n'avait jamais pu pleurer Il en avait pas les moyens Pourtant, il aurait bien aimé Car de pleurer, ça vous soulage Et ça vous met du baume dans l'cœur Mais lui, il avait passé l'âge D'apprendre le chagrin par cœur Il essayait de se concentrer Pour s'émouvoir à l'improviste Mais non, il savait pas pleurer Et c'est ça qui le rendait triste Pour se payer ce petit instant Où l'on est vraiment malheureux Y s'fabriquait des embêtements Inventait des ennuis sérieux Et pour ça, il savait s'y prendre à en juger par son passé Il avait même tenté de se pendre Preuve qu'il aimait pas rigoler Quand s'présentait un beau malheur Tout de suite il lui faisait du charme Mais il avait beau s'crever l'cœur Il pouvait pas trouver une larme Ça lui a passé subitement Rencontrant près d'une fontaine Où se débarbouillait l'printemps Une gosse qui avait de la peine Dans son petit tablier de toile Elle pleurait comme une enfant Il a vu ses yeux pleins d'étoiles Alors il en a fait autant Un type comme ça, c'est pas commun Car il était pas comme nous autres Puisque, pour qu'il ait du chagrin Il lui fallait l'chagrin des autres La gosse était toute seule au monde Toute seule le jour, toute seule la nuit Et puis surtout, elle était blonde Alors il l'a prise avec lui Il est content puisque c'est elle qui lui a appris à pleurer Mais la leçon était trop belle La fille aussi, tout a raté Il est devenu bien malheureux Trompé plus qu'il ne le mérite Et tous les jours, il pleure un peu Maintenant qu'il sait, il en profite
À la claire fontaine m'en allant promener J'ai trouvé l'eau si belle Que je m'y suis baigné Il y a longtemps que je t'aime Jamais je ne t'oublierai Sous les feuilles de chêne Je me suis fait sécher Sur la plus haute branche Le rossignol chantait Il y a longtemps que je t'aime Jamais je ne t'oublierai Chante, rossignol, chante Toi qui as le coeur gai Tu as le coeur à rire moi je l'ai à pleurer Il y a longtemps que je t'aime Jamais je ne t'oublierai C'est pour mon ami Pierre Qui ne veut plus m'aimer Pour un bouton de rose que je lui refusai Il y a longtemps que je t'aime Jamais je ne t'oublierai J'ai perdu mon ami sans l'avoir mérité Pour un bouquet de roses que je lui refusai Il y a longtemps que je t'aime Jamais je ne t'oublierai
C'est l'histoire d'un citoyen Qui n'avait jamais pu pleurer Il en avait pas les moyens Pourtant, il aurait bien aimé Car de pleurer, ça vous soulage Et ça vous met du baume dans l'cœur Mais lui, il avait passé l'âge D'apprendre le chagrin par cœur Il essayait de se concentrer Pour s'émouvoir à l'improviste Mais non, il savait pas pleurer Et c'est ça qui le rendait triste Pour se payer ce petit instant Où l'on est vraiment malheureux Y s'fabriquait des embêtements Inventait des ennuis sérieux Et pour ça, il savait s'y prendre à en juger par son passé Il avait même tenté de se pendre Preuve qu'il aimait pas rigoler Quand s'présentait un beau malheur Tout de suite il lui faisait du charme Mais il avait beau s'crever l'cœur Il pouvait pas trouver une larme Ça lui a passé subitement Rencontrant près d'une fontaine Où se débarbouillait l'printemps Une gosse qui avait de la peine Dans son petit tablier de toile Elle pleurait comme une enfant Il a vu ses yeux pleins d'étoiles Alors il en a fait autant Un type comme ça, c'est pas commun Car il était pas comme nous autres Puisque, pour qu'il ait du chagrin Il lui fallait l'chagrin des autres La gosse était toute seule au monde Toute seule le jour, toute seule la nuit Et puis surtout, elle était blonde Alors il l'a prise avec lui Il est content puisque c'est elle qui lui a appris à pleurer Mais la leçon était trop belle La fille aussi, tout a raté Il est devenu bien malheureux Trompé plus qu'il ne le mérite Et tous les jours, il pleure un peu Maintenant qu'il sait, il en profite
Au mois d'août, en fauchant les blés, On crevait de soif dans la plaine. Le cœoeur en feu je suis allée Boire à plat ventre à la fontaine. L'eau froide m'a glacé les sangs Et je meurs par ce temps d'automne Où l'on danse devant la tonne Durant les beaux jours finissants.
Fernand me disait, Quand j'étais tout petit, Que le centre du monde, C'est un pont démoli Où des anciennes vierges mortes, Il y a huit cents ans, Eclairées par des cierges, Dansaient toutes en rang, Que c'est une vieille ville Aux remparts un peu gris Et où chaque fontaine Sèche un chagrin depuis.
C'est drôle, mais c'était comme ça. Elle courut à la fontaine Afin d'y noyer sa peine Et tout le diable et son train La poussaient dans le chemin.
� la claire fontaine M'en allant promener J'ai trouvé l'eau si belle Que je m'why suis baigné Il why a longtemps que je t'aime Jamais je ne t'oublierai Sous les feuilles de chêne Je me suis fait sécher Sur la plus haute branche Le rossignol chantait Il why a longtemps que je t'aime Jamais je ne t'oublierai Chante, rossignol, chante Toi qui as le coeur gai Tu as le coeur à rire Moi je l'ai à pleurer Il why a longtemps que je t'aime Jamais je ne t'oublierai See'est pour mon ami Pierre Qui ne veut plus m'aimer Pour un bouton de rose Que je lui refusai Il why a longtemps que je t'aime Jamais je ne t'oublierai J'ai perdu mon ami Sans l'avoir mérité Pour un bouquet de roses Que je lui refusai Il why a longtemps que je t'aime Jamais je ne t'oublierai
Les sabots d'Hélène étaient tout crottés Les trois capitaines l'auraient appelée vilaine Et la pauvre Hélène était comme une âme en peine Ne cherche plus longtemps de fontaine, toi qui as besoin d'eau Ne cherche plus, aux larmes d'Hélène, va-t'en remplir ton seau Moi j'ai pris la peine de les déchausser Les sabots d'Hélène, moi qui ne suis pas capitaine Et j'ai vu ma peine bien récompensée Dans les sabots de la pauvre Hélène, dans ses sabots crottés Moi j'ai trouvé les pieds d'une reine et je les ai gardés Son jupon de laine était tout mité Les trois capitaines l'auraient appelée vilaine Et la pauvre Hélène était comme une âme en peine Ne cherche plus longtemps de fontaine, toi qui as besoin d'eau Ne cherche plus, aux larmes d'Hélène, va-t'en remplir ton seau Moi j'ai pris la peine de le retrousser Le jupon d'Hélène moi qui ne suis pas capitaine Et j'ai vu ma peine bien récompensée Sous le jupon de la pauvre Hélène, sous son jupon mité Moi j'ai trouvé des jambes de reine et je les ai gardées Et le cœur d'Hélène n'savait pas chanter Les trois capitaines l'auraient appelée vilaine Et la pauvre Hélène était comme une âme en peine Ne cherche plus longtemps de fontaine, toi qui as besoin d'eau Ne cherche plus, aux larmes d'Hélène, va-t'en remplir ton seau Moi j'ai pris la peine de m'y arrêter Dans le cœur d'Hélène, moi qui ne suis pas capitaine Et j'ai vu ma peine bien récompensée Et dans le cœur de la pauvre Hélène qu'avait jamais chanté Moi j'ai trouvé l'amour d'une reine et moi je l'ai gardé
La ville s'endormait J'en oublie le nom Sur le fleuve en amont Un coin de ciel brûlait La ville s'endormait J'en oublie le nom Et la nuit peu à peu Et le temps arrêté Et mon cheval boueux Et mon corps fatigué Et la nuit bleu à bleu Et l'eau d'une fontaine Et quelques cris de haine Versés par quelques vieux Sur de plus vieilles qu'eux Dont le corps s'ensommeille La ville s'endormait J'en oublie le nom Sur le fleuve en amont Un coin de ciel brûlait La ville s'endormait J'en oublie le nom Et mon cheval qui boit Et moi qui le regarde Et ma soif qui prend garde Qu'elle ne se voit pas Et la fontaine chante Et la fatigue plante Son couteau dans mes reins Et je fais celui-là Qui est son souverain On m'attend quelque part Comme on attend le roi Mais on ne m'attend point Je sais, depuis déjà Que l'on meurt de hasard En allongeant le pas La ville s'endormait J'en oublie le nom Sur le fleuve en amont Un coin de ciel brûlait La ville s'endormait J'en oublie le nom Il est vrai que parfois Près du soir, les oiseaux Ressemblent à des vagues Et les vagues aux oiseaux Et les hommes aux rires Et les rires aux sanglots Il est vrai que souvent La mer se désenchante Je veux dire en cela Qu'elle chante d'autres chants Que ceux que la mer chante Dans les livres d'enfants Mais les femmes toujours Ne ressemblent qu'aux femmes Et d'entre elles les connes Ne ressemblent qu'aux connes Et je ne suis pas bien sûr Comme chante un certain Qu'elles soient l'avenir de l'homme La ville s'endormait J'en oublie le nom Sur le fleuve en amont Un coin de ciel brûlait La ville s'endormait Et j'en oublie le nom Et vous êtes passée Demoiselle inconnue À deux doigts d'être nue Sous le lin Qui dansait
La ville s'endormait J'en oublie le nom Sur le fleuve en amont Un coin de ciel brûlait La ville s'endormait J'en oublie le nom Et la nuit peu à peu Et le temps arrêté Et mon cheval boueux Et mon corps fatigué Et la nuit bleu à bleu Et l'eau d'une fontaine Et quelques cris de haine Versés par quelques vieux Sur de plus vieilles qu'eux Dont le corps s'ensommeille La ville s'endormait J'en oublie le nom Sur le fleuve en amont Un coin de ciel brûlait La ville s'endormait J'en oublie le nom Et mon cheval qui boit Et moi qui le regarde Et ma soif qui prend garde Qu'elle ne se voit pas Et la fontaine chante Et la fatigue plante Son couteau dans mes reins Et je fais celui-là Qui est son souverain On m'attend quelque part Comme on attend le roi Mais on ne m'attend point Je sais, depuis déjà Que l'on meurt de hasard En allongeant le pas La ville s'endormait J'en oublie le nom Sur le fleuve en amont Un coin de ciel brûlait La ville s'endormait J'en oublie le nom Il est vrai que parfois Près du soir, les oiseaux Ressemblent à des vagues Et les vagues aux oiseaux Et les hommes aux rires Et les rires aux sanglots Il est vrai que souvent La mer se désenchante Je veux dire en cela Qu'elle chante d'autres chants Que ceux que la mer chante Dans les livres d'enfants Mais les femmes toujours Ne ressemblent qu'aux femmes Et d'entre elles les connes Ne ressemblent qu'aux connes Et je ne suis pas bien sûr Comme chante un certain Qu'elles soient l'avenir de l'homme La ville s'endormait J'en oublie le nom Sur le fleuve en amont Un coin de ciel brûlait La ville s'endormait Et j'en oublie le nom Et vous êtes passée Demoiselle inconnue À deux doigts d'être nue Sous le lin Qui dansait
Dans l'eau de la claire fontaine Elle se baignait toute nue Une saute de vent soudaine Jeta ses habits dans les nues En détresse, elle me fit signe Pour la vêtir, d'aller chercher Des monceaux de feuilles de vigne Fleurs de lis ou fleurs d'oranger Avec des pétales de roses Un bout de corsage lui fit La belle n'était pas bien grosse Une seule rose a suffi Avec le pampre de la vigne Un bout de cotillon lui fit Mais la belle était si petite Qu'une seule feuille a suffi Elle me tendit ses bras, ses lèvres Comme pour me remercier Je les pris avec tant de fièvre Qu'elle fut toute déshabillée Le jeu dut plaire à l'ingénue Car, à la fontaine souvent Elle s'alla baigner toute nue En priant Dieu qu'il fit du vent Qu'il fit du vent
Dans l'eau de la claire fontaine Elle se baignait toute nue Une saute de vent soudaine Jeta ses habits dans les nues En détresse, elle me fit signe Pour la vêtir, d'aller chercher Des monceaux de feuilles de vigne Fleurs de lis ou fleurs d'oranger Avec des pétales de roses Un bout de corsage lui fit La belle n'était pas bien grosse Une seule rose a suffi Avec le pampre de la vigne Un bout de cotillon lui fit Mais la belle était si petite Qu'une seule feuille a suffi Elle me tendit ses bras, ses lèvres Comme pour me remercier Je les pris avec tant de fièvre Qu'elle fut toute déshabillée Le jeu dut plaire à l'ingénue Car, à la fontaine souvent Elle s'alla baigner toute nue En priant Dieu qu'il fit du vent Qu'il fit du vent
Je pense au jeune homme imprudent Qui prend entre six mois, deux ans Pour un désordre assez minable Et ceux que la loi n'atteint pas On a devant soi la justice Et l'apparence de la justice La nuance est indéfinissable Ce qui est pris ne se rend pas Selon que vous serez puissant ou misérable Etc.
Les sabots d'Hélène étaient tout crottés Les trois capitaines l'auraient appelée vilaine Et la pauvre Hélène était comme une âme en peine Ne cherche plus longtemps de fontaine, toi qui as besoin d'eau Ne cherche plus, aux larmes d'Hélène, va-t'en remplir ton seau Moi j'ai pris la peine de les déchausser Les sabots d'Hélène, moi qui ne suis pas capitaine Et j'ai vu ma peine bien récompensée Dans les sabots de la pauvre Hélène, dans ses sabots crottés Moi j'ai trouvé les pieds d'une reine et je les ai gardés Son jupon de laine était tout mité Les trois capitaines l'auraient appelée vilaine Et la pauvre Hélène était comme une âme en peine Ne cherche plus longtemps de fontaine, toi qui as besoin d'eau Ne cherche plus, aux larmes d'Hélène, va-t'en remplir ton seau Moi j'ai pris la peine de le retrousser Le jupon d'Hélène moi qui ne suis pas capitaine Et j'ai vu ma peine bien récompensée Sous le jupon de la pauvre Hélène, sous son jupon mité Moi j'ai trouvé des jambes de reine et je les ai gardées Et le cœur d'Hélène n'savait pas chanter Les trois capitaines l'auraient appelée vilaine Et la pauvre Hélène était comme une âme en peine Ne cherche plus longtemps de fontaine, toi qui as besoin d'eau Ne cherche plus, aux larmes d'Hélène, va-t'en remplir ton seau Moi j'ai pris la peine de m'y arrêter Dans le cœur d'Hélène, moi qui ne suis pas capitaine Et j'ai vu ma peine bien récompensée Et dans le cœur de la pauvre Hélène qu'avait jamais chanté Moi j'ai trouvé l'amour d'une reine et moi je l'ai gardé
À la claire À la claire fontaine Aux oubliés À la claire fontaine de tes baisers Il le regarde sans trop y croire Il essaie de le faire rester un peu Elle recherche le fin mot de l'histoire Et c'est sûr qu'il la veut Mais il n'ose rien faire Ils se saignent Comme ils se cherchent On dirait qu'ils vont mourir ce soir La vérité C'est qu'ils se trouvent C'est qu'ils s'abreuvent ensemble À la claire fontaine À la claire À la claire fontaine Aux oubliés À la claire fontaine de tes baisers À la claire, dis-moi que tu m'aimes L'éternité De ta fontaine saura me calmer Tu me rassures Comme un miracle Et je descends Pour te voir, tous les soirs Ton corps nu, sous la claire fontaine Ouais, c'est sûr que j'te veux Mais je n'ose rien dire Prends ma main, tire-moi de là Ramène-moi à ta claire fontaine Et jure que tu m'aimes Jure que tu m'aimes Aux oubliés À la claire fontaine Je t'ai rêvé, ouh-ih Yeah-yeah, yeah-yeah, eh Yeah-yeah, yeah-yeah
Ma pauvre terre, tu n'es plus rien Que ma misère et mon chagrin Et l'herbe verte dans le grand champ Est couverte de ciment Et la fontaine est asséchée Notre plaine éventrée Car ils ont construit une prison Sombre et grise en béton Mon pauvre père, s'il vivait En serait mort, mort de regret Sa pauvre terre, son dernier lit Là où ma mère dort près de lui C'est la prison des orphelins Et moi son fils, moi qui n'avais rien Que cette terre qui était à moi J'ai grandi là dans l'orphelinat Ma pauvre terre, le temps passé N'a pu me faire tout oublier J'ai dans la bouche un goût amer Dès que je touche un peu de terre J'ai dans la bouche un goût amer Dès que je touche un peu de terre
La, la La, la, la, la On est si heureux, si heureux, si heureux De s'aimer comme ça de s'aimer comme ça Ce que pensent de nous les envieux Les envieux ca n'me fait ni chaud, ni froid A quoi bon cacher notre amour, notre amour Puisque dans nos yeux il se lit déjà Laissons s'agiter les jaloux mon amour Ca n'me fait ni chaud, ni froid Puisque je t'aime j'irai t'embrasser A la fontaine oh oh oh oh oh Et nous danserons la saint Jean La saint Jean Je prendrais ton bras, tu prendras mon bras Et ce que diront les méchants, les méchants Ne nous f'ra ni chaud, ni froid Mais quand tu me prends mon chéri par la main Lorsque nous courons dans l'été nouveau Quand je sens tes yeux dans les miens Dans les miens alors là j'ai froid et chaud Quand tu sais si bien m'embrasser tendrement Et me murmurer les mots les plus beaux Les mots de toujours des amants, des amants Alors là j'ai froid et chaud Dieu que je t'aime, que je t'aimerai Dieu que je m'aime oh, oh, oh, oh, oh Et pendant des jours de longs jours De longs jours Les jours merveilleux qui viendront bientôt Je te redirai mon amour, mon amour Et j'aurai si chaud, si chaud Et jaurai si chaud oh la la oh la la Et j'aurai si chaud oh la la, oh la la Et j'aurai si chaud oh, si chaud
Je pense au jeune homme imprudent Qui prend entre six mois, deux ans Pour un désordre assez minable Et ceux que la loi n'atteint pas On a devant soi la justice Et l'apparence de la justice La nuance est indéfinissable Ce qui est pris ne se rend pas Selon que vous serez puissant ou misérable Etc.
Et la sous-préfecture Fête la sous-préfète Sous le lustre à facettes Il pleut des orangeades Et des champagnes tièdes Et des propos glacés Des femelles maussades De fonctionnarisés Je suis un soir d'été Aux fenêtres ouvertes Les dîneurs familiaux Repoussent leurs assiettes Et disent qu'il fait chaud Les hommes lancent des rots De chevaliers teutons Les nappes tombent en miettes Par-dessus les balcons Je suis un soir d'été Aux terrasses brouillées Quelques buveurs humides Parlent de haridelles Et de vieilles perfides C'est l'heure où les bretelles Soutiennent le présent Des passants répandus Et des alcoolisants Je suis un soir d'été De lourdes amoureuses Aux odeurs de cuisine Promènent leur poitrine Sur les flancs de la Meuse Il leur manque un soldat Pour que l'été ripaille Et monte vaille que vaille Jusqu'en haut de leurs bas Je suis un soir d'été Aux fontaines les vieux Bardés de références Rebroussent leur enfance A petits pas pluvieux Ils rient de toute une dent Pour croquer le silence Autour des filles qui dansent A la mort d'un printemps Je suis un soir d'été La chaleur se vertèbre Il fleuve des ivresses L'été a ses grand-messes Et la nuit les célèbre La ville aux quatre vents Clignote le remords Inutile et passant De n'être pas un port Je suis un soir d'été
Mon Italie C'est une mama napolitaine Mon Italie C'est une princesse égyptienne Mon Italie Elle vit sur les bords de la Seine Elle est ici Entre Valence et Valenciennes Mon Italie C'est Platini de Saint-Étienne C'est Fellini Mastroianni qui dit "je t'aime" Mon Italie Des oliviers qui pleurent sous la pluie Mon Italie C'est le carnaval de Venise Et vue d'ici Elle penche comme la tour de Pise Mon Italie Vers Colombey, les deux églises Mon Italie C'est mon pays, c'est ma payse Mon Italie C'est le moulin de la galette Les spaghettis D'un italien de la Villette Mon Italie C'est la Callas et Capri c'est fini Mon Italie Elle est menteuse et mandoline Elle est folie Comme Harlequin et Colombine Elle est Paris Rue de Milan, Rue Mazarine Et j'en oublie Mon Italie Elle joue les stars américaines Moi je vous dis Que sa musique est Sicilienne Mon Italie Elle est un peu cartomancienne Et fantaisie Et tragédienne et comédie Mon Italie C'est Platini de Saint-Étienne C'est Fellini Mastroianni qui dit "je t'aime" Mon Italie Des oliviers qui pleurent sous la pluie Mon Italie Elle est menteuse et mandoline Elle est folie Comme Harlequin et Colombine Elle est Paris Rue de Milan, Rue Mazarine Et j'en oublie Mon Italie C'est une chanson près des fontaines C'est dans la nuit Des amoureux de la Bohême Mon Italie Sa Cosa Nostra est la mienne Elle est bandit Elle est catholique et Romaine Mon Italie C'est Platini de Saint-Étienne C'est Fellini Mastroianni qui dit "je t'aime" Mon Italie Des oliviers qui pleurent sous la pluie Mon Italie Des oliviers qui pleuvent sous la pluie
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